Salut,
Une petite qui n'en est pas vraiment une, mais qui m'a fait flipper quelques jours:
Au Maroc en juin dernier, la sublime (

)première chaine nationale a diffusé un film dont l’héroïne se liait d'amitié avec des jeunes filles, puis les photographiait avec son moyen format yashica.
En gros, les jeunes filles photographiées mourraient quelques heures après, pendant que l'héroïne tirait la photo et rajeunissait.
Une sorte de sorcière voleuse de vitalité/âme dont l'arme était un 6x6 bi-objo...
Les jours qui ont suivi du coup, c'était vraiment désagréable de photographier au Rollei dans la rue...
Des enfants qui montrent du doigt, des passants surpris qui se barrent en vitesse du cadre en jettant des regards en coin, d'autres qui demandent agressivement ce que je fais et demandent de retourner d'où je viens etc...
Voilà comment un navet sans nom peut avoir des répercussions sur la photo
Edit: Une qui me revient à l'esprit:
Me voyant réarmer le zorki dans la rue, un passant m'a dit qu'il était très beau, et m'a demandé où on lisait l'heure...
Il pensait sérieusement que c'était un réveil matin mécanique en forme d'appareil photo
