Leica rachète SINAR (moyen et grand format), du groupe Jenoptik (au passage à l'origine de Karl Zeiss avant spolliation par les communistes car situé comme son nom l'indique à Iéna/Jena- en ex-Allemagne de l'Est. Si vous apssez par là visité le très beau musée de l'optique).
LEICA KAUFT SINAR
Liebe Leica Freunde,
die Sensationsnachricht aus Solms !
Leica hat 51% der Aktien der SINAR AG von JENOPTIK übernommen.
Beide Unternehmen werden von den Synergien in der technischen Zusammenarbeit wie auch im Marketing und Vertrieb profitieren. Es ist der erste Schritt zu einem Ausbau des Geschäftes der Leica Camera AG.
Die SINAR AG bietet professionellen Fotografen führende Lösungen für Mittel- und Großformatkameras mit sowohl analoger wie auch digitaler Technologie.
JENOPTIK implementiert den Kodak - Chip und die Software für die neue Leica M8.
http://www.sinar.ch
Leica fait des emplettes
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Rombier
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Rombier
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La même en français. La coopération en numérique avait déjà commencé avec le M8.
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14 ... -46,0.html
Le fabricant allemand d'appareils photos Leica Camera va racheter 51% des parts de la société suisse Sinar au groupe allemand d'optique Jenoptik, a-t-il annoncé lundi. Le prix de la transaction n'a pas été divulgué. Pour Leica, en difficultés ces dernières années après avoir peiné à prendre le virage du numérique, cette acquisition est "le premier pas sur le chemin d'une expansion de l'activité", selon un communiqué. Le groupe attend du rachat de Sinar "des synergies dans la coopération technique de même que dans le marketing et la commercialisation". Leica a lancé un appareil photo numérique destiné au reportage photo sur lequel il mise pour se redresser. Le groupe vient aussi de changer d'actionnaire de référence, le français Hermès cédant sa part de 36% à la holding autrichienne ACM. Sinar, qui fabrique des appareils photos argentiques et des pièces pour appareils photos numériques, va continuer à fournir Jenoptik sur certaines gammes de produits, précise le communiqué.
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14 ... -46,0.html
Le fabricant allemand d'appareils photos Leica Camera va racheter 51% des parts de la société suisse Sinar au groupe allemand d'optique Jenoptik, a-t-il annoncé lundi. Le prix de la transaction n'a pas été divulgué. Pour Leica, en difficultés ces dernières années après avoir peiné à prendre le virage du numérique, cette acquisition est "le premier pas sur le chemin d'une expansion de l'activité", selon un communiqué. Le groupe attend du rachat de Sinar "des synergies dans la coopération technique de même que dans le marketing et la commercialisation". Leica a lancé un appareil photo numérique destiné au reportage photo sur lequel il mise pour se redresser. Le groupe vient aussi de changer d'actionnaire de référence, le français Hermès cédant sa part de 36% à la holding autrichienne ACM. Sinar, qui fabrique des appareils photos argentiques et des pièces pour appareils photos numériques, va continuer à fournir Jenoptik sur certaines gammes de produits, précise le communiqué.
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Papouleu
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en l'honneur de l'inauguration de notre collection de leica -
Georgesh
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fabrice C
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Paul K.
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Non sérieusement, je n'ai rien contre le fait que Leica passe au numérique ; de toutes façons, c'est ça ou ils meurent.
Seulement, le M8, je ne le voyais pas comme ça, et je crois qu'ils vont faire "Plouf" comme ils ont fait avecle M5 (vous vous rappelez ?).
Laissez-moi un petit moment pour peaufiner mon argumentaire.
A+
Seulement, le M8, je ne le voyais pas comme ça, et je crois qu'ils vont faire "Plouf" comme ils ont fait avecle M5 (vous vous rappelez ?).
Laissez-moi un petit moment pour peaufiner mon argumentaire.
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fabrice C
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A voir: article dans Libé daté de lundi 25 sur le sujet qui nous occupe.
