J'avais loupé la suite de l'histoire.
Une fois digéré le drame humain, c'est très intéressant comme démarche et heureusement que tu as commencé à photographier "ton" usine avant sa fermeture.
Il y a de bonnes choses dans ces pages mais "présence fantomatique" retient toute mon attention.
Tara, je pense que ne pas y retourner aurait été dommage. Déjà ça m'a permis de cicatriser les plaies, mais aussi sans les photos de l'abandon et de la destruction, mes premières photos auraient perdu leur sens.
Comme quoi nous pouvons tous être témoins à notre niveau.
Très belle série, avec une nette préférence pour celles prise au Yashica. Un tri serait peut-être à effectuer mais je trouve que dans l'ensemble une forte atmosphère s'en dégage, à la fois intimiste et nostalgique. On voit que c'est un lieu que tu connais. C'est très réussi, bravo !