Je compte faire bientôt des photos de théâtre. J'aurai besoin de conseils ou de témoignages de personnes ayant pratiqué la photo de théâtre ou de spectacle.
Je vais en faire en N&B, pellicule Ilford HP5 en 400.
Appareil photo ; canon eos 300x 28-90mm
Merci d'avance pour les conseils.
Photos de théâtre
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- fabrice C
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Pour ne pas géner le jeu d'acteur j'aurais tendance à oublier le flash à la maison.
Tu ne dis pas si ton objo est rapide ?
Disons que moi j'obtiens de bons résultats même avec des objos très moyens : Du sigma qui ouvre entre 4 et 5,6.
Je pousse la HP5 à 3200 et développe dans ID-11 en suivant scrupuleusement le temps indiqué sur la notice :
On obtiens ainsi des photos très lisibles, très franches en contraste, ce qui dramatise l'ambiance et pour moi correspond assez bien à l'atmosphère des planches.
Evidemment, si tu as des objos à 1,5 ou 2 ... même pas besoin de pousser !
C'est vous qui voyez, comme dit laspalès.
Tu ne dis pas si ton objo est rapide ?
Disons que moi j'obtiens de bons résultats même avec des objos très moyens : Du sigma qui ouvre entre 4 et 5,6.
Je pousse la HP5 à 3200 et développe dans ID-11 en suivant scrupuleusement le temps indiqué sur la notice :
On obtiens ainsi des photos très lisibles, très franches en contraste, ce qui dramatise l'ambiance et pour moi correspond assez bien à l'atmosphère des planches.
Evidemment, si tu as des objos à 1,5 ou 2 ... même pas besoin de pousser !
C'est vous qui voyez, comme dit laspalès.
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- Intéressé
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fabrice a tout dit !!
pas flash c'est certain !
quant à pousser à 3200 OK mais pense qu'avec le contraste et le grain les recadrages serrés et les grand agrandissement seront délicats.
N'oublis pas non plus qu'en fonction du type déclairage (les spots dirrigé sur les acteurs), les contrastes de luières sont très important.
Moi j'ai tendance à me mètre en mesure "spot" et faire ma mesure sur les visages des comédiens. Cela évite qu'il soit suresxposés ou sous exposés en fonction de leurs mouvement.
pas flash c'est certain !
quant à pousser à 3200 OK mais pense qu'avec le contraste et le grain les recadrages serrés et les grand agrandissement seront délicats.
N'oublis pas non plus qu'en fonction du type déclairage (les spots dirrigé sur les acteurs), les contrastes de luières sont très important.
Moi j'ai tendance à me mètre en mesure "spot" et faire ma mesure sur les visages des comédiens. Cela évite qu'il soit suresxposés ou sous exposés en fonction de leurs mouvement.
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- Débutant
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besoin conseil
Bonsoir,
Avec du 3200 asa le grain est très apparent. Vous pouvez essayer
le film Neopan 1600 , le grain sera plus discret . Développer
dans du d76 1+1 pendant 9 minutes.
Avec le tri x 400 poussé à 800 asa et développé dans du d 76 1+1 pendant 9 minutes 30.
Cordialement.
Avec du 3200 asa le grain est très apparent. Vous pouvez essayer
le film Neopan 1600 , le grain sera plus discret . Développer
dans du d76 1+1 pendant 9 minutes.
Avec le tri x 400 poussé à 800 asa et développé dans du d 76 1+1 pendant 9 minutes 30.
Cordialement.
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- Super Gourou
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Bonsoir,
Pour autant que je sache, les règles du jeu sont les mêmes que pour la photographie de plateau (cinéma) :
Pas de flash, ça c'est sûr...
Mais aussi pas de bruit intempestif de boîtier, ce qui exclue a priori les gros "tromblons" genre Hasselbald, Zenza Bronica, et même certains réflex 35 mm.
