Photos et concert
- tarabucetta
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Photos et concert
Voilà avant-hier j'étais au Zenith pour le méga super géniallissime concert de TOOL. J'ai jamais vu un groupe avoir une telle qualité de jeu et de son (pourtant en général pas terrible au Zenith) sur scéne, ils auraient pas fait mieux en studio !!
Au Zenith ils rigolent pas, pas d'appareils photos. Ce qui est énervant car dans d'autres salles on a le droit, du coup t'emmennent rien alors que tu pourrais.
Donc ma question comment qu'on fait pour pouvoir avoir des autorisations de photographier un concert ?
Je me doute de la réponse mais peut-être que vous avez des astuces.
J'ai notamment pensé à l'appareil Malboro qui est comme un paquet de cigarettes mais je doute de sa qualité et de la présence de réglages manuels
Au Zenith ils rigolent pas, pas d'appareils photos. Ce qui est énervant car dans d'autres salles on a le droit, du coup t'emmennent rien alors que tu pourrais.
Donc ma question comment qu'on fait pour pouvoir avoir des autorisations de photographier un concert ?
Je me doute de la réponse mais peut-être que vous avez des astuces.
J'ai notamment pensé à l'appareil Malboro qui est comme un paquet de cigarettes mais je doute de sa qualité et de la présence de réglages manuels
- Georgesh
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Dans les Zénith, il faut une carte de presse ou une accréditation ( directeur de la salle ou tourneur.)
Et après, accepter les conditions liées au spectacle. Souvent des droits d' auteur sur les projections en fond de scène, par exemple MC Solaar, copyright sur "quartier nord ".
Certains artistes n' autorisent des plans que de leur meilleur profil (Sardou ) et souvent la prise de vues n' est autorisée que pendant le premier morceau.
Et après, accepter les conditions liées au spectacle. Souvent des droits d' auteur sur les projections en fond de scène, par exemple MC Solaar, copyright sur "quartier nord ".
Certains artistes n' autorisent des plans que de leur meilleur profil (Sardou ) et souvent la prise de vues n' est autorisée que pendant le premier morceau.
- fabrice C
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Je pense qu'un télémétrique qui ouvre grand et qui rentre dans un paquet de clope ça n'existe pas.
Mais quand même, ils sont cons ! Tu peux avoir un téléphone avec appareil photo ou même vidéo, mais pas un appareil photo Bon c'est sûr que tu pourras pas en faire grand chose de tes photos prises au Sagem !
Mais quand même, ils sont cons ! Tu peux avoir un téléphone avec appareil photo ou même vidéo, mais pas un appareil photo Bon c'est sûr que tu pourras pas en faire grand chose de tes photos prises au Sagem !
- Lionel
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Bonjour,
pour les "gros" genre solar ou sardou cités plus haut c'est hyper-verrouillé et vous en conviendrez qu'au point de vue photos c'est pas très intéressant.
Pour les groupes "intéressants" (souvent moins bien connus), journaliste ou pas, permission du directeur de salle ou pas, il n'y a qu'une seule autorisation permise, c'est celle de la production. Et si elle est accordée il y a souvent certaines réserves surtout en ce qui concerne la diffusion.
C'est vrai que le Tourneur (Road-manager) peut parfois autoriser mais, trop occupé pendant le concert, il faut le choper pendant la répétition (ou la balance) qui a lieu l'après-midi. Et en cas d'accord, retenez bien son nom pour éviter les ennuis le soir auprès du directeur ou service d'ordre en lançant : "j'ai la permission de Monsieur X ou je travaille pour Monsieur X..."
Vous avez fait de bonnes photos, mais là aussi vous ne détenez pas pour autant les droits de diffusion, même pas dans ce Forum. En dtoits d'auteur, c'est simple : vous n'avez droit à rien sans autorisation (de la production ou autre).
Un autre exemple de droit d'auteur: vous faites la photo d'un gamin et de son cerf-volant à la plage ou ailleurs; vous ne pouvez en aucun cas exposer ou vendre cette photo sans l'autorisation signée des parents.
