Poudre ou liquide?
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Poudre ou liquide?
Salut, je ne veux pas lancer un n-ième fil sur le choix des révélateurs, je sais que ça dépend des marques, des pelloches et des circonstances particulières de développement. Mais d'une manière générale (si ça veut dire quelque chose), vous êtes plutôt poudre ou liquide?
Et pour quelles raisons?
Et pour quelles raisons?
- Georgesh
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Bof, moi tu sais pour les tirages noir et blanc, quand le révélateur ne révèle plus beaucoup, je remets du produit pur dans le bain, alors c'est pas au gramme près...
Pour le développement film ou le tirage couleur, c'est différent : comme tu ne vois pas ce que tu fais, tu as intérêt à être rigoureux sur les dosages et températures...
Pour faire des dias N&B, j'ai récupéré une balance mécanique de laboratoire très précise (0.1g), mais faut trouver l'occase. J'ai regardé les prix des balances électroniques de labo... c'est exhorbiant !!!
Pour le développement film ou le tirage couleur, c'est différent : comme tu ne vois pas ce que tu fais, tu as intérêt à être rigoureux sur les dosages et températures...
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- Georgesh
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Bonjour, c'est assez simple, les révélareurs traditionnels type Kodak D 76 sont en doses pour 1 litre ou pour 3,8 litres, (un gallon )Les composants, par exemple génol, sulfite de sodium, hydroquinone, borax, sont tous dans le même sachet. A mélanger et faire fondre dans environ 1/3 d'eau tiède, puis compléter avec de l'eau froide pour arriver à 20 degrés.
Chez Ilford, il y a souvent un sachet A à diluer le premier, et un sachet B, pour faire la dose de liquide voulue. 1 litre ou 5 litres.
On trouve pour l'instant tout ça en magasin ou sur internet.
Si les marchands abandonnent la commercialisation des doses en poudre, et suppriment leur rayon chimie, on reviendra aux pratiques des années 50. Les produits en poudre achetés en gros, c'est à dire par paquets de 100 g à 1kg, et une petite balance de ménage, ou un pèse-lettre , et pour les riches, une balance électronique. Mais pour faire des révélateurs ou fixateurs au litre, il n'y a pas besoin de descendre sous la précision du gramme.
Toutes les formules sont dans les vieux bouquins de photo édités chez Paul Montel dans les années 70, aux éditions Paul Montel, par des auteurs comme Glafkidès, Zitter et Prioleaud, Cuisinier. Plus anciens, lesagendas Lumière-Jougla des années 1925 sont des objets de collection;
Pour un féru d'histoire, acheter les 2 volumes de L.P. Clerc, la technique photographique, ou bien sûr le Glafkidès, chimie photographique, le tome 1 ne fait que 800 pages...
Pour l'instant, c'est encore tranquille, on trouve les produits en doses préparées.
On trouve les formules vraiment partout, dans les brocantes... et les foires à la photo.
Chez Ilford, il y a souvent un sachet A à diluer le premier, et un sachet B, pour faire la dose de liquide voulue. 1 litre ou 5 litres.
On trouve pour l'instant tout ça en magasin ou sur internet.
Si les marchands abandonnent la commercialisation des doses en poudre, et suppriment leur rayon chimie, on reviendra aux pratiques des années 50. Les produits en poudre achetés en gros, c'est à dire par paquets de 100 g à 1kg, et une petite balance de ménage, ou un pèse-lettre , et pour les riches, une balance électronique. Mais pour faire des révélateurs ou fixateurs au litre, il n'y a pas besoin de descendre sous la précision du gramme.
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Pour un féru d'histoire, acheter les 2 volumes de L.P. Clerc, la technique photographique, ou bien sûr le Glafkidès, chimie photographique, le tome 1 ne fait que 800 pages...
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- Lionel
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Oui, entre le sulfite de sodiun anhydre, l'hyposulfite de soude, le bisulfite de sodium, on est tout près du baril en promo. Tout dans une lessiveuse, et ça donnera une belle gamme de blancs. Oh , pardon Lionel, pas de recettes.
Allez, je . donnez-moi une Aspirine, et un Nescafé pour la route.
Bonne journée.
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