Sans parler des modèles "sonorisés" (moteurs de mise au point des anciennes optiques, avancement et réarmement motorisé, etc.).
Sur le plan des optiques, il faut bien entendu des téléobjectifs moyens à longs (entre 100 mm et 300 mm), lors du spectacle.
Et grandes ouvertures presque obligatoires.
Par contre, lors des répétitions, l'on peut travailler plus près, mais sans gêner.
Bien que l'on n'y pense pas, les paresoleils sont à conseiller (pour ne pas accrocher des réflexions de lumière en provenance des poursuites).
Un monopode peut aider à une image stable, lors d'une prise de vue à faible vitesse, depuis les coulisse.
Par contre, pas de pied classique (trop encombrant et risque de gêne ou de chute des gens).
Les acteurs ne se placent pas sur la scène au petit bonheur, mais selon des emplacements précis et prédéterminés. C'est une bonne idée de repérer les distances correspondantes, par rapport à votre emplacement de prise de vue.
En matière d'émulsion, de la 400 permet déjà de faire du bon travail. Si certaines scènes sont moins éclairées ou que les acteurs bougent vite et souvent, il faudra monter en ISO, pour assurer profondeur de champ et vitesse adéquates.
En couleur, les versions lumière artificielle (A ou B) seront indispensables. Surtout en diapositives (en négatif, on peut un peu compenser les écarts de température de couleur, lors du tirage).
Cordialement.
Pour autant que je sache, les règles du jeu sont les mêmes que pour la photographie de plateau (cinéma) :
Pas de flash, ça c'est sûr...
Mais aussi pas de bruit intempestif de boîtier, ce qui exclue a priori les gros "tromblons" genre Hasselbald, Zenza Bronica, et même certains réflex 35 mm.
Sans parler des modèles "sonorisés" (moteurs de mise au point des anciennes optiques, avancement et réarmement motorisé, etc.).
Sur le plan des optiques, il faut bien entendu des téléobjectifs moyens à longs (entre 100 mm et 300 mm), lors du spectacle.
Et grandes ouvertures presque obligatoires.
Par contre, lors des répétitions, l'on peut travailler plus près, mais sans gêner.
Bien que l'on n'y pense pas, les paresoleils sont à conseiller (pour ne pas accrocher des réflexions de lumière en provenance des poursuites).
Un monopode peut aider à une image stable, lors d'une prise de vue à faible vitesse, depuis les coulisse.
Par contre, pas de pied classique (trop encombrant et risque de gêne ou de chute des gens).
Les acteurs ne se placent pas sur la scène au petit bonheur, mais selon des emplacements précis et prédéterminés. C'est une bonne idée de repérer les distances correspondantes, par rapport à votre emplacement de prise de vue.
En matière d'émulsion, de la 400 permet déjà de faire du bon travail. Si certaines scènes sont moins éclairées ou que les acteurs bougent vite et souvent, il faudra monter en ISO, pour assurer profondeur de champ et vitesse adéquates.
En couleur, les versions lumière artificielle (A ou B) seront indispensables. Surtout en diapositives (en négatif, on peut un peu compenser les écarts de température de couleur, lors du tirage).
Cordialement.
- tomripley
- Intéressé
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j'ai pris récemment quelques photos d'un spectacle...
bien sur pas de flash (souvent interdit d'ailleurs)
j'avais emmen le pied, et impossible de s'en servir, pas assez de place
Hp5, avec un 50mm 1.8, c'était tout juste en lumière (spot sur la scène)... je te conseillerai de pousser aumoins jusqu'à 800, voire 1600iso
bien sur pas de flash (souvent interdit d'ailleurs)
j'avais emmen le pied, et impossible de s'en servir, pas assez de place
Hp5, avec un 50mm 1.8, c'était tout juste en lumière (spot sur la scène)... je te conseillerai de pousser aumoins jusqu'à 800, voire 1600iso
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- Débutant
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