
Un Durst M 305, est déjà un haut de gamme dans le petit monde du 24 x 36.
Il accepte des objectifs en monture 39 à vis, et à focale de 50 mm.Le principe est de tirer avec une optique de même valeur que celle utilisée à la prise de vues. Pas la peine de faire des efforts de composition et de tirer avec un cul de bouteille.
Pour un investissement à long terme, prévoir du Componon, componon S
chez Schneider, du Nikon( EL Nikkor) ouvrant à 4 , c' est suffisant, sinon du Nikon ouvrant à 2, 8, c' est forcément plus cher. Chez Rodenstock, il y a aussi des équivalents, les Rodagon.
Ces 6 modèles sont reconnus bons, par des tireurs qui pratiquent le 30 x 40 (format habituel des expos). Et chacun prêchera pour sa chapelle en disant que sa marque fétiche pique plus que celle des autres.
Maintenant, si c' est pour tirer du 13 x18... pas la peine de faire des frais. Eviter quand même les triplets genre Triotar, et les optiques polonaises des Krokus.
AMHA, une formule pas onéreuse consiste à acheter les superbes Boyer
Saphir, et mieux les saphir B. en fabrication à diaphragmes crantés.
Pour voir une différence de piqué entre les Nikon, les Schneider et les Rodenstock, il faut faire des tirages d' un mètre carré ...
Solution pour ne rien dépenser:
Si tu as un télémètrique à optique interchangeable genre Fed, Zorki, l' optique de prises de vues peut très bien faire l' affaire. Au début des Leica à vis, les premiers agrandisseurs Valoy étaient vendus sans optique, et on prenait celle du boitier. Seul handicap, il faut mettre l' optique en position MAP sur l' infini, et il faut des doigts de fée pour tourner la bague des diaphs.