Helloo,
Question aux utilisateurs de cette cellule:
Voila quelques semaines, je me décide à remplacer ma vieillissante cellule. Je fini par me laisser convaincre par une Sixtomat (because précision en basse lumiere, blabla, prix "correct"(190€)).
Mais voila, il y a un hic, et un gros même....
Exemple concret:
Je fais une mesure, et, par exemple, je me retrouve pour une vitesse de 60 avec une ouverture de 5.6.4, ou sur une autre mesure, pour une vitesse de 125, une ouverture de 4.0.6.
Hum... Vous me voyez venir?....
Alors je retourne chez mon vendeur, et lui demande pourquoi je n'ai pas d'ouvertures "rondes" disons classiques (4.0/5.6/8 etc etc). Il me répond que justement c'est un avantage de la bêbête, a savoir qu'elle est tellement précise qu'elle affiche même les dixièmes et que de toutes façon les appareils modernes permettent ce genre de réglage.
Ah...
Hum moi je m'en sert avec de vieux et betes appareils qui ne comprennent pas les 5.6.7 ou autre 8.0.3.
Arghh, comment faites-vous? Il faut arrondir? en ce disant qu'en dessous de X.X.5 on prend la mesure du bas, et qu'à partir de X.X.6 on arrondis au dessus? Une technique? un truc?
Merci d'avance.
GBrownie.
Nos forumeurs ont du talent
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Heeelp!!! Posemètre GOSSEN Sixtomat Digital
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- Georgesh
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Arrondis au diaph le plus proche...
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hello bis,
C'est vrai que jusque là, de X.X.0 à X.X.5 j'arrondis vers le bas et de X.X.6 à X.X.9 j'arrondis au dessus.
J'avoue que c'est le X.X.5 qui m'angoisse. Limite la crise dans une situation d'urgence, je fais ma mesure et PAF 5.6.5
Arghhhhhh, le grand dilemme, la grande question????? que faire????
Arrondir au plus proche, oui, mais plus proche de X.X.5 c'est quoi??
Jusqu'à present j'utilise la méthode du: "tu t'acharnes comme un malade sur le petit bouton, jusqu'a avoir une valeur ne te mettant pas face à un cas de conscience majeur".
Mouarf dur dur la technologie... Et encore, je ne parle meme pas du soucis avec un sténopé, parce que là, le diaf de difference....
Merci pour la réponse, je vais y aller plus zen.

C'est vrai que jusque là, de X.X.0 à X.X.5 j'arrondis vers le bas et de X.X.6 à X.X.9 j'arrondis au dessus.
J'avoue que c'est le X.X.5 qui m'angoisse. Limite la crise dans une situation d'urgence, je fais ma mesure et PAF 5.6.5
Arghhhhhh, le grand dilemme, la grande question????? que faire????
Arrondir au plus proche, oui, mais plus proche de X.X.5 c'est quoi??
Jusqu'à present j'utilise la méthode du: "tu t'acharnes comme un malade sur le petit bouton, jusqu'a avoir une valeur ne te mettant pas face à un cas de conscience majeur".
Mouarf dur dur la technologie... Et encore, je ne parle meme pas du soucis avec un sténopé, parce que là, le diaf de difference....

Merci pour la réponse, je vais y aller plus zen.

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- Super Gourou
- Messages : 1413
- Enregistré le : jeudi 13 octobre 2005 11:10
- Localisation : Troisième planète du système solaire, groupe local de galaxies, superamas de la Vierge
Bonjour,
Sauf si on fait des mesures de sensitométrie, avec un densitomètre, il est inutile d'avoir une telle précision.
Avec la pellicule la plus "chatouilleuse" en matière d'exposition, c'est à dire l'inversible couleur, il est normalement difficile de voir une différence (à l'examen visuel simple), entre deux prises de vues successives, faites avec un écart d'un quart de diaphragme.
C'est pourquoi, l'on considère qu'en dessous d'un tiers de diaphragme, le rendu n'est plus assez différent pour justifier une précision supérieure.
Bien entendu, nous ne parlons ici que des émulsions classiques, et non pas de certains films spéciaux, comme le Kodak Aéro (infrarouge couleur), où effectivement, un écart d'un quart de diaphragme se fait encore sentir.
Pour du film négatif couleur, ou N&B, la précision réellement nécessaire est encore inférieure.
Sauf, bien sûr, pour des sujets extrêment contrastés, qui flirtent avec les limites de la plage de densités pouvant être "encaissée" par le film.
Pour mémoire, un diaphragme automatique (et même manuel) ne se ferme jamais exactement à la même ouverture (au dixième de millimètre près), sur le même réglage.
Et l'obturateur mécanique qui donne les vitesses affichées, dans la plage de tolérance de plus ou moins 10 %, est déjà un excellent obturateur...
Sans parler de la sensibilité nominale du film, qui peut légèrement évoluer avec le temps de stockage (phénomène de maturation, qui ne s'interrompt pas à partir de la fin de la fabrication, sauf stockage à - 20° C, et même beaucoup plus bas encore).
Cordialement.
Sauf si on fait des mesures de sensitométrie, avec un densitomètre, il est inutile d'avoir une telle précision.
Avec la pellicule la plus "chatouilleuse" en matière d'exposition, c'est à dire l'inversible couleur, il est normalement difficile de voir une différence (à l'examen visuel simple), entre deux prises de vues successives, faites avec un écart d'un quart de diaphragme.
C'est pourquoi, l'on considère qu'en dessous d'un tiers de diaphragme, le rendu n'est plus assez différent pour justifier une précision supérieure.
Bien entendu, nous ne parlons ici que des émulsions classiques, et non pas de certains films spéciaux, comme le Kodak Aéro (infrarouge couleur), où effectivement, un écart d'un quart de diaphragme se fait encore sentir.
Pour du film négatif couleur, ou N&B, la précision réellement nécessaire est encore inférieure.
Sauf, bien sûr, pour des sujets extrêment contrastés, qui flirtent avec les limites de la plage de densités pouvant être "encaissée" par le film.
Pour mémoire, un diaphragme automatique (et même manuel) ne se ferme jamais exactement à la même ouverture (au dixième de millimètre près), sur le même réglage.
Et l'obturateur mécanique qui donne les vitesses affichées, dans la plage de tolérance de plus ou moins 10 %, est déjà un excellent obturateur...
Sans parler de la sensibilité nominale du film, qui peut légèrement évoluer avec le temps de stockage (phénomène de maturation, qui ne s'interrompt pas à partir de la fin de la fabrication, sauf stockage à - 20° C, et même beaucoup plus bas encore).
Cordialement.