Personellement, j'ai demandé à la Mairie et au directeur d'un marché à bestiaux la permission de faire des photos. Elle m'a été refusée parce que un autre avant moi à vendu des photos du lieu à la presse pour illustrer un article sur la vache folle. Pour la Mairie et la Direction, fini les caméras et appareils photos. Moi, c'était les portraits sous les bérets et casquettes qui m'intéressaient.
pour les "gros" genre solar ou sardou cités plus haut c'est hyper-verrouillé et vous en conviendrez qu'au point de vue photos c'est pas très intéressant.
Pour les groupes "intéressants" (souvent moins bien connus), journaliste ou pas, permission du directeur de salle ou pas, il n'y a qu'une seule autorisation permise, c'est celle de la production. Et si elle est accordée il y a souvent certaines réserves surtout en ce qui concerne la diffusion.
C'est vrai que le Tourneur (Road-manager) peut parfois autoriser mais, trop occupé pendant le concert, il faut le choper pendant la répétition (ou la balance) qui a lieu l'après-midi. Et en cas d'accord, retenez bien son nom pour éviter les ennuis le soir auprès du directeur ou service d'ordre en lançant : "j'ai la permission de Monsieur X ou je travaille pour Monsieur X..."
Vous avez fait de bonnes photos, mais là aussi vous ne détenez pas pour autant les droits de diffusion, même pas dans ce Forum. En dtoits d'auteur, c'est simple : vous n'avez droit à rien sans autorisation (de la production ou autre).
Un autre exemple de droit d'auteur: vous faites la photo d'un gamin et de son cerf-volant à la plage ou ailleurs; vous ne pouvez en aucun cas exposer ou vendre cette photo sans l'autorisation signée des parents.
Personellement, j'ai demandé à la Mairie et au directeur d'un marché à bestiaux la permission de faire des photos. Elle m'a été refusée parce que un autre avant moi à vendu des photos du lieu à la presse pour illustrer un article sur la vache folle. Pour la Mairie et la Direction, fini les caméras et appareils photos. Moi, c'était les portraits sous les bérets et casquettes qui m'intéressaient.
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- Super Gourou
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Bonsoir, on en revient au droit de photographier!
Il y a quelques mois, à Florence dans l'église Santa Maria Novelle, il était clairement notifié qu'ilétait vietato de photographier et une cerbère faisait une chasse effrénée aux touristes qui utilisaient le téléphone photo.
Le lieu manquait de lumière pour faire une photo nette sans pied. Mais par provocation, défi, j'ai eu une envie folle de la prendre cette photo cette église.
J'ai tourné, retouné, admirant hypocritement le plafond, et surveillant le dragon d'un oeil. Puis j'ai pris la photo! je n'ai pas eu le temps d'oter l'appareil de l'oeil, que la gardienne avait parcouru les deux-tiers de la nef en m'expliquant que c'etait verbotten. ¤¤¤¤¤¤¤ soit le bruit du reflex au fond d'une église.
La photo n'est pas mirobolante mais on voit bien la charmante signora me tournant le dos devant le choeur! ils ont choisit "Oreille futée qui se déplace comme le vent" pour surveiller leur église!
Bonne soirée
Il y a quelques mois, à Florence dans l'église Santa Maria Novelle, il était clairement notifié qu'ilétait vietato de photographier et une cerbère faisait une chasse effrénée aux touristes qui utilisaient le téléphone photo.
Le lieu manquait de lumière pour faire une photo nette sans pied. Mais par provocation, défi, j'ai eu une envie folle de la prendre cette photo cette église.
J'ai tourné, retouné, admirant hypocritement le plafond, et surveillant le dragon d'un oeil. Puis j'ai pris la photo! je n'ai pas eu le temps d'oter l'appareil de l'oeil, que la gardienne avait parcouru les deux-tiers de la nef en m'expliquant que c'etait verbotten. ¤¤¤¤¤¤¤ soit le bruit du reflex au fond d'une église.
La photo n'est pas mirobolante mais on voit bien la charmante signora me tournant le dos devant le choeur! ils ont choisit "Oreille futée qui se déplace comme le vent" pour surveiller leur église!
Bonne soirée
- fabrice C
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hugh grand guerrier papouleu mérite notre respect.
Il a pris des risques, et à rapporté un trophée.
Faisons une danse en son honneur ...
Sinon, je vous rappelle quand même (on ne sait jamais) que la saisie du matériel est tout aussi verboten, le droit de propriété protège AUSSI le photographe.
