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mathgl a écrit :Mouai, mais ca pourrait etre aussi monté sur un hybride...
Un micro 4/3 Olympus
Je n'ai jamais compris pourquoi certain hybridistes s'acharnaient a monter des objos MF sur des DSLR. Je ne parle meme pas des objo GF.... Plus le cercle image augmente plus la résolution s'effondre alors autant attacher un cul de bouteille sur un µ capteur....
Ptit Pifou a écrit :J'ai développé mes 34 films couleur, le tsunami de posts va pas tarder
Bonsoir,
Je ne suis pas au même niveau que Ptit Pifou mais je viens de traiter 18 films (120 et 135) et vu mon peu (mais alors très peu) d’appétence pour la mise en spire de bobine 120, c'est plutôt un exploit pour moi.
Il reste encore à traiter 9 rouleaux de Lucky100 en 135 (Oui, ce film chinois périmé que je disais ne pas trop apprécier ) et 2/3 rouleaux de HP5+
Je vois le bout du tunnel. Mon problème c'est que je tire plus vite que je développe.
Comme Ptit Pifou, je vais moi aussi vous soumettre quelques images dans les jours qui viennent
Bonne soirée
JMK
La fêtes des pères arrive, du coup mercredi dernier j'ai photographié tous les enfants de mon groupe sur film. Au bout du compte cela fait trois "Ô joie"
- Ô joie ! J'ai eu la bonne idée de ne pas utiliser l'Aero Ektar et la Pacemaker comme je comptais le faire mais mon Mamiya RB 67 SD Pro et son redoutable KL 150. Du coup tous les portraits sont nets car la vitesse de déclenchement a compensé le mouvement de mes loustics.
- Ô joie ! La moitié des portraits est exploitable et le reste et bien je vais le faire demain avec mon machin à puce 24x36 sans film
- Ô joie ! Comme d'habitude un portrait se détache des autres, prendre la pose et donner de soi pour un portrait ce n'est pas simple pour des adultes, encore moins pour des enfants en difficulté mais elle y arrive et du coup pour elle je tenterai le grand format.
Et sinon, non il n'y aura pas la version "Ô rage" de cette aventure, je préfère positiver !
Ah, j'aurais pu mettre la présente intervention dans "crackausores" mais bon...
J'ai pris l'habitude pour cause de mauvaises expériences (et de mauvaise volonté des vigiles chargés de passer les bagages aux rayons X dans les aéroport et qui refusent de vérifier la présence de films manuellement) de voyager (quand je prends l'avion) avec un boitier digital.
Bon, mais tout de même, ça ne fait pas mon bonheur.
Je vais donc étoffer ma trousse d'un boitier argentique et de Tmax 400 (en priant Sainte Véronique que ce soit exploitable au retour) en plus du dit Eos Digital. Il faut vivre dangereusement.
Impératif: un Canon pour ne pas avoir à trainer 2 gammes d'optiques.
J'ai donc acheté sur la Baie un eos 300V pour... 11 euros.
J'en ai déjà un, mais qui est monopolisé en film couleur. Et franchement, 11 euros... même pas utile d'extraire le film: on achète un nouveau boitier.
Et tout ça pour venir au fait que ce truc bas de gamme, pur plastique, qui ne pèse rien (pour le voyage, c'est plutôt bien) est un très bon petit boitier, accessible au dernier des clochards, mais en qualité pure basique, il n'a pas grand chose à envier à mon EOS 1v.
Ca expose bien, régulièrement, dispose de tous les contrôles utiles, et si on le vole et si on le perd, ou encore si on le casse, ça n'empêche pas vraiment de dormir.
Et on peu monter dessus des optiques hors de prix, si on veut, la qualité y est.
Que demander de plus?
Bon, c'est un manifeste pour promouvoir de minables (d'apparence) boitiers qui font parfaitement le travail des grands sans moufter.. On n'y pense pas assez, dans notre recherche de l'appareil ultime: ces petites choses ne déméritent pas. Hommage est donc rendu!
V.
PS: ce serait peut être intéressant de créer un post ou chacun pourrait déclarer quelles sont les fonctions minimales et impératives qu'il attend d'un boitier selon sa manière de photographier. Je suis sur que ce serait utile.
vdragon76 a écrit :Bon, c'est un manifeste pour promouvoir de minables (d'apparence) boitiers qui font parfaitement le travail des grands sans moufter.. On n'y pense pas assez, dans notre recherche de l'appareil ultime: ces petites choses ne déméritent pas. Hommage est donc rendu!
