sauvetage de négatifs
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- Réginald
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Re: sauvetage de négatifs
C'est les négatifs qui se détériorent en devenant acide. Et plus ils libèrent d'acide, plus ça va aller vite.
Le problème, c'est qu'en plus ils sont collés là.
Je vois pas trop quoi faire à ce stade
Le problème, c'est qu'en plus ils sont collés là.
Je vois pas trop quoi faire à ce stade
- Mael
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Re: sauvetage de négatifs
Moi je les mettrais le tout dans de l'eau à 20° environ (plus à rien à perdre de toute façon) j'attendrais un peu puis je couperais la pochette pour voir si j'arrive à la décoller des négatifs, puis ensuite à sécher.
- Oriu
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Re: sauvetage de négatifs
pareil, de l'eau avec un peu de mouillant et laisser au moins 1/4h ou 1/2 heure pas moins
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- Super Gourou
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Re: sauvetage de négatifs
Ensuite un petit traitement au stabilisateur pour les films couleur (formaldéide).
V.
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Re: sauvetage de négatifs
Salut.
Tes négatifs sont probablement atteints du sinistre syndrome du vinaigre, inhérent au support en tri-acétate de cellulose. En tout cas quarante ans de conservation, c'est cohérent avec ce qu'on sait du problème. Pour les décoller des feuillets plastique je conseillerais, comme mes voisins du dessus, d'abord un trempage à l'eau claire. Essayer sur un seul feuillet, et voir si on peut récupérer les bandes comme ça. Si t'arraches la gélatine, ce qui est probable, il faudrait changer de liquide. J'ai déjà nettoyé des négatifs à l'alcool industriel 95%, et ma foi le support et la gélatine tiennent très bien. Donc si l'eau rend la tentative infaisable, passer à l'alcool.
Tes négatifs sont probablement atteints du sinistre syndrome du vinaigre, inhérent au support en tri-acétate de cellulose. En tout cas quarante ans de conservation, c'est cohérent avec ce qu'on sait du problème. Pour les décoller des feuillets plastique je conseillerais, comme mes voisins du dessus, d'abord un trempage à l'eau claire. Essayer sur un seul feuillet, et voir si on peut récupérer les bandes comme ça. Si t'arraches la gélatine, ce qui est probable, il faudrait changer de liquide. J'ai déjà nettoyé des négatifs à l'alcool industriel 95%, et ma foi le support et la gélatine tiennent très bien. Donc si l'eau rend la tentative infaisable, passer à l'alcool.
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Re: sauvetage de négatifs
Merci à tous!
Cela a bien occupé la soirée...
L'eau a permis de décoller les plus atteints.
Certains négatifs ont fait la tête devant ce bain
Séchage sur papier absorbant, le négatif est souvent ramollo et se torsade, mise sous "presse" pour la nuit des bandes atteintes.
Pas sûr de les récupérer...
Odeur presque corrosive!
Eau du bain changer à chaque feuille.
Une boullie de plastique dans l'eau.
J'ai pu en faire une bonne partie "à sec" pour les pages qui le permettaient.
Moins "destructeur" que le bain lorsque cela était possible.
Le négatif garde sa rigidité.
Les colorations semblent avoir pour beaucoup virées vers une dominante rouge rosée.
Problème de lieu de stockage ou de la matière des feuillets (plastique fin et souple)?
J'ai des classeurs de ces âges mais pas de problème particulier, soit des feuilles en papier opaque (pergamine?), soit en beau plastique rigide (polypropylène?). Les négatifs semblent corrects.
Je dois racheter des feuillets et classeurs, je vais creuser la question!
Cela a bien occupé la soirée...
L'eau a permis de décoller les plus atteints.
Certains négatifs ont fait la tête devant ce bain
Séchage sur papier absorbant, le négatif est souvent ramollo et se torsade, mise sous "presse" pour la nuit des bandes atteintes.
Pas sûr de les récupérer...
Odeur presque corrosive!
Eau du bain changer à chaque feuille.
Une boullie de plastique dans l'eau.
J'ai pu en faire une bonne partie "à sec" pour les pages qui le permettaient.
Moins "destructeur" que le bain lorsque cela était possible.
Le négatif garde sa rigidité.
Les colorations semblent avoir pour beaucoup virées vers une dominante rouge rosée.
Problème de lieu de stockage ou de la matière des feuillets (plastique fin et souple)?
