les négatifs oubliés ou inconnus

[Benjamin]

C'est très chouette de voir l'intérieur de la boutique !

[Gilles88]

Une belle.. presse....



Des mannequins !

[Gilles88]

On peut baver devant le stock .

[Gilles88]

Ils sont ridicule avec leur permis à 17 ans, des vieillards déjà !




Alors pépé, tu démarres ? suis pressée, je vais encore rater Albert à la sortie de la maternelle !

[laurent.c]

Encore, encore !
Et encore merci pour toutes ces belles photos !

[Gilles88]

La voiture est une Mathis, cette marque créée par Emile Mathis, de Strasbourg, qui fut un temps associé à Bugatti, avait un slogan : le poids voilà l'ennemi.

[laurent.c]

Entre la photo du rendez-vous avec Albert et la dernière, le garde-boue arrière gauche a pris un choc...
L'amour fait faire des folies au volant !

[Gilles88]

C'est a cause d'Albert, il c'était montré trop entreprenant...

[Renaud LÄMMLI]

La voiture est une Mathis

Je ne l'ai pas connue, mais mon arrière-grand père en avait une, ainsi qu'une Ford T. Les deux ont été confisquées par les z'allemands pendant la guerre, seule la bicyclette, rangée en pièces détachées sous un matelas, est restée... J'ai encore quelques outils de la Ford.

[Mael]

Superbe ! La boutique de photo est splendide.

[Oriu]

Oui ça serait peut être difficile de faire aussi bien avec les films actuels

[lignesbois]

On en veut encore !

[Benjamin]

A Gilles :

A propos des photos du magasin de photographie de J. Perboyre, cela pourrait être amusant d'aller faire une petite recherche aux archives municipales de Libourne pour voir s'il reste quelque trace administrative de ce commerce. Je pense notamment aux registres de patentes, qui peuvent donner quelque info. Et bien sûr, aux archives départementales, il peut être sympa de demander à voir le registre du commerce et des sociétés pour y regarder à qui appartenait la boutique : l'un des messieurs qui posent devant, ou la jeune femme qui bosse dedans ?

[Gilles88]

Je peux déjà faire une recherche généalogique.

[Benjamin]

Oui, aussi, pourquoi pas ? Tout est en ligne mais faut avoir un point de départ : une date.
Autre source : les almanachs d'époque.

[laurent.c]

Une recherche sur le nom "Perboyre" mène aux archives de Gironde, avec en particulier 6 cartes postales signées J. Perboyre :
https://archives.gironde.fr/archive/res ... ype=avance

Et un Jean Perboyre est né à Bordeaux en 1866. Mais sa profession référencée est "employé de bureau".

[Gilles88]

Je suis abonné à un site de généalogie ( j’ai retrouvé mes ancêtres jusque 1650 ! ) j’ai également retrouvé des ancêtres en argentines. Je vais faire des recherches dur ce photographe

[Havoc]

Ce papier peint me fera des cauchemars.

[Gilles88]

J'ai donc fait des recherches gynécologiques. Non, généalogique. Voila le résultat ;

Jean Perboyre est né le 26 juin 1884 à Verteillac en Dordogne. Son père était pharmacien, son grand père instituteur et son arrière grand père tisserand. Son frère, Edouard, sera aussi pharmacien, à Libourne donc. ( et d'après mes recherches, cette pharmacie existe toujours, au 38 rue Gambetta, c'est l'adresse d'Edouard en 1919 ). Jean c'est marié à coté de chez moi, à Epinal ! le 14 février 1907 avec une Vosgienne né à Nancy, normal. Je pense qu'il était militaire à cette époque( Epinal était une ville de caserne à l'époque) et je vois une naissance en 1907 également de Marguerite, ensuite en 1911 de Raymond; Le couple déménage pour Libourne en 1919, où ils s'installent 66 rue Gambetta ( non loin de son frère pharmacien) Sa femme était photographe aussi, son père l'était du moins à Epinal. Il était installé à quelques centaines de mètres du commerce de ma femme, curieuse coïncidence également. Jean est mort le 16 février 1934. J'ai trouvé la date de naissance de leur fille, le 19 juillet. Donc mademoiselle était enceinte à la date du mariage , mon dieu ! Je précise qu'elle avait une soeur, photographe aussi, qui a épousé... un photographe !

[laurent.c]

On découvre des vies, qui ont laissé des traces comme les cartes postales, les négatifs... Belle recherche Gilles !
C'est à se demander s'il ne reste pas des survivants de cette famille, à Libourne ou Epinal, qui seraient encore photographes...