V.
PS: ce serait peut être intéressant de créer un post ou chacun pourrait déclarer quelles sont les fonctions minimales et impératives qu'il attend d'un boitier selon sa manière de photographier. Je suis sur que ce serait utile.
C'est amusant, hein? Mais c'est vrai, si on regarde le résultat alors le boitier y est pour peu. Si je regarde tout les dias que j'ai fait avec mon humble Praktica MTL-3 et son Pentacon 50/1.8. S'il sont pas trés bien, c'est pas du à l'appareil mais au photographe.
J'ai donc acheté sur la Baie un eos 300V pour... 11 euros.
Et dire que lorsqu'en 2001 j'ai offert ce boîtier (en kit avec un 28-90) à mon épouse, je l'avais payé 400 € !
Mais je te rejoins totalement sur le fait qu'il fait le job et que notamment son exposition était parfaite.
D'ailleurs, même s'il est relégué depuis longtemps dans sa boîte (mon épouse étant passé au numérique depuis des années), il suffit de lui remettre deux piles pour qu'il revienne à la vie bon pied bon œil.
C'est sûr que pour un trekking un peu rude, un pays lointain qui craint un peu, partir avec ce genre de boîtier soulage de tout stress de vol et t'assure de ramener de belles photos. Et en plus, ils sont légers ! Bien vu !
Oui j’ai eu ainsi un dynax5 tout simplement excellent et plus petit qu’un leica M avec son 24-50f4 c’était super en rando. Paye assez cher neuf a l’époque il fait le bonheur d’un forumeur qui le fait tourner plus que moi j’espère
Je plussoie, ces Eos et Dinax étaient des boitiers semi-pro, du matos costaud et performant, les avoir aujourd'hui pour quelques dizaines d'euros c'est une vraie chance. J'ai bien aimé travailler avec les miens, si ma lune de miel avec le 35mm ne c'était pas terminée en divorce j'aurai sans doute gardé mon EOS 33.
Yes !
je confirme, j'ai moi même échangé avec un membre du forum un Rollei 35 contre un Canonet 19QL pendant plusieurs semaines.
expérience à refaire...
Pjj
Ce soir sur LPC un doc ou un débat (?) avec des photographes qui ont bossés pendant la pandémie :
Résumé
Cinq photographes, Eric Bouvet, Antoine d'Agata, Peter Turnley, Laurence Geai et Corentin Fohlen, racontent comment ils ont travaillé pendant l'épidémie de covid-19. Rues désertes, photos thermiques, conditions de travail altérées, sujets qui n'ont pu être traités ou nouvelles inspirations, ils montrent et commentent les clichés qu'ils ont pris pendant cette période troublée, qui a montré la vulnérabilité de leur profession.
Michel a écrit :Je vais de nouveau être obligé de me raser tous les matins !
Je ne vois pas pourquoi ! pour ma part ça va faire bientôt 40 ans que je ne me suis plus rasé (sauf en regardant certains films...), et une belle barbe, c'est tellement pratique !
Pour les portraits, il y a une vingtaine d'années quand on a commencé à parler du droit à l'image, je voulais faire des portraits en cachant les yeux des personnes avec une sorte de bandeau noir tenu à la main par un support. Finalement je ne l'ai jamais fait, mais je n'avais pas pensé au masque chirurgical qui aurait eu le même effet.
Michel a écrit :Je vais de nouveau être obligé de me raser tous les matins !
Je ne vois pas pourquoi ! pour ma part ça va faire bientôt 40 ans que je ne me suis plus rasé (sauf en regardant certains films...), et une belle barbe, c'est tellement pratique !
Pour les portraits, il y a une vingtaine d'années quand on a commencé à parler du droit à l'image, je voulais faire des portraits en cachant les yeux des personnes avec une sorte de bandeau noir tenu à la main par un support. Finalement je ne l'ai jamais fait, mais je n'avais pas pensé au masque chirurgical qui aurait eu le même effet.
Fait pas Nicolas Anglade lors de l'occupation d'une théâtre de Clermont cette année