J'ai des classeurs de ces âges mais pas de problème particulier, soit des feuilles en papier opaque (pergamine?), soit en beau plastique rigide (polypropylène?). Les négatifs semblent corrects.
Je dois racheter des feuillets et classeurs, je vais creuser la question!
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- Super Gourou
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Re: sauvetage de négatifs
La pergamine est la meilleure solution: le négatif "respire". Je sais que d'aucuns n'aiment pas car elle n'est pas "chimiquement neutre", mais 50 ans plus tard, je n'ai aucun souci de conservation. Et pour des plaques de verre bien plus anciennes (+/- 100 ans) non plus.
Pour les négatifs couleur, n'hésite pas à re-stabiliser avec un bain d'eau + formaldéide.
V.
Pour les négatifs couleur, n'hésite pas à re-stabiliser avec un bain d'eau + formaldéide.
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Re: sauvetage de négatifs
Je ne trouve pas de formaldéhyde , vente uniquement aux professionnels sur les sites visités.
Interdit à la vente depuis 2018?
Interdit à la vente depuis 2018?
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- Super Gourou
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Re: sauvetage de négatifs
Arrange toi avec ton pharmacien. Sinon, on en trouve chez les droguistes, c'est réservé aux professionnels mais un copain photographe, ou chimiste... ou un simple N° de TVA ça doit aller.
V.
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Re: sauvetage de négatifs
Pour une conservation à long terme (50 ans et plus) de négatifs couleurs, il faut deux choses :
1- un contenant à pH neutre : le polyester ( vendu sous le nom de Mylar). Transparent mais ne laisse pas respirer le négatif. Lemieux étant des pochettes ou enveloppes en papier, dans des boîtes en carton, le tout à pH neutre (opaquemais laisse respirer le négatif).
2- une température de 4° C, donc : conservation au frigo. Mais pas n'importe quel frigo puisqu'il ne faut pas plus de 40% d'humidité relative dedans. Il faut des frigos pros ventilés dont le coût minimal est de 4000 €.
Pas évident à faire chez soi.
Donc, encore une fois : tirer sur papier les photos auxquelles on tient vraiment, et relativiser pourles négatifs.
1- un contenant à pH neutre : le polyester ( vendu sous le nom de Mylar). Transparent mais ne laisse pas respirer le négatif. Lemieux étant des pochettes ou enveloppes en papier, dans des boîtes en carton, le tout à pH neutre (opaquemais laisse respirer le négatif).
2- une température de 4° C, donc : conservation au frigo. Mais pas n'importe quel frigo puisqu'il ne faut pas plus de 40% d'humidité relative dedans. Il faut des frigos pros ventilés dont le coût minimal est de 4000 €.
Pas évident à faire chez soi.
Donc, encore une fois : tirer sur papier les photos auxquelles on tient vraiment, et relativiser pourles négatifs.
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- Super Gourou
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Re: sauvetage de négatifs
Mais, il faut conserver ces tirages aussi... Si je regarde les tirages chez moi des vacances avec mes parents il y a ans, alors c'est pas mieux que les négatifs, au contraire parfois.Benjamin a écrit :Donc, encore une fois : tirer sur papier les photos auxquelles on tient vraiment, et relativiser pourles négatifs.
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- Super Gourou
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Re: sauvetage de négatifs
Un scanner amplement dupliqué sur des disques durs.
V.
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Re: sauvetage de négatifs
Les tirages papier (noir et blanc bien sûr) se conservent pourtant assez bien, s'ils ont été bien rincés et qu'on les conserve à l'abri de la lumière, dans des pochettes (ou une boîte) à pH neutre, dans une atmosphère pas trop humide, et à température constante.Mais, il faut conserver ces tirages aussi... Si je regarde les tirages chez moi des vacances avec mes parents il y a ans, alors c'est pas mieux que les négatifs, au contraire parfois.
Que se passe-t-il avec tes tirages à peine vieux d'un an ? Comment les conserves-tu ?
L'archive électronique est une autre archive, avec des soucis qui lui sont propres. Je citerai, en vrac :Un scanner amplement dupliqué sur des disques durs.
- un fichier numérique, ce sont des 0 et des 1 agités par de l'électricité. Vous leur faites confiance sur un siècle à ces 0 et ces 1 ?
