Rolleiflex
- fabrice C
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Je dois être une sorte d'extraterrestre alors !TheMaxou a écrit :C'est comme les zorkistes une fois qu'ils touchent un Leica, ils rangent au placard leurs vieux appareils russes...
J'ai touché des leica, II, III, et M (2 et 6) et ça ne m'a pas décidé à économiser ....
En même temps, pour le prix d'un leica, je peux commencer à rêver à l'achat d'une petite chambre sympa en 4x5 .... voire en 5x7
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D'accord, donc la solution contre ça, c'est de les utiliser souvent. Ça me semble être une condition pas trop contraignanteGeorgesh a écrit :@ the maxou, le sem c' est la 404, le rolleiflex, c' est la Mercedes, le Sem, c' est un Rolleiflex sans le mythe et l' aura de Francke et Heidecke, et pourtant, ça fonctionne bien...
Quand tu veux, je t' envoie un Rolleiflex même d' avant- guerre pour comparer...
Les rollei bi et les rolleicord ont la maladie de se gommer quand ils ne travaillent pas. De là vient cette rumeur que les vitesses lentes ne fonctionnent pas bien. Les obturateurs Compur et Compur -rapid ont une graisse qui durcit avec l' âge et a tendance à ralentir les vitesses de déclenchement. Il faut les faire tourner souvent. Ou les faire dégommer, c' est une intervention facile, mis à part qu' il y a plus de 250 pièces dans un Compur...Autre défaut, les chocs qui peuvent fausser l' alignement de la platine, et le dos, assez fragile qui ne supporte pas d' être mis sur pied sans un accessoire indispensable, le rolleifix. Autrement, ce sont des boitiers increvables.
Cela dit, le démontage est-il indispensable pour "dégommer" un obturateur ou on peut s'en tirer en le déclenchant plein de fois ? Je demande ça parce que je ne me vois pas vraiment démonter et remonter dans l'ordre 250 morceaux, sans outils, sans plans et sans personne qualifiée pour me guider dans ce genre d'entreprise
Et je ne parle pas de la solution de l'atelier qui, bien qu'efficace, reste vraiment hors de prix.
Sinon, tu dis que ce sont les Compur et Compur-Rapid qui posent problème ... J'en déduis qu'il existe des appareils équipés d'autres types d'obturateur ? Si c'est pas trop demander, y a-t-il des modèles particuliers à choisir ou à éviter ?
Enfin, qu'appelles-tu la "platine" exactement ?
- Georgesh
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Ara qui rit, bonjour,
Il n' est pas besoin de démonter l' obturateur des Rollei pour les dégommer. Les graisses figées par les ans (parlez-en!) sont sur les lamelles du diaphragme, et sur celles de l' obtu...et un peu partout dans les mécanismes.
Ici, sur ce forum, il y a des collectionneurs pour qui le challenge est précisément d' opérer, sur leur table, les vieux boitiers, pour les remettre en état. Moi, je ne sais pas faire. A chacun ses compétences. (ou ses incompétences!)
J' ai un bon contact avec un micromécanicien qui sait, lui, qui a des pièces, et qui travaille assez habilement pour que je lui fasse confiance.
En tant qu' utilisateur, prenant des photos, ce n' est pas le nombre de rolleiflex collectionnés qui m' intéresse, mais le fait d' en avoir un ( ou des?) fiable, qui sera bien réglé.
Je n' ai pas acheté de Rollei sur les brocantes, ni en état brocante, mais dans des foires au matériel ou on peut comparer, essayer, déclencher, et apprendre les bases des manipulations, avec des vendeurs qui sont quasiment tous des pros de la photo.
Je viens d' acheter sur e-bé un standard de 32, relativement cher pour ce modèle, et je tends le dos, car c' est un non photographe qui le vend, et il y a de la peinture écaillée sur la platine, ce qu' il ne dit pas. Méfiance aussi avec des descriptions du genre, la seconde et la demi-seconde vont assez lentement, ou en bon état pour son âge. ou dans son jus. Peanuts, tout ça.
La platine porte-objectif est ce corps avant qui avance et recule parallèlement au plan-film quand on fait la mise au point. Forcément, c' est parallèle...ou faussé par un choc. Combien de chocs depuis 1950?
Une bonne révision comporte donc, réglage de la platine, de la position du miroir( epaisseur, puisque c' est sur le miroir qu' on fait la mise au point, état du miroir (argenture qui s' en va...), dégommage de l' obtu et contrôle des vitesses. )
Il y a au moins 29 modèles différents de Rollei, des modèles pré-war, rustiques, à optiques non traitées, mais très performants jusqu' aux modèles F, des années 64 à 72, les plus recherchés, car les plus évolués.Sur des forum de praticiens, les vendeurs honnêtes annoncent à quelle date et chez quel spécialiste ils ont fait réviser ou entretenir leur appareil. Et tout le monde connait les quelques spécialistes français qui sont fiables dans ce domaine .
Je vais commander à un réparateur un miroir neuf, taillé sur mesure, et aluminé en surface, pas comme nos miroirs de salle de bains.