Le nouveau M8 y est annoncé à 425 euros: ma main au feu que le gars qui relit les articles avant impression, et qui doit gagner un bon (?) millier d'euros par mois, s'est dit: oula, erreur de frappe, un zéro de trop, heureusement que j'avais l'oeil!
Le nouveau M8 y est annoncé à 425 euros: ma main au feu que le gars qui relit les articles avant impression, et qui doit gagner un bon (?) millier d'euros par mois, s'est dit: oula, erreur de frappe, un zéro de trop, heureusement que j'avais l'oeil!
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Paul K.
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Attention à la tartine :
Ne parlons pas seulement technique, parlons "business plan". Aprés avoir inventé non seulement le 24x36 mais aussi le marché du 24x36 dans les années 30, depuis 52 ans avec les "M", Leitz communique à ses fans, qu'ils soient amateurs ou pros, le message clair suivant : le 24x36, c'est notre tradition et nous serons toujours dans cette tradition à la pointe de la technique. Vous achetez nos appareils parce qu'ils ne changent jamais, et que ce seront toujours les meilleurs. C'est un peu paradoxal, non ? Eh bien, c'est vrai, et les leicaïstes le croient, avec raison !
Aujourd'hui, en sortant CE M8 numérique, à mon avis ils cassent cette image ! Il fallaient bien sûr qu'ils sortent un numérique dans la tradition des "M", mais dans l'état actuel de l'art et grâce aux tarifs qu'ils pratiquent - et qui sont admis par leurs clients, ils auraient pu/du faire beaucoup mieux. Parce que le M8 a les caractéristiques des APN d'aujourd'hui, qui seront dépassés dans 6 mois, et que les leicaïstes (même les plus fortunés) ne les suivront jamais dans la même spirale de renouvellement du matériel qui est de mise dans le reste du marché des APN.
Au lieu de ça, d'accord il fallait faire un APN avec un look de Leica M et une ergonomie compatible (avec les habitudes des leicaïstes) ; mais pour ne pas trahir leurs deux messages, il fallait que ce soit avec un capteur 24x36 plein pot (le 24x36 est notre invention et notre tradition) et que ce capteur soit nettement meilleur (à tous les points de vue) que tout ce qui est sur le marché (nous sommes à la pointe de la technique) ; et c'était possible, car entre ce qu'il y a sur le marché et ce qu'on peut techniquement faire, les constructeurs en gardent sous le pied - pour pouvoir sortir leurs nouveautés au rythme du marché des APN classiques ; et aux tarifs Leitz, on pouvait se permettre ce grand bond en avant.
Or examinons aussi le point de vue du client leicaïste : pour qu'il se laisse convaincre d'acheter un boîtier numérique à plus de 4000 euros (nu), il vaudrait mieux qu'on ne l'oblige pas aussi (pour cause de capteur) à changer toute sa gamme d'objectifs (au tarif Leitz), et plus encore ses habitudes ! Qu'un reporter emporte machinalement son 35mm au lieu du 28, sa journée est foutue... s'il emporte tout, mais est tout le temps obligé de réfléchir à l'optique qu'il choisit en fonction de son boîtier, il perd ses repères intuitifs, et donc il perd du temps... et peut-être des photos.
Le choix des optiques, donc de la perspective des photos qu'on prend, est un élément important de l'ergonomie d'un système... et de la créativité du photographe !
Donc il était indispensable pour convaincre les leicaïstes, de pouvoir leur dire : vous gardez vos optiques, vous ne changez pas vos habitudes, et vous obtiendrez dans tous les cas des résultats comparables sinon supérieurs à ce que vous aviez du temps des pelloches.
Quant au reste : Qu'il est ridicule, cet écran minuscule au dos du M8 ! Et que c'est fragile ! Il fallait proposer autre chose, et c'était possible.
