Je postais ce message pour avoir de plus amples informations concernant le fonctionnement d'un scanner pour pelloche de type 24X36.
Je possède un reflex numérique mais je dois dire que je suis quelque peu déçu en terme de piqué et de résolution d'image. J'envisage donc de passer à l'argentique (la bonté du numérique est de rendre désormais accessible des boitiers pro d'occaz pour presque une bouchée de pain

Alors voilà admettons j'ai bouclé ma pelloche, je la rembobine et je décide de la scanner. Question conne, je le concède, mais comment ça marche, techniquement parlant ? Je fous ma pelloche dans un 'receptacle' et 'l'engin se charge de décortiquer le film et de le numériser ? où bien faut-il déjà avoir le 'support' négatif ? et si oui, comment est-ce qu'on fait pour désosser la dite pellicule ?
Autre petite question concernant le scan. La beauté de l'argentique, notemment en noir et blanc, c'est le grain que l'on obtient. Ce dernier ressort-il de manière identique à un développement classique si je le scan et que je fais ensuite un 'tirage' numérique ?
Je sens venir les réponses comme quoi, rien ne vaut un tirage maison mais c'était pour me donner une idée. Et débutant complètement dans le domaine, on ne va pas griller les étape non plus...

Et je vais finir par une dernière tite question. Si je pousse ma pelloche (genre dans peu de temps je vais assister à une représentation de théâtre jouée par des amis et je comptais prendre une tri X 400 poussée à 1600 voir 3200), en lisant des posts sur les forums il m'a semblé comprendre que 'la manip' ne prenait son sens qu'au moment de développer, en utilisant des produits différents. Donc j'essaye de shématiser mais si je scan une pelloche de 400 poussée à 3200, c'est pareil que si je scan une pelloche de 400 prise en condition 'normale' ?
Bon, j'imagine que mes questions en feront marrer plus d'un mais voilà, quand on débute, y a pas de mystère. Faut soit essayer, soit se faire un peu éclairer. Et c'est pour ça que je suis là. Donc merci d'avance !!!
