j'ai recuperé un soufflet macro canon équipé pour dupliquer les diapos.
C a D un porte diapos et un carré diffuseur opaque.
Quel objectif faut il utilisé ? comment et avec quel eclairage, éclairé la diapos (par l'arriére je présume) ?
C'est un soufflet canon FD et j'ai un Eos 20d; Il existe des bagues d'adaptation, qui sait ou cela se trouve et si tout cela ne sera pas une usine a gaz ?
merci par avance de vos conseils.
A.C
duplication diapos avec soufflet macro comment faire ?
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charlea2
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Lionel
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Bonjour Charlea2, 
sur le forum! 
ce post m'a échappé... Comme quoi de temps en temps le lien "voir les messages sans réponse" est bien utile.
Il existe bien des bagues adaptrices qui permettent d'utiliser les objectifs FD sur des EOS. Je crois que l'on pert la mise au point sur l'infini mais sur des courtes distances cela doit fonctionner. Par contre les automatismes sont perdus...
Pour les objectifs à utiliser, c'est certainement les objectifs macro.
sur le forum! ce post m'a échappé... Comme quoi de temps en temps le lien "voir les messages sans réponse" est bien utile.Il existe bien des bagues adaptrices qui permettent d'utiliser les objectifs FD sur des EOS. Je crois que l'on pert la mise au point sur l'infini mais sur des courtes distances cela doit fonctionner. Par contre les automatismes sont perdus...
Pour les objectifs à utiliser, c'est certainement les objectifs macro.
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hyperfocale
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Bonjour,
Pour dupliquer des diapositives, il est effectivement préférable d'utiliser un bon objectif macro, qui est optimisé pour les prises de vues à courte distance.
On éclaire la diapositive via le verre dépoli, mais il est important de bien choisir la lumière employée à cette fin.
Pour être plus précis, il faut qu'elle soit à la temérature de couleur correspondant au film utilisé pour faire la copie.
Si ce dernier est du type lumière du jour, l'on peut utiliser un flash (dirigé vers le verre dépoli).
Si l'on préfère la lumière naturelle, il faut absolument avoir une lumière aussi proche que possible de celle théoriquement dite "lumière du jour".
Si l'on vise le ciel bleu, l'on aura une dominante bleu.
Si l'on vise le soleil, l'on aura une dominante jaune.
Si l'on travaille à moins de deux heures du lever ou du coucher du soleil, l'on aura une dominante orange.
Si l'on travaille par temps couvert, l'on aura encore une dominante bleu.
Bref, il faut attendre d'avoir du beau temps, avec des gros nuages bien blancs (des cumulus), et orienter le soufflet vers l'un de ces nuages.
Donc, le flash est une option plus facile (au moins, en terme de température de couleur).
Selon la focale de l'optique macro (et le tirage du soufflet), l'on peut reproduire la totalité de la diapositive originale, ou bien seulement une partie de cette dernière.
Dans tous les cas, l'on obtient une diapositive (de copie) qui est de qualité inférieure à l'original (montée de la granulation, montée du contraste).
Ce qui implique d'éviter d'essayer de reproduire des diapositives qui sont déjà un peu "limite" (très contrastées, en surexposition ou bien en sous-exposition).
Par contre, dans le cas d'une dominante sur l'image d'origine, l'on peut essayer de la neutraliser lors de la copie (par l'utilisation d'une gélatine de compensation, bien choisie, et employée comme filtre), dans le cas de la duplication de diapositive.
L'utilisation d'un film spécial (pour la reproduction des diapositives) permet de limiter fortement les défauts mentionnés (surtout la montée du contraste), sur la copie.
Tous les commentaires qui précèdent sont valables pour la reproduction d'images en couleur.
En noir et blanc, tout devient plus facile, et la température de couleur ne joue presque plus (sauf cas extrêmes).
Pour mémoire, l'on peut obtenir d'une diapositive en couleurs :
Une copie diapositive en couleurs (avec un film de copie diapositif en couleurs).
Une copie diapositive en N&B (avec un film de copie diapositif N&B).
Une copie négative en N&B (avec un film de copie négatif N&B, et dont l'on peut faire des agrandissements raisonnables).
Une copie négative en couleurs (avec un film de copie négatif en couleurs, et dont l'on peut faire des agrandissements raisonnables).
