
Donc : Température pas dramatique en NB, juste éviter les grop grosses différences entre chaque bain. Plus c'est constant et proche de 20°C, et plus ce sera facile de reproduire les mêmes résultats, et surtout il suffira de se caler sur les données fabricant. Plus c'est froid plus c'est lent à réagir, plus c'est chaud plus c'est rapide.
Conclusion : la température n'est pas cruciale dans l'absolu, mais indispensable quand on débute. Y a déjà bien assez de paramètres foireux comme ça pas vrai

Le bain d'arrêt : J'ai appris dans un club avec de l'eau, comme tu fais. Pas satisfaisant à mon gout. Le vinaigre cristal coute une misère, tu prends du 8°, C'est facile à transformer en 2° (250 ml plus 750 ml d'eau) et tu as un bon petit bain d'arrêt qui va bien.
Le révélateur : c'était bien ça ! J'ai une photo dans mon couloir, que j'adore, a tel point que je la voulais parfaite. Résultat, je l'ai refaite 10 fois, c'était en fin de séance, la dernière sort toute grise alors qu'elle méritait du punch : Ecoeuré, je n'ai pas encore décidé quand j'allais la refaire, grrrr. Donc il vaut mieux changer son bain révélateur régulièrement. C'est un mélange du nombre de photos que tu fais et du temps depuis lequel est préparé la solution. Difficile à définir. Peut être d'autres on des trucs, si c'est le cas ça m'intéresse, car je ne change pas à chaque séance pour raison de cout.
En parlant de cout : faire tirer une pelloche de 12 tofs pour t'entrainer à les retirer derrière ne devrait pas te ruiner à priori. Par contre, tu vas éliminer d'entrée des sources d'erreurs et gagner beaucoup en appréciation de tes négatifs. Mais ça n'est qu'un avis perso.

Sinon, le développement de la pelloche, c'est à mon avis le plus facile. Aucune interprétation, aucun choix de temps, de masquage, et tout.
Tu suis le protocole, point barre. 30 minutes plus tard tu as un négatif.
Super basique, super fastoche, le seul truc énervant étant de glisser sans merdouiller trop la pelloche dans la spirale.
bon courage !