Faire un boîtier sans écran (pour qu'il puisse tomber par terre ou être cogné sans se casser) : car de plus, le leicaïste n'en a pas l'usage ; mais au lieu de cela, qu'il suffise de poser l'appareil à côté de son ordinateur portable et de pouvoir démarrer celui-ci avec un utilitaire spécial qui serve de grand écran, de moyen de stockage et de transmission immédiate des photos par Internet : toutes les chambres des grandes chaînes d'hôtels dans le monde permettent des liaisons Internet grâce à des bornes Wifi. Avec des portables ordinaires on peut le faire, mais il faut dix minutes et une certaine expertise pour booter Windows et "configurer" la liaison. Avec le portable dédié au Leica, les communications entre l'appareil et le portable (en Bluetooth ou en Zigbee) et le portable et Internet (en Wifi) se configureraient automatiquement au démarrage en fonction des paramètres d'environnement locaux détectés - et d'autres à l'arrivée, prédéfinis. Sans expertise particulière, sans prise de tête, sans aucune filasse, le reporter serait ainsi immédiatement en contact avec son agence, où qu'il soit dans le monde - pour ce qui lui importe : sélectionner et envoyer ses clichés.
Pour le reste de l'ergonomie : il est vrai qu'un appareil numérique doit donner accès à bien d'autres paramètres qu'un argentique. Des menus sur l'écran arrière et les 4 boutons game boy sont une solution peu pratique pour le feu de l'action.
Je propose à la place qu'on fasse enfin la peau au barillet des vitesses (vestige des temps où cet élément contrôlait mécaniquement la fente de l'obturateur), et qu'on mette à la place un petit écran cristaux liquide comme sur les réflex modernes (argentiques ou numériques) mais qu'on puisse y faire défiler et configurer grâce à une molette concentrique au déclencheur (comme sur le M5) et deux boutons tombant à l'arrière de l'appareil sous le pouce, à la place du levier d'armement, les options principales de menus prédifinis plus en détail en liaison avec l'utilitaire propriétaire du portable - étant entendu qu'en situation, il est inutile et même nuisible d'avoir accès à une configuration trop complexe.
En conclusion, moi je voyais le M8 avec un capteur 24x36 de 5400x3600 pixels bien adapté à TOUTES les optiques existantes (dont les meilleures affichent rappelons-le, plus de 100 lignes au mm, ce à quoi le boîtier numérique se doit de ne pas faire honte) ; avec ce couplage évident et sans cables avec un portable et Internet, grâce à un (des) utilitaire(s) propriétaire(s) spécialisé(s) immédiatement en service ; et une ergonomie rénovée et adaptée au numérique, mais moins complexe dans ses fonctions accessibles sur le terrain que les menus etc. des APN classiques.
Avec le message toujours aussi clair : comme depuis toujours, nous sommes les meilleurs !!! et vous adorerez ce boîtier.
A+
PS : ...que je ne aurais pas appelé M8, mais plutôt N3 (par exemple).
Ne parlons pas seulement technique, parlons "business plan". Aprés avoir inventé non seulement le 24x36 mais aussi le marché du 24x36 dans les années 30, depuis 52 ans avec les "M", Leitz communique à ses fans, qu'ils soient amateurs ou pros, le message clair suivant : le 24x36, c'est notre tradition et nous serons toujours dans cette tradition à la pointe de la technique. Vous achetez nos appareils parce qu'ils ne changent jamais, et que ce seront toujours les meilleurs. C'est un peu paradoxal, non ? Eh bien, c'est vrai, et les leicaïstes le croient, avec raison !
Aujourd'hui, en sortant CE M8 numérique, à mon avis ils cassent cette image ! Il fallaient bien sûr qu'ils sortent un numérique dans la tradition des "M", mais dans l'état actuel de l'art et grâce aux tarifs qu'ils pratiquent - et qui sont admis par leurs clients, ils auraient pu/du faire beaucoup mieux. Parce que le M8 a les caractéristiques des APN d'aujourd'hui, qui seront dépassés dans 6 mois, et que les leicaïstes (même les plus fortunés) ne les suivront jamais dans la même spirale de renouvellement du matériel qui est de mise dans le reste du marché des APN.