- un disque dur est une machine électrique, comme un grille-pain. Un jour, tu le branches, il fonctionne, le lendemain il grille et tout le contenu est perdu,
- les formats de fichiers sont soumis au temps, aux modes, et aux impératifs commerciaux. Quid dans 50 ans ? Le transfert d'un format vers le suivant doit être suivi et permanent,
- les supports changent en fonction de l'avancée technologique, des matériaux, des normes. Leur péremption est ultra-rapide et implique là aussi un transfert suivi et permanent dans le temps,
- et j'en oublie certainement en ce dimanche soir...
Le papier a plus de 2000 ans, et on sait le conserver. Le fichier numérique, on manque cruellement de recul. On est à peu près sûr de nous sur 10 ans mais au-delà...
Mais encore une fois : chacun fait comme il veut et comme il peut.
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Re: sauvetage de négatifs
Il faut gérer ces fichiers, juste comme il faut gérer les négatifs et tirages. C'est différent mais le principe reste. J'ai sur mon pc tout mes emails depuis 01/01/2003. Ca fait 18 and de email sans grands problèmes. J'ai déjà 2 fois changé d'application, 3-4 fois d'ordinateur. Et j'ai des fichiers encore plus anciens. Dans le temps je faisais les backup sur diskettes, puis CD, puis sur dvd, maintenant sur disque dur. Sans doute la prochaine génération sera sur SSD. J'ai deux copies ici et une copie à 100 km d'ici, impossible avec des négatifs.Benjamin a écrit :L'archive électronique est une autre archive, avec des soucis qui lui sont propres. Je citerai, en vrac :
- un fichier numérique, ce sont des 0 et des 1 agités par de l'électricité. Vous leur faites confiance sur un siècle à ces 0 et ces 1 ?
- un disque dur est une machine électrique, comme un grille-pain. Un jour, tu le branches, il fonctionne, le lendemain il grille et tout le contenu est perdu,
- les formats de fichiers sont soumis au temps, aux modes, et aux impératifs commerciaux. Quid dans 50 ans ? Le transfert d'un format vers le suivant doit être suivi et permanent,
- les supports changent en fonction de l'avancée technologique, des matériaux, des normes. Leur péremption est ultra-rapide et implique là aussi un transfert suivi et permanent dans le temps,
- et j'en oublie certainement en ce dimanche soir...
Le papier a plus de 2000 ans, et on sait le conserver. Le fichier numérique, on manque cruellement de recul. On est à peu près sûr de nous sur 10 ans mais au-delà...
Mais encore une fois : chacun fait comme il veut et comme il peut.
Bon, le papier peut-être, (et encore) mais il y a bien des documents du début de 1900 qui sont plus lisible car les encres sont déteriorés ou le papier tombe en mièttes.
Le stockage de données est un métier. Il faut le pratiquer.
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- Super Gourou
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Re: sauvetage de négatifs
- un fichier numérique, ce sont des 0 et des 1 agités par de l'électricité. Vous leur faites confiance sur un siècle à ces 0 et ces 1 ?
Correctement gérés, oui.
un disque dur est une machine électrique, comme un grille-pain. Un jour, tu le branches, il fonctionne, le lendemain il grille et tout le contenu est perdu,
C'est pour ça que je fais 3 copies: 2 disques durs (original/backup/backup dans un coffre à la banque)
- les formats de fichiers sont soumis au temps, aux modes, et aux impératifs commerciaux. Quid dans 50 ans ? Le transfert d'un format vers le suivant doit être suivi et permanent,
La mutation ne se fait pas en 24h. On a des années pour réouvrir ses fichiers et éventuellement les transformer en un nouveau format. Le TIT, l'EPS sont des formats sécures, qui existent depuis... au moins ça, et si on ouvre ou exporte un fichier même ancien dans Photoshop ou surtout Corel, il y a tellement d'anciens formats repris (par exemple l'EPS en 3 layers, dont plus personne ne se sert mais qui est toujours lisible et commutable) que ça en est affolant.
- les supports changent en fonction de l'avancée technologique, des matériaux, des normes. Leur péremption est ultra-rapide et implique là aussi un transfert suivi et permanent dans le temps,
Même chose: on a tout le temps de transformer ses disquettes en CD, ses CD en disques durs.... c'est un argument qui ne tient pas.
- et j'en oublie certainement en ce dimanche soir...
Surement.
V.