Ce n' est pas nécessairement hors de prix dans un atelier de réparations, ça dépend de ce que tu demandes, et de ce que le spécialiste te propose.
Tu peux très bien démarrer le 6 x 6 avec un Rolleiflex. Il ne tombe pas en panne. Une révision, c' est pour 40 ans. Quel est ton budget?
Il n' est pas besoin de démonter l' obturateur des Rollei pour les dégommer. Les graisses figées par les ans (parlez-en!) sont sur les lamelles du diaphragme, et sur celles de l' obtu...et un peu partout dans les mécanismes.
Ici, sur ce forum, il y a des collectionneurs pour qui le challenge est précisément d' opérer, sur leur table, les vieux boitiers, pour les remettre en état. Moi, je ne sais pas faire. A chacun ses compétences. (ou ses incompétences!)
J' ai un bon contact avec un micromécanicien qui sait, lui, qui a des pièces, et qui travaille assez habilement pour que je lui fasse confiance.
En tant qu' utilisateur, prenant des photos, ce n' est pas le nombre de rolleiflex collectionnés qui m' intéresse, mais le fait d' en avoir un ( ou des?) fiable, qui sera bien réglé.
Je n' ai pas acheté de Rollei sur les brocantes, ni en état brocante, mais dans des foires au matériel ou on peut comparer, essayer, déclencher, et apprendre les bases des manipulations, avec des vendeurs qui sont quasiment tous des pros de la photo.
Je viens d' acheter sur e-bé un standard de 32, relativement cher pour ce modèle, et je tends le dos, car c' est un non photographe qui le vend, et il y a de la peinture écaillée sur la platine, ce qu' il ne dit pas. Méfiance aussi avec des descriptions du genre, la seconde et la demi-seconde vont assez lentement, ou en bon état pour son âge. ou dans son jus. Peanuts, tout ça.
La platine porte-objectif est ce corps avant qui avance et recule parallèlement au plan-film quand on fait la mise au point. Forcément, c' est parallèle...ou faussé par un choc. Combien de chocs depuis 1950?
Une bonne révision comporte donc, réglage de la platine, de la position du miroir( epaisseur, puisque c' est sur le miroir qu' on fait la mise au point, état du miroir (argenture qui s' en va...), dégommage de l' obtu et contrôle des vitesses. )
Il y a au moins 29 modèles différents de Rollei, des modèles pré-war, rustiques, à optiques non traitées, mais très performants jusqu' aux modèles F, des années 64 à 72, les plus recherchés, car les plus évolués.Sur des forum de praticiens, les vendeurs honnêtes annoncent à quelle date et chez quel spécialiste ils ont fait réviser ou entretenir leur appareil. Et tout le monde connait les quelques spécialistes français qui sont fiables dans ce domaine .
Je vais commander à un réparateur un miroir neuf, taillé sur mesure, et aluminé en surface, pas comme nos miroirs de salle de bains.
Ce n' est pas nécessairement hors de prix dans un atelier de réparations, ça dépend de ce que tu demandes, et de ce que le spécialiste te propose.
Tu peux très bien démarrer le 6 x 6 avec un Rolleiflex. Il ne tombe pas en panne. Une révision, c' est pour 40 ans. Quel est ton budget?
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J'ai acheté mon Yahica Mat pour 76 euros (je crois) au States par eBay... ça marche bien, la preuve iciara qui rit a écrit :Ok, vu toutes les choses à vérifier, je commence à me dire qu'il n'est peut être pas si sage d'en aquérir un sur Ebay
Pour mon budget, il est bien maîgre : je dirais, 200 Euros à tout casser, c'est pourquoi je ne peux pas vraiment envisager une révision de l'appareil à peine acheté
Népo
- Georgesh
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Salut, merci pour ta réponse. Je t' ai donné mon opinion. Elle vaut ce qu' elle vaut...Tu peux te faire ton propre jugement. Un Rollei, c' est forcément un appareil de prestige...Je vois que les vrais utilisateurs qui en recherchent aujourd' hui, et qui fréquentent les foires à la photo sont d' anciens artisans portraitistes retraités, des pros voulant refaire du mariage avec un MF pas trop cher, des étudiants en école de photo ou aux Beaux-Arts qui viennent d' accéder au moyen-format. prix moyen sur le marché d' un 3,5 f en bon état, minimum 600€, et d'un 2,8 plutôt 1000€, c' est à dire l' équivalent d' un Blad 500 CM. Entre spécialistes, c' est le minimum pour quelquechose de vérifié, nettoyé, réglé aux petits oignons. Mais en achat de confiance. Rien à réparer.
Si tu es moins exigeant, faute de thunes, il y a toutes les solutions, depuis les modèles pré-war jusqu' au E ou aux D. Pour beaucoup moins cher, tu auras une optique Tessar de chez Zeiss, un bon miroir, un bon alignement, et des vitesses qui tournent , mais un appareil ancien, ou un état cosmétique " moyen".
Si tu es moins exigeant, faute de thunes, il y a toutes les solutions, depuis les modèles pré-war jusqu' au E ou aux D. Pour beaucoup moins cher, tu auras une optique Tessar de chez Zeiss, un bon miroir, un bon alignement, et des vitesses qