ugh! renard subtil a parlé!

sa parole est d'or et ses conseils précieux!
le papoose avisé l'écoute d'une oreille éveillée.
pour le souflet, sur ces appareil au ressort toujours vigoureux après 40 ans, ça veut dire qu'il ne faut pas les ouvrir objectif vers le bas. sinon shklang boum ... et faire très attention quand on met la bobine en place à ce que la bande soit vraiment dans l'axe.
pour l'agrandissement, à la louche, le négatif est presque 6 fois plus grand qu'en 135. ça veut dire que pour une taille de papier, le rapport d'agrandissement est grosso merdo 6 fois plus faible que celui qu'on aurait eu avec un 24x36...

ça ouvre des possibilités...
je me suis amusé à faire un petit calcul en numérisant à partir du neg: sans forcer, je sors un fichier d'un peu plus de 8000x5000, soit 40 Mégapixels (ça doit correspondre à un scan en 2400dpi, si mes souvenirs sont bons). Avec la Tmax 100 que j'avais utilisé, on est encore loin du grain, je pense qu'il faut bien doubler la résolution pour s'en approcher. en comptant que le grain correspond à une "résolution analogique" de sensiblement 5000 dpi (càd qu'il faudrait scanner à 5000dpi pour avoir une résolution du même ordre que celle présente dans le négatif), un négatif de 6cm par 9 permettrait d'extraire une quantité d'information correspondant à 40x2²=40x4=160 Mégapixel...
(2² parce que les pixel sont rapportés à une surface, les dpi à une longueur. S=L² donc quand on multiplie par 2 les unités de longueur, on multiplie par 2² les unités de surface... non? si il y a un tronche en physique qui passe par là pour confirmer ou pas...? c'est des vieux vieux souvenirs...)
pas mal pour un appareil des années 50, non?
(bon, on est d'accord, c'est approximatif et ça a finalement pas beaucoup de sens... c'est juste que ça m'avait fait marrer de réaliser ça...)