Au lieu de ça, d'accord il fallait faire un APN avec un look de Leica M et une ergonomie compatible (avec les habitudes des leicaïstes) ; mais pour ne pas trahir leurs deux messages, il fallait que ce soit avec un capteur 24x36 plein pot (le 24x36 est notre invention et notre tradition) et que ce capteur soit nettement meilleur (à tous les points de vue) que tout ce qui est sur le marché (nous sommes à la pointe de la technique) ; et c'était possible, car entre ce qu'il y a sur le marché et ce qu'on peut techniquement faire, les constructeurs en gardent sous le pied - pour pouvoir sortir leurs nouveautés au rythme du marché des APN classiques ; et aux tarifs Leitz, on pouvait se permettre ce grand bond en avant.
Or examinons aussi le point de vue du client leicaïste : pour qu'il se laisse convaincre d'acheter un boîtier numérique à plus de 4000 euros (nu), il vaudrait mieux qu'on ne l'oblige pas aussi (pour cause de capteur) à changer toute sa gamme d'objectifs (au tarif Leitz), et plus encore ses habitudes ! Qu'un reporter emporte machinalement son 35mm au lieu du 28, sa journée est foutue... s'il emporte tout, mais est tout le temps obligé de réfléchir à l'optique qu'il choisit en fonction de son boîtier, il perd ses repères intuitifs, et donc il perd du temps... et peut-être des photos.
Le choix des optiques, donc de la perspective des photos qu'on prend, est un élément important de l'ergonomie d'un système... et de la créativité du photographe !
Donc il était indispensable pour convaincre les leicaïstes, de pouvoir leur dire : vous gardez vos optiques, vous ne changez pas vos habitudes, et vous obtiendrez dans tous les cas des résultats comparables sinon supérieurs à ce que vous aviez du temps des pelloches.
Quant au reste : Qu'il est ridicule, cet écran minuscule au dos du M8 ! Et que c'est fragile ! Il fallait proposer autre chose, et c'était possible.
Faire un boîtier sans écran (pour qu'il puisse tomber par terre ou être cogné sans se casser) : car de plus, le leicaïste n'en a pas l'usage ; mais au lieu de cela, qu'il suffise de poser l'appareil à côté de son ordinateur portable et de pouvoir démarrer celui-ci avec un utilitaire spécial qui serve de grand écran, de moyen de stockage et de transmission immédiate des photos par Internet : toutes les chambres des grandes chaînes d'hôtels dans le monde permettent des liaisons Internet grâce à des bornes Wifi. Avec des portables ordinaires on peut le faire, mais il faut dix minutes et une certaine expertise pour booter Windows et "configurer" la liaison. Avec le portable dédié au Leica, les communications entre l'appareil et le portable (en Bluetooth ou en Zigbee) et le portable et Internet (en Wifi) se configureraient automatiquement au démarrage en fonction des paramètres d'environnement locaux détectés - et d'autres à l'arrivée, prédéfinis. Sans expertise particulière, sans prise de tête, sans aucune filasse, le reporter serait ainsi immédiatement en contact avec son agence, où qu'il soit dans le monde - pour ce qui lui importe : sélectionner et envoyer ses clichés.
Pour le reste de l'ergonomie : il est vrai qu'un appareil numérique doit donner accès à bien d'autres paramètres qu'un argentique. Des menus sur l'écran arrière et les 4 boutons game boy sont une solution peu pratique pour le feu de l'action.
Je propose à la place qu'on fasse enfin la peau au barillet des vitesses (vestige des temps où cet élément contrôlait mécaniquement la fente de l'obturateur), et qu'on mette à la place un petit écran cristaux liquide comme sur les réflex modernes (argentiques ou numériques) mais qu'on puisse y faire défiler et configurer grâce à une molette concentrique au déclencheur (comme sur le M5) et deux boutons tombant à l'arrière de l'appareil sous le pouce, à la place du levier d'armement, les options principales de menus prédifinis plus en détail en liaison avec l'utilitaire propriétaire du portable - étant entendu qu'en situation, il est inutile et même nuisible d'avoir accès à une configuration trop complexe.
