Je viens de refaire les calculs.Corto_M a écrit :Je viens de me rendre compte que j'ai fais une erreur : la graduation "1 m" correspond à distance plan objet - plan film.
Dans mes calculs, j'ai considéré que c'était la distance "plan objet - centre optique".
En refaisant les calculs, avec pour hypothèse un écart de 2 cm entre les points nodaux AV et AR de l'objectif, la variation de tirage pour une focale de 51,6 mm et une mise au point à 1 m (soit 93 cm du centre optique de la lentille mince équivalente) est de 3,03 mm.
En partant de l'équation 1/f = 1/f1 + 1/f2, et en posant que d = f1 + f2 + n,
avec :
f= focale de l'objectif,
f1 : distance de point nodal arrière au plan du film
f2 : distance du point nodal avant à l'objet photographié
d : distance de mise au point, mesurée de l'objet photographié au plan du film
on tombe sur une équation du 2nd degré, où f est l'inconnue.
La solution positive de cette équation est :
f = sqr((d-n).t) - t (avec sqr( ) pour "racine carrée de ...)
Applications numériques :
d= 1 m, n = 0,02 m (soit 2 cm), t = 0,00293 --> f = 50,66 mm.
idem, avec n = 0,015 m --> f = 50,79 mm
idem, avec n = 0,01 m --> f = 50,93 mm
On voit qu'il est difficile de faire du "reverse enginering" sans connaître l'écart entre les points nodaux de l'objectif