Gilles88 a écrit :Faut que le joigne , il habite sur une île maintenant ! C’est un triple incroyable, il me fait penser à Geotrouvetout ( voir Mickey) il a travaillé pour un fabricant d’automobile avec un projet fou, il m’a envoyé les photos de prototype… J’ai pas le droit d’en parler. Quand je l’ai connu en 1980, il avzituû prototype de voiture électrique avec un moteur dans chaque roue. Des japonais sont venus lui acheter, il n’a pas voulu, il voulait que cela reste en France. La dernier fois qu’il habitait e France, il roulait avec une Tesla .
Bonjour Gilles88, as-tu des nouvelles de ton ancien collègue qui travaillait chez Agfa?
De mon côté, j'ai retrouvé le court métrage
"Lucile et le Photomaton" réalisé par Sébastien NUZZO en 1992. On voit différents modèles de cabines photos en service à l'époque (Photomaton est une marque normalement). Ce film a probablement inspiré Jean-Pierre JEUNET pour Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain, quoi que ça soit tiré d'une histoire vraie. Pour en revenir au sujet principal, c'est assez intéressant, car ça donne un petit aperçu des machines en service à l'époque.
Ensuite, il y a
cette photo trouvée sur Wikipedia qui daterait du début des années 2000 et suggère que le passage au numérique n'était pas encore totalement terminé à cette époque.
En 2003, on m'a fait ma première carte d'identité, et il me semble que dans le hall d'entrée de la mairie, il y avait un photomaton comme celui de la photo. Malheureusement, je ne l'ai pas utilisé, on est allé chez un photographe.
Étant âgé de 8 ou 9 ans à l'époque, mes souvenirs ne sont pas non plus hyper fiable, surtout que je n'ai pas utilisé l'appareil. Ça te paraît crédible un photomaton argentique en 2003?
En 2001, j'avais utilisé un photomaton pour m'amuser. J'étais avec ma mère, et je me souviens de la complexité de l'engin, car on avait eu du mal à le faire fonctionner. Il me semble qu'il y avait un écran. Par contre, la photo avait mis plus longtemps à sortir que sur un photomaton actuel, et je me souviens avoir entendu un bruit de sèche cheveux, donc il y avait un séchage. Sur le verso de la photo, il y a le même logo que sur les papiers couleurs Kodak utilisés dans les minilabs argentiques. Cela suggère donc que c'était de l'argentique. Par contre, quand je regarde la le cliché, le rendu fait très "vieux numérique", dans le sens où on voit des espèces de pixels. Ma mère et moi n'avions pas trouvé le résultat terrible à l'époque. En tout cas, cela suggère qu'il a peut-être existé des photomatons hybrides, avec photo prise de façon numérique, mais tirage de façon argentique, probablement par la même technique que celle utilisé pour faire les indexs photos dans les minilabs. C'est à dire un écran avec un depoli il me semble.
Penses-tu que de telles machines ont vraiment existé, et si oui, quel était l'avantage sur l'imprimante à sublimation thermique utilisé aujourd'hui dans tous les photomatons numériques?
À l'occasion, il faudra que je numérise cette photo vieille de 20 ans, et que je la montre ici pour avoir un avis éclairé sur le procédé de tirage.
Désolé si j'ennuie tout le monde avec mes souvenirs d'enfance
Merci beaucoup pour ta réponse.
Cordialement,
Eos5000