En conclusion, moi je voyais le M8 avec un capteur 24x36 de 5400x3600 pixels bien adapté à TOUTES les optiques existantes (dont les meilleures affichent rappelons-le, plus de 100 lignes au mm, ce à quoi le boîtier numérique se doit de ne pas faire honte) ; avec ce couplage évident et sans cables avec un portable et Internet, grâce à un (des) utilitaire(s) propriétaire(s) spécialisé(s) immédiatement en service ; et une ergonomie rénovée et adaptée au numérique, mais moins complexe dans ses fonctions accessibles sur le terrain que les menus etc. des APN classiques.
Avec le message toujours aussi clair : comme depuis toujours, nous sommes les meilleurs !!! et vous adorerez ce boîtier.
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PS : ...que je ne aurais pas appelé M8, mais plutôt N3 (par exemple).
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Georgesh
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Le M8 est un appareil à visée télémètrique. Il a un viseur clair à cadres lumineux.-
tarabucetta
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Non effectivement. Mais les focales changent !
D'ailleurs question de néophyte : certaines excellentes optiques réflex argentiques sont moins bien en numérique à cause de la taille du capteur.
J'imagine que chez Leïca, ils y ont réfléchi mais ça serait dommage quand même que les meilleures optiques du monde argentique, ne soit que de trés bonnes optiques pour numérique !!!
D'ailleurs question de néophyte : certaines excellentes optiques réflex argentiques sont moins bien en numérique à cause de la taille du capteur.
J'imagine que chez Leïca, ils y ont réfléchi mais ça serait dommage quand même que les meilleures optiques du monde argentique, ne soit que de trés bonnes optiques pour numérique !!!
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coignet
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Long et intéressant messsage ! J'en ai retiré ce qui m'intéresse le plus, pour y répondre, et j'ai numéroté ces extraits pour que ce soit clairPaul KOPFF a écrit :[1] pour ne pas trahir leurs deux messages, il fallait que ce soit avec un capteur 24x36 plein pot (le 24x36 est notre invention et notre tradition) et que ce capteur soit nettement meilleur (à tous les points de vue) que tout ce qui est sur le marché (nous sommes à la pointe de la technique)
[…]
[2] et aux tarifs Leitz, on pouvait se permettre ce grand bond en avant.
[…]
[3] Faire un boîtier sans écran (pour qu'il puisse tomber par terre ou être cogné sans se casser) : car de plus, le leicaïste n'en a pas l'usage
[…]
[4] Je propose à la place qu'on fasse enfin la peau au barillet des vitesses (vestige des temps où cet élément contrôlait mécaniquement la fente de l'obturateur), et qu'on mette à la place un petit écran cristaux liquide comme sur les réflex modernes
1. Oui, un capteur 24x36, ce serait plus agréable.
De plus, la majorité des photographes actuels sont habitués à ces capteurs qui sont de plus petit format que le 24x36, puisqu'ils sont adoptés y compris sur du matériel haut de gamme, chez les autres, comme NIKON.
Je pense qu'il faut se souvenir d'où vient ce format : c'est le double du format utilisé par le cinéma sur le film 35mm, car l'idée fondatrice du Leica, qui a été utilisée rapidement par presque tous les constructeurs, en dehors de ceux du moyen format, était d'utiliser de la pellicule de cinéma. S'il n'y a plus de pellicule (cas du numérique), le format peut être différent. Ici, il est différent pour deux raisons, qu'on le regrette ou non : les résultats ne sont pas bons dans les angles avec les capteurs actuels, en raison de l'angle des rayons lumineux par rapport au plan du capteur : la pellicule tolère ce défaut (avec quelques aberrations chromatiques, qui sont généralement plutôt bien contenues chez Leica), pas le capteur, surtout avec les optiques M dont la lentille arrière est plus près du plan de projection de l'image que dans un reflex ; les capteurs de format 24 x 36 existent, mais on le voit chez Canon, le prix du matériel 24x36 numérique proposé sont presque le double de celui de ce M8.
