Ce n'est pas le bisounours qui parle mais le modérateur qui n'y comprend pas grand chose en developpement (meme rien) mais qui lit qd meme pour surveiller vos "temps de cuisson" respectifs...
Merci a tous

Personne n'a édicté de règle.....vdragon75 a écrit :Bien sur, chacun peut développer comme il en a envie. C'est un problème personnel, et le droit de procéder de manière folklorique est un acquit de la démocratie. Mais qu'on ne vienne pas m'édicter cela comme une règle à suivre!
.....Ah, si !vdragon75 a écrit :Je pense que si on fait quelque chose qui tient à coeur, on le fait bien.
Ou au moins on essaye.
En conséquence, il me parait normal de mettre le plus de chances de son coté et de tenter de travailler selon des règles qui ont leur raison d'être depuis l'avènement du gelatino-bromure d'argent.
Et j'ajouterais "Et qui s'interessera à nos photos, même bien traitées,dans une trentaine d'année?"vdragon75 a écrit :Après tout, qui s'interessera à vos photos mal traitées - et maltraitées- dans une trentaine d'année?
Résumé d'un extrait d'un fil sur Summilux consacré au process de développement de Jules Steimetz (tireur des plus grands photographes dans les années 60/70 et qui n'utilisait pas de bain d'arrêt) :vdragon75 a écrit :Si certains ont un doute quant à l'efficacité du bain d'arrêt, malgré les arguments annoncés, qu'ils n'en mettent pas. Mais comme ils sont incapables de donner un argument contre, il n'y a pas de raison de se priver de la sécurité qu'apporte son usage.
T'oublies juste de préciser que ce grand Jules (paix à son âme), émettait lui-même quelques réserves sur son procédé pour du traitement chez le particulier dans des petites cuves. Lui, il traitait à l'hectolitre, il avait des contraintes de temps et de coût, ce qui n'est pas le cas pour la plupart de nous.Jérôme a écrit :Résumé d'un extrait d'un fil sur Summilux consacré au process de développement de Jules Steimetz (tireur des plus grands photographes dans les années 60/70 et qui n'utilisait pas de bain d'arrêt) :
- Aprés développement, il y a du révélateur dans la couche de gélatine qui a gonflé! (et dans le fixateur, il y a fixateur + révélateur)
- Aprés fixage, il y a, dans la couche de gélatine, révélateur + fixateur
- Si bain d'arrêt, il y a révélateur + acide acetique + fixateur (et idem dans le fixateur)
Conclusion :
- avec BA il faut laver plus longtemps et le fixateur se pollue plus.
Ma conclusion : je ne suis pas en mesure de valider cette conclusion, mais le fait qu'un grand pro procédait de cette façon (pour des négatifs et des tirages pour lesquels la conservation n'était pas un vain mot) me laisse à croire que ma pratique n'est pas complètement stupide![]()
Je me contente de veiller à utiliser un fixateur actif (test systématique) et à effectuer un lavage suffisant.
Tout à fait d'accord avec cela en ce qui concerne l'essentiel de son procédé (D76 pur avec régénération, allongement de la durée du bain, agitation limitée)..... d'ailleurs je n'ai jamais essayétarabucetta a écrit :T'oublies juste de préciser que ce grand Jules (paix à son âme), émettait lui-même quelques réserves sur son procédé pour du traitement chez le particulier dans des petites cuves. Lui, il traitait à l'hectolitre, il avait des contraintes de temps et de coût, ce qui n'est pas le cas pour la plupart de nous.