Correctement gérés, oui.
un disque dur est une machine électrique, comme un grille-pain. Un jour, tu le branches, il fonctionne, le lendemain il grille et tout le contenu est perdu,
C'est pour ça que je fais 3 copies: 2 disques durs (original/backup/backup dans un coffre à la banque)
- les formats de fichiers sont soumis au temps, aux modes, et aux impératifs commerciaux. Quid dans 50 ans ? Le transfert d'un format vers le suivant doit être suivi et permanent,
La mutation ne se fait pas en 24h. On a des années pour réouvrir ses fichiers et éventuellement les transformer en un nouveau format. Le TIT, l'EPS sont des formats sécures, qui existent depuis... au moins ça, et si on ouvre ou exporte un fichier même ancien dans Photoshop ou surtout Corel, il y a tellement d'anciens formats repris (par exemple l'EPS en 3 layers, dont plus personne ne se sert mais qui est toujours lisible et commutable) que ça en est affolant.
- les supports changent en fonction de l'avancée technologique, des matériaux, des normes. Leur péremption est ultra-rapide et implique là aussi un transfert suivi et permanent dans le temps,
Même chose: on a tout le temps de transformer ses disquettes en CD, ses CD en disques durs.... c'est un argument qui ne tient pas.
- et j'en oublie certainement en ce dimanche soir...
Surement.
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Re: sauvetage de négatifs
Tes arguments se tiennent mais à te lire, je me rends compte que l'on ne parle pas des mêmes volumes.
Il est évidemment rapide, facile et pas bien cher de copier 3 disques durs.
Dans mon métier d'archiviste on parle pas en disque durs mais en serveurs, pas en téraoctets mais en pétaoctets et surtout, nous avons une obligation de faire preuve avec nos archives, même électroniques, nous devons donc documenter par des métadonnées chaque fichier, et pas seulement sur 50 ans. Un siècle est un minimum. Et on n'a pas un siècle de recul sur l'archivage électronique. D'où ma préférence pour le papier.
Quant au papier... oui il se détériore... s'il est de mauvaise qualité et mal conservé, comme le film (voir plus haut) ou comme un disque dur s'il chope un court-jus, mais je peux montrer à qui le voudra des liasses d'archives vieilles de plusieurs siècles, qu'elles soient sur papier ou parchemin, et qui restent très lisibles. Et pourtant, avant le XXe s., aucune précaution n'était prise pour les conserver dans de bonnes conditions.
Mais encore une fois : chacun fait comme il veut ou peut.
Pour ma part, et parce que j'ai une pratique amateur de la photo, donc que ce n'est pas mon gagne-pain, je n'ai aucun besoin de me prendre la tête pour la conservation : je tire les quelques photos qui me plaisent (moins de 10 par an) et je jette les négatifs inutiles (images ratées ou inintéressantes, doublons, etc.).
Mais tout cela nous éloigne des négatifs bien mal en point de notre camarade...
Il est évidemment rapide, facile et pas bien cher de copier 3 disques durs.
Dans mon métier d'archiviste on parle pas en disque durs mais en serveurs, pas en téraoctets mais en pétaoctets et surtout, nous avons une obligation de faire preuve avec nos archives, même électroniques, nous devons donc documenter par des métadonnées chaque fichier, et pas seulement sur 50 ans. Un siècle est un minimum. Et on n'a pas un siècle de recul sur l'archivage électronique. D'où ma préférence pour le papier.
Quant au papier... oui il se détériore... s'il est de mauvaise qualité et mal conservé, comme le film (voir plus haut) ou comme un disque dur s'il chope un court-jus, mais je peux montrer à qui le voudra des liasses d'archives vieilles de plusieurs siècles, qu'elles soient sur papier ou parchemin, et qui restent très lisibles. Et pourtant, avant le XXe s., aucune précaution n'était prise pour les conserver dans de bonnes conditions.
Mais encore une fois : chacun fait comme il veut ou peut.
Pour ma part, et parce que j'ai une pratique amateur de la photo, donc que ce n'est pas mon gagne-pain, je n'ai aucun besoin de me prendre la tête pour la conservation : je tire les quelques photos qui me plaisent (moins de 10 par an) et je jette les négatifs inutiles (images ratées ou inintéressantes, doublons, etc.).
Mais tout cela nous éloigne des négatifs bien mal en point de notre camarade...