2. Le risque était trop grand de produire un boîtier aux performances critiquables dans les angles, à un tel tarif…
3. Le leicaiste, même s'il est souvent bizarre, a besoin de cette possibilité de contrôle, comme les autres utilisateurs de matériel numérique : vérification des courbes, réglages confortables, etc. A mon avis, il aurait été injustifiable que sur un boîtier de ce prix, ce confort présent sur du matériel de gamme amateur chez Nikon et Canon n'y soit pas ! Pour ma part, je trouve dommage qu'il n'y ait pas d'affichage complémentaire en haut de capot, et que cet écran n'ait pas de protection, contre les chocs, contre la lumière : capot.
4. Je toruve que le barillet des vitesses est de loin ce qu'on a inventé de plus commode. En revanche, il peut être amélioré : le M5 dont on parle plus haut dans ce fil a un barillet plat et saillant en face avant de l'appareil, c'est formidablement agréable à utiliser, comme celui du R8-R9.
Il est dommage d'avoir ainsi conservé l'ancien barillet M… Cela se justifie sur les anciens boîtiers mécaniques, car il est positionné de manière logique par rapport au mécanisme interne : le déplacer demande de rehausser le capot, comme justement sur le M5. Mais dans le cas du M8 numérique, c'est incompréhensible, sinon pour faire un boîtier qui ressemble comme un frère aux anciens M, ce que j'aurais tendance à critiquer.
En effet, je trouve regrettable de ne pas avoir proposé un design nouveau et moderne, en adéquation avec ce nouveau produit totalement différent des anciens mécaniques !
Néanmoins, il ne semble pas que Leica se soit trompé : les boîtiers sont prévendus sur plus d'un an.
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xzamagni
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Juste pour dire, mais Jenoptik est né dans la DDR après la Carl Zeiss Jena, et c'était la division (devinez) optique, produisant notamment des jumelles magnifiques. Je n'ai utilisée une une fois, à ne pas y croire pour la netteté (une jumelle de 40 ans incroyablement meilleure que la mienne made in japan). L'histoire de la Jenoptik a été publiée dans la revue de la Carl Zaiss Historical Society.
Quant au M8, c'est trop cher, et ça suffit pour moi. Mais pour le reste, bof... seulement le temps dira si le M8 est vraiment dépassé dans six mois: j'aimerais bien, histoire à m'en acheter un à 500-600 euros dans 2 ans, mais je n'y crois malheureusement pas. Les comptes-rendus qui se lisent sur l'internet parlent de clichés bcp meilleurs qu'avec le RD1 (qui est pourtant, après deux ans de sa sortie, encore très cher). Je crois qu'il aurait été bien plus stupide de sortir un M8 avec capteur 24x36 mais sur lequel les optiques M actuelles n'auraient pas pu être utilisées à cause du vignettage.
Cl.
Quant au M8, c'est trop cher, et ça suffit pour moi. Mais pour le reste, bof... seulement le temps dira si le M8 est vraiment dépassé dans six mois: j'aimerais bien, histoire à m'en acheter un à 500-600 euros dans 2 ans, mais je n'y crois malheureusement pas. Les comptes-rendus qui se lisent sur l'internet parlent de clichés bcp meilleurs qu'avec le RD1 (qui est pourtant, après deux ans de sa sortie, encore très cher). Je crois qu'il aurait été bien plus stupide de sortir un M8 avec capteur 24x36 mais sur lequel les optiques M actuelles n'auraient pas pu être utilisées à cause du vignettage.
Cl.
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jm711
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Je viens de faire un rapprochement plus qu'étonnant, mais je suis peut-être juste en retard d'une guerre.
Il s'agit du Leica Digilux3. Je viens de m'apercevoir qu'il s'agissait d'un réflex avec un capteur 4/3 identique aux nouveaux Olympus. Il partage en plus la bayonnette et la stabilisation optique.
Y aurait-il une alliance entre ces deux constructeurs ?
Par ailleurs, et pour faire écho aux propos de Paul sur un système numérique nouveau, et bien il semble que ce soit le cas avec celui-ci. En effet, il ne ressemble pas en grand chose aux classiques réflex numériques. Ceux-ci sont constitués d'un capteur homothétique au format 24x36, à savoir d'un rapport de 3/2, plus petit pour s'accomoder des inconvénients du capteur numérique par rapport à la pellicule (les coins) et pour pouvoir garder les optiques traditionnelles.