Et que de plus en plus, les photos d'extéreur sur le domaine public sont traitées avec condescendance par la jurisprudence : On peut tout à fait prendre des photos des personnes, elles ne peuvent pas s'opposer à la photo, mais elles peuvent s'exposer à la publication. Tout dépend ce que l'on compte en faire, évidemment !
Quand aux bâtiments, sauf objet architectural contemporain pondu par un chieur exigeant des droits d'auteur, le simple fait d'être proprio ne suffit pas à interdire la prise de vue de l'extérieur d'un bâtiment.
Et là, pour le coup, la jurisprudence autorise même la publication (même lucrative, cela n'a rien à voir !)
C'est au proprio de prouver la notion de nuisance durable et concrète produite par la prise de vue.
Il a pris des risques, et à rapporté un trophée.
Faisons une danse en son honneur ...
Sinon, je vous rappelle quand même (on ne sait jamais) que la saisie du matériel est tout aussi verboten, le droit de propriété protège AUSSI le photographe.
Et que de plus en plus, les photos d'extéreur sur le domaine public sont traitées avec condescendance par la jurisprudence : On peut tout à fait prendre des photos des personnes, elles ne peuvent pas s'opposer à la photo, mais elles peuvent s'exposer à la publication. Tout dépend ce que l'on compte en faire, évidemment !
Quand aux bâtiments, sauf objet architectural contemporain pondu par un chieur exigeant des droits d'auteur, le simple fait d'être proprio ne suffit pas à interdire la prise de vue de l'extérieur d'un bâtiment.
Et là, pour le coup, la jurisprudence autorise même la publication (même lucrative, cela n'a rien à voir !)
C'est au proprio de prouver la notion de nuisance durable et concrète produite par la prise de vue.
- Népo
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Pas que dans les zéniths... et l'accréditation doit être une accréditation média pour entrer avec l'appareil. Comme se sont des sociétés de sécu qui font les fouilles, ils ne regardent que le petit carton plastifié. Pas moyen de dire "mais si, c'est Mlle Untel, manageuse de Tellautre qui m'a dit que c'est bon, j'avais le droit !!" appareil direct au vestiaire si y'en a un.Georgesh a écrit : Dans les Zénith, il faut une carte de presse ou une accréditation ( directeur de la salle ou tourneur.)
Et je confirme que certains zicos refusent que n'importe quel quidam prenne des tofs... y'a que la photo de presse qui vaut.
Mais l'accrédite, c'est bien, tu peux aller te balader au pieds de la scène, dans les barrières (attention, des fois ça pousse fort) !! Apparemment j'en ai une pour le Foin de la rue la semaine prochaine... En revanche Les 3 éléphants, "petit" festoche à 12000 personnes, se la jouent comme pas possible, pas moyen de faire rentrer l'appareil, sauf dans la doublure de la doudoune (fin juillet, c'est dur la doudoune, et suspect).
Et je confirme, soit accrédite par l'organisateur, soit par le manageur. Ceci dit, y'a des fois je préfère largement ne pas regarder le concert par le viseur pourtant superbe de mon appareil... on en profite moins. Ce que j'ai vachement aimé, c'était de prendre des tofs pendant une interview d'Anis, chanteur dont on a pas mal entendu parlé depuis (page 13 de notre départemental "tranzistor", ici). J'espère faire cette année Fantazio et/ou Dominique A.
Népo
- Georgesh
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en fréquentant les pools des organisateurs de manifestations , en donnant un coup de main de ci de là, en montrant un book, en proposant une exposition sur un thème complémentaire, on arrive à obtenir une autorisation de prises de vues, mais il faut y aller tôt dans la saison.Le droit à l' image des artistes est contradictoire avec la liberté revendiquée de photographier.
souvent, les musiciens ont leur photographe attitré (pochette de CD, affiches, dossier de presse, dossier de prod.) et chacun défend son pré carré. La vente de produits dérivés est aussi une source de revenus complémentaires. D' ailleurs, ce sont souvent des photographes de presse qui travaillent par relationnel avec les artistes. Des photos contre une publication dans la presse.
souvent, les musiciens ont leur photographe attitré (pochette de CD, affiches, dossier de presse, dossier de prod.) et chacun défend son pré carré. La vente de produits dérivés est aussi une source de revenus complémentaires. D' ailleurs, ce sont souvent des photographes de presse qui travaillent par relationnel avec les artistes. Des photos contre une publication dans la presse.