
Et le tricot ? ca doit etre bien le tricot ...
Le film est faisable (Lionel turban en a fait avec un support de film cinema, du 135 quoi) mais ce sera de toute façon un grain grossier, un iso avoisinnant les 1 ou 3 et bien sur des halos (c'est aussi de l'ortho mais si on veut vraiment on peut la sensibiliser a une plus large fourchette de longueur d'onde.ET46 a écrit :Le plus critique c'est l'émulsion, car ça c'est impossible de le fabriquer soi même. Il faut des équipements lourds et couteux.
La chimie, aucun souci tant que je peux me procurer les éléments de base. Voire à la rigueur, si un jour la fin du monde arrive, et que plus personne ne produit du génol ou du sulfite, on développera au café ou au jus d'orange.
Je pense qu'il faut éviter les rapports passionnels avec les outils. L'important c'est le résultat, le moyen importe peu. Ce qui me chagrinerait vraiment, dans ce que je veux produire comme photographie, ce serait la disparition des émulsions n/b. Mais ça j'y crois pas du tout.
Tout pareil.floguill a écrit :L'argentique est une passion coûteuse, aucun doute sur ce point. Quand je regarde ma dépense globale de fourniture (et encore, jusqu'à maintenant que ne tirais pas sur papier) sur une année, c'est loin d'être négligeable, et pour être tout à fait honnête un numérique serait vite rentabilisé dans mon cas.
Seulement voilà, je ne prends aucun plaisir à photographier en numérique. J'ai essayé, la mayo ne prends pas, aucun plaisir. La différence est là, uniquement là.
Moi j'aime bricoler des trucs, essayer des revelo, des films, projeter des diapo sur le mur de mon bureau, touiller la soupe, faire du Xpro "chimique" et voir des néga sécher dans ma douche. Et puis aussi, je prends mon pied à utiliser un appareil photo en métal, tout con, sans écran, sans piles...
[...]
Mais ceci-dit, je comprends parfaitement qu'à l'heure actuelle on passe au numérique, je le respecte. Il faut pouvoir (financièrement) se permettre de faire du film en 2012, surtout en couleur. Le coût n'est pas neutre et tout le monde n'est pas en mesure de suivre.
Pour résumer, l'argentique est devenu un Luxe.
Généralisation un peu abusive, un grand nombre de loisirs sont peu coûteux.Ceci dit, quoi qu'on en dise, les loisirs quels qu'ils soient coûtent très chers.
Les pelloches sont notre or noir,Georgesh a écrit :J'en ai marre des dépressifs.
C'est fini l'argentique, on va plus trouver de films, ça va devenir cher, c'est trop cher, on n'est pas assez, c'est plus comme avant, y aura plus d'émulsions, faut acheter des congéls.
Vous êtes des déprimés, vous êtes des loosers, arrêtez de ruminer, vous broyez du noir, vous êtes des tristes.
Je comprends tout à fait ta démarche, ta logique et le plaisir que tu y prends.floguill a écrit :L'argentique est une passion coûteuse, aucun doute sur ce point. Quand je regarde ma dépense globale de fourniture (et encore, jusqu'à maintenant que ne tirais pas sur papier) sur une année, c'est loin d'être négligeable, et pour être tout à fait honnête un numérique serait vite rentabilisé dans mon cas.
Seulement voilà, je ne prends aucun plaisir à photographier en numérique. J'ai essayé, la mayo ne prends pas, aucun plaisir. La différence est là, uniquement là.
Moi j'aime bricoler des trucs, essayer des revelo, des films, projeter des diapo sur le mur de mon bureau, touiller la soupe, faire du Xpro "chimique" et voir des néga sécher dans ma douche. Et puis aussi, je prends mon pied à utiliser un appareil photo en métal, tout con, sans écran, sans piles...
Donc je crois que j'arrêterais le film uniquement quand le dernier film et le dernier revelo auront disparu du commerce. Je suis persuadé que nous sommes encore très loin d'en arriver à ce stade.
1 film, 1 revelo, c'est bien suffisant pour faire de l'argentique. Et si les prix flambent, et bien je shooterais moins, je serais plus exigeant à la prise de vue et je peaufinerais mes cadrages, je trierais mes sujets avec plus de rigueur.
Mais ceci-dit, je comprends parfaitement qu'à l'heure actuelle on passe au numérique, je le respecte. Il faut pouvoir (financièrement) se permettre de faire du film en 2012, surtout en couleur. Le coût n'est pas neutre et tout le monde n'est pas en mesure de suivre.
Pour résumer, l'argentique est devenu un Luxe.
Investir ça signifie retour sur investissement rentabilisation... C'est du langage de professionnel ; cela n'a rien d'infamant, mais moi je suis amateur.eyslime a écrit : Donc faut arreter aussi dans l'autre extrême de dire : "todo va bene, vamos !"
Non, demain je n'investirais pas un Blad par exemple....