Dans ce système, et c'est bien mieux vendu (expliqué) sur le site Olympus, on part sur un capteur novateur, de format adapté au monde numérique (4/3, c'est le rapport classique des écrans et des APNs) et qui s'affranchirait ainsi des problèmes des capteurs 3/2. Et on développe une nouvelle baïonnette de licence ouverte. Et c'est comme ça qu'on a la même baïonnette pour le Leica et les Olympus. Ah oui, et on met aussi un système pour enlever la poussière du capteur et un stabilisateur optique sur le capteur (mais ça, il me semble que Sony - repreneur de Minolta - le fait).
Alors, je me dis : serait-ce un vrai système photographique pensé pour le numérique et non plus une évolution des systèmes 24x36 ?
Et à ce titre, gagnerait-il à être reconnu ?
J'avoue que quand je l'ai vu pour la première fois sur le site Olympus, je me suis dit : ils ont rien compris, ils changent du tout au tout, alors que les Canon et Nikon font dans l'évolution, bref, ça ne marchera jamais.
Mais en voyant que Leica semble aussi impliqué (partenaire ?), je me dit alors, et pourquoi pas ? C'est quand même un système pensé pour le numérique, et pas une énième adaptation (comme le M8 ).
Quand pensez-vous ?
Edit : d'après mes dernières recherches, il conviendrait de rajouter Kodak, Panasonic et Sigma à Olympus et Leica.
Re-Edit : je rajoute Sanyo et Fuji et la liste est complète. Et le site officiel : http://www.four-thirds.org .
Il s'agit du Leica Digilux3. Je viens de m'apercevoir qu'il s'agissait d'un réflex avec un capteur 4/3 identique aux nouveaux Olympus. Il partage en plus la bayonnette et la stabilisation optique.
Y aurait-il une alliance entre ces deux constructeurs ?
Par ailleurs, et pour faire écho aux propos de Paul sur un système numérique nouveau, et bien il semble que ce soit le cas avec celui-ci. En effet, il ne ressemble pas en grand chose aux classiques réflex numériques. Ceux-ci sont constitués d'un capteur homothétique au format 24x36, à savoir d'un rapport de 3/2, plus petit pour s'accomoder des inconvénients du capteur numérique par rapport à la pellicule (les coins) et pour pouvoir garder les optiques traditionnelles.
Dans ce système, et c'est bien mieux vendu (expliqué) sur le site Olympus, on part sur un capteur novateur, de format adapté au monde numérique (4/3, c'est le rapport classique des écrans et des APNs) et qui s'affranchirait ainsi des problèmes des capteurs 3/2. Et on développe une nouvelle baïonnette de licence ouverte. Et c'est comme ça qu'on a la même baïonnette pour le Leica et les Olympus. Ah oui, et on met aussi un système pour enlever la poussière du capteur et un stabilisateur optique sur le capteur (mais ça, il me semble que Sony - repreneur de Minolta - le fait).
Alors, je me dis : serait-ce un vrai système photographique pensé pour le numérique et non plus une évolution des systèmes 24x36 ?
Et à ce titre, gagnerait-il à être reconnu ?
J'avoue que quand je l'ai vu pour la première fois sur le site Olympus, je me suis dit : ils ont rien compris, ils changent du tout au tout, alors que les Canon et Nikon font dans l'évolution, bref, ça ne marchera jamais.
Mais en voyant que Leica semble aussi impliqué (partenaire ?), je me dit alors, et pourquoi pas ? C'est quand même un système pensé pour le numérique, et pas une énième adaptation (comme le M8 ).
Quand pensez-vous ?
Edit : d'après mes dernières recherches, il conviendrait de rajouter Kodak, Panasonic et Sigma à Olympus et Leica.
Re-Edit : je rajoute Sanyo et Fuji et la liste est complète. Et le site officiel : http://www.four-thirds.org .