oui j'ai vu un broncolor fcm avec sa sonde....300 € le truc...autant investir dans un vrai spotmètre à main, une petite calculatrice et un petit mètre ruban pour tenir compte de l'indice de soufflet...Oriu a écrit :La sonde de mesure Sinar a suivi l'évolution des posemètres, les premières versions étaient à base de cellules fabriqués par Gossen (comme celle de l'annonce est le plus ancien que je connaisse).
Ensuite il y a eu toujours sur le même principe d'une sonde que l'on peut balader sur le cadre de la visée sous le dépoli, avec des posemètres plus récents dont le Broncolor FCM qui fait flashmètre et mesure lumière continue, avec liaison avec les unité de puissance Broncolor
Avec la génération Sinar P2 il y avait une cellule Minolta flasmeter 5 connectée à la sonde
il y avait aussi le montage 100% Sinar avec l'obturateur connecté à la cellule, une vraie usine à gaz https://www.pacificrimcamera.com/rl/02077/02077.pdf
identification accessoire
- ALambix
- Super Gourou
- Messages : 8846
- Enregistré le : dimanche 04 février 2007 19:26
- Localisation : Strasbourg 67
- Contact :
Re: identification accessoire
-
- Super Gourou
- Messages : 4262
- Enregistré le : mardi 14 mai 2013 16:50
- Localisation : Bruxelles
Re: identification accessoire
La sonde Sinar... ce truc était impayable. Mais bon... (je le sais, j'ai failli... etc etc... mais au final je ne l'ai pas fait).
Ceci dit, ce n'était vraiment pas mal, pas tellement pour une mesure globale (qu'on fait/faisait) avec un posemètre/flashmètre en incidente, mais c'était top génial pour ceux qui faisaient du light painting: de petites sources très très ponctuelles (genre tache de lumière à des endroits précis, pour souligner une partie d'un objet, ou "sortir" une texture, ou encore jouer sur des T° de couleur différentes...
On utilisait des fibres optiques (broncolor) ou des trucs plus artisanaux (projecteur de diapo, lampe de poche, etc..) pour réaliser ça plus ou moins finement.
Actuellement il existe plutôt des petits flash/projecteurs sur lesquels on monte une optique d'appareil de prise de vue, et on concentre avec des focales différentes...
V.
Ceci dit, ce n'était vraiment pas mal, pas tellement pour une mesure globale (qu'on fait/faisait) avec un posemètre/flashmètre en incidente, mais c'était top génial pour ceux qui faisaient du light painting: de petites sources très très ponctuelles (genre tache de lumière à des endroits précis, pour souligner une partie d'un objet, ou "sortir" une texture, ou encore jouer sur des T° de couleur différentes...
On utilisait des fibres optiques (broncolor) ou des trucs plus artisanaux (projecteur de diapo, lampe de poche, etc..) pour réaliser ça plus ou moins finement.
Actuellement il existe plutôt des petits flash/projecteurs sur lesquels on monte une optique d'appareil de prise de vue, et on concentre avec des focales différentes...
V.
- Oriu
- Membre de l'association
- Messages : 33486
- Enregistré le : lundi 21 avril 2008 18:37
- Localisation : 37 mais 2A par le coeur
Re: identification accessoire
Le FCM était surtout utile et pratique avec les flashs Broncolor en studio, car on déclenche les flashs sans fil à la patte et le FCM indique l'ouverture et suivant le résultat on règle la puissance du flash pour obtenir un résultat conforme à l'ouverture que l'on souhaite.
Et a l'époque avant de shooter un plan film couleur ou faisait un Polaroid pour valider la répartition et le rendu de l'éclairage, tout une époque qui a disparue. Les coups en fourniture était conséquent, il fallait réfléchir avant de tirer le volet du châssis
Et a l'époque avant de shooter un plan film couleur ou faisait un Polaroid pour valider la répartition et le rendu de l'éclairage, tout une époque qui a disparue. Les coups en fourniture était conséquent, il fallait réfléchir avant de tirer le volet du châssis