Collodium

[natflo]

Au passage quand la fin d'un mot fini par ium il y a de forte chance que ce soit du latin a la base, maintenant qu'il soit latin, anglais, frannçais, ou hollandais, du moment que l'on ce soit tous compris c'est le plus important

Je vais lire cette article qui m'a l'aire ultra intéressant, merci pour les petit conseil les copains

[numérix]

Et "collodion" en langage Arduino ça se dit comment ?
(retour de bâton tout à fait amical mon cher Bruno )


ps : je dis "streetphoto" pour ne pas confondre "photo de rue" et "photo de rues"

sais pas faut faire une "library" (ça c'est du latin )

[Oriu]

Il y a aussi l’appellation anglo-saxonne "Wet Plate" qui a l'intérêt d'indiquer que c'est plaque humide, comme l'appellation française Collodion humide, car cette surface n'est sensible que humide http://www.blur-magazine.com/sections/wetplate

[PierreL]

Il existe aussi du collodion sec non?

[Oriu]

j'avoue je ne sais pas, mais si c'est le cas, le procédé doit être différent

[$acàpof]

Certaines photos de ton lien sont vraiment top !!!
Je sens qu'un jour je vais franchir le pas !

[PierreL]

j'avoue je ne sais pas, mais si c'est le cas, le procédé doit être différent

trouvé ça... http://www.handcamera.fr/index.php/proc ... nssectanin
apparament, la base semble être la même mais avec ensuite l'application d'une substance pour protéger le collodoin.

[Oriu]

Très ce lien par contre il faudrait plus de détail sur les traitements supplémentaires
je n'ai pas lu mais il y a un fil sur le forum Disactis http://disactis.com/forum/index.php?topic=745.0

[numérix]

Il existe aussi du collodion sec non?

en fait non, car pour pouvoir être développable le collodion ne doit pas avoir séché (devenu imperméable au revelateur)
il y a eu des essais pour conserver leurs perméabilité par ajout de tanin (C. Russell 1861)
enfin pour dire, si c'était possible, il y a longtemps que ça existerait

je pense que l'attrait du collodion vient de ses défauts et que le résultat peut être inattendu, ce qui fait sont charme

oups j'avais pas vu le lien plus haut

[PierreL]

Il existe aussi du collodion sec non?

en fait non, car pour pouvoir être développable le collodion ne doit pas avoir séché (devenu imperméable au revelateur)
il y a eu des essais pour conserver leurs perméabilité par ajout de tanin (C. Russell 1861)
enfin pour dire, si c'était possible, il y a longtemps que ça existerait

je pense que l'attrait du collodion vient de ses défauts et que le résultat peut être inattendu, ce qui fait sont charme

oups j'avais pas vu le lien plus haut

Ce n'est pourtant pas ce que disent les deux liens qui ont été postés...

[numérix]

a quel niveaux ?

[PierreL]

Le message d'Oriu juste avant le tien et le mien juste avant le sien.

[Oriu]

ça l'air de fonctionner d'après les essais de Lionel Turban de Disactis, mais celà semble encore plus difficile à maitriser et surtout difficile d'avoir des résultats réguliers

[Gekos]

Tout à fait, certains se (re)penchent sur le sujet depuis plusieurs années
Très peu sensible, les chimies qui diffèrent... tanin, concentration supérieur de NiAg, développement différent (au pyroganol de mémoire ?)
J'ai rencontré récemment Charles Guérin, un des nouveaux pionniers du collodion sec français et ça avait l'air de fonctionner

[numérix]

les livres que je consulte datent un peu

[PierreL]

En parlant de collodion sec,Je viens de tromber un peu par hasard sur ça....
http://www.jurokovacik.com/blog/2016/1/ ... ass-plates

[numérix]

A dark day, EV11 and exposure 28 minutes with F5.6.
pour ISO100 c'est 1/60e pour f/5.6 ça nous fait du ISO 0.05 bon il est vrai sans tenir compte de l'effet Schwarzschild impossible à evaluer

[Jenjan]

Bonjour, je passe rarement par ici (je me demande même si ce n'est pas mon premier post sur ce forum), je suis surtout actif sur Disactis, nommé plus haut.
Tout d'abord sur le nom, en français c'est bien collodiON humide, les anglophones disent "wet plate collodion". Il existe bien aussi le collodion sec au tanin, qui a l'avantage de ne pas avoir à trimballer tout le labo avec soi, mais qui est par contre encore moins sensible que le collodion humide (quand je fais mes mesures pour estimer l'exposition, selon l'âge de mon collodion, je table entre 0,5 et 1iso).
J'ai vu un certain nombre de gars essayer de commencer seuls, d'autres avoir des initiations (c'est mon cas, j'ai fait un stage d'une journée), et d'autres faire de vrais stages, complets, sur plusieurs jours...on voit la différence. Un copain photographe a réalisé de très belles plaques SEUL peu de temps après sa formation. Un gars comme moi mettra au moins quelques semaines pour faire des plaques propres, le faire de manière constante c'est autre chose. Et ceux qui cherchent à débuter seuls mettent beaucoup plus de temps (ça se compte en mois voire plus...), font énormément d'erreurs, se cassent les dents sur des problèmes qu'on peut régler en 5 minutes et, selon les produits utilisés, peuvent potentiellement mettre leur vie en danger. Quand je vois des néophytes acheter du cyanure ou du cadmium, ça me fait bondir !
Bon, si vraiment tu veux commencer tout seul, il faut au moins acheter un ou deux bouquins récents, en anglais par contre : soit de Mark & Scully Osterman, soit celui de Quinn Jacobson. Je ne les ai pas mais je sais qu'ils sont bons.
Va aussi sur Disactis, lis les sujets sur le collodion, prend des notes sur les problèmes rencontrés et les moyens de les résoudre. Quel que soit le problème que tu rencontreras ( c'est inévitable), il a déjà été rencontré et résolu.
Bon courage quoi qu'il en soit.

(A parte, en collodion humide, mon record d'exposition c'est 12 minutes, cet hiver, avec environ 2000w de lumière. En été c'est impossible )