Il existe encore d'autres possibilités d'utilisation d'un soufflet de reproduction :
D'un négatif N&B, l'on peut aussi obtenir une positif N&B (avec un film négatif N&B).
D'une diapositive N&B, l'on peut réaliser un négatif N&B (avec un film négatif N&B, pour agrandissement raisonnable ultérieur).
Avec deux originaux (N&B, couleurs, mélange des deux...), l'on obtient un sandwich (montage par superposition) de deux images, dont l'on fait alors une reproduction.
Quand l'on sait à l'avance que l'on aura besoin de copies de l'image en cours de prise de vue, la meilleure solution reste de multiplier cette dernière en autant de déclenchements successifs que de copies voulues (dans le cas de sujets statiques, bien sûr !).
Cordialement.
Pour dupliquer des diapositives, il est effectivement préférable d'utiliser un bon objectif macro, qui est optimisé pour les prises de vues à courte distance.
On éclaire la diapositive via le verre dépoli, mais il est important de bien choisir la lumière employée à cette fin.
Pour être plus précis, il faut qu'elle soit à la temérature de couleur correspondant au film utilisé pour faire la copie.
Si ce dernier est du type lumière du jour, l'on peut utiliser un flash (dirigé vers le verre dépoli).
Si l'on préfère la lumière naturelle, il faut absolument avoir une lumière aussi proche que possible de celle théoriquement dite "lumière du jour".
Si l'on vise le ciel bleu, l'on aura une dominante bleu.
Si l'on vise le soleil, l'on aura une dominante jaune.
Si l'on travaille à moins de deux heures du lever ou du coucher du soleil, l'on aura une dominante orange.
Si l'on travaille par temps couvert, l'on aura encore une dominante bleu.
Bref, il faut attendre d'avoir du beau temps, avec des gros nuages bien blancs (des cumulus), et orienter le soufflet vers l'un de ces nuages.
Donc, le flash est une option plus facile (au moins, en terme de température de couleur).
Selon la focale de l'optique macro (et le tirage du soufflet), l'on peut reproduire la totalité de la diapositive originale, ou bien seulement une partie de cette dernière.
Dans tous les cas, l'on obtient une diapositive (de copie) qui est de qualité inférieure à l'original (montée de la granulation, montée du contraste).
Ce qui implique d'éviter d'essayer de reproduire des diapositives qui sont déjà un peu "limite" (très contrastées, en surexposition ou bien en sous-exposition).
Par contre, dans le cas d'une dominante sur l'image d'origine, l'on peut essayer de la neutraliser lors de la copie (par l'utilisation d'une gélatine de compensation, bien choisie, et employée comme filtre), dans le cas de la duplication de diapositive.
L'utilisation d'un film spécial (pour la reproduction des diapositives) permet de limiter fortement les défauts mentionnés (surtout la montée du contraste), sur la copie.
Tous les commentaires qui précèdent sont valables pour la reproduction d'images en couleur.
En noir et blanc, tout devient plus facile, et la température de couleur ne joue presque plus (sauf cas extrêmes).
Pour mémoire, l'on peut obtenir d'une diapositive en couleurs :
Une copie diapositive en couleurs (avec un film de copie diapositif en couleurs).
Une copie diapositive en N&B (avec un film de copie diapositif N&B).
Une copie négative en N&B (avec un film de copie négatif N&B, et dont l'on peut faire des agrandissements raisonnables).
Une copie négative en couleurs (avec un film de copie négatif en couleurs, et dont l'on peut faire des agrandissements raisonnables).
Il existe encore d'autres possibilités d'utilisation d'un soufflet de reproduction :
D'un négatif N&B, l'on peut aussi obtenir une positif N&B (avec un film négatif N&B).
D'une diapositive N&B, l'on peut réaliser un négatif N&B (avec un film négatif N&B, pour agrandissement raisonnable ultérieur).
Avec deux originaux (N&B, couleurs, mélange des deux...), l'on obtient un sandwich (montage par superposition) de deux images, dont l'on fait alors une reproduction.
Quand l'on sait à l'avance que l'on aura besoin de copies de l'image en cours de prise de vue, la meilleure solution reste de multiplier cette dernière en autant de déclenchements successifs que de copies voulues (dans le cas de sujets statiques, bien sûr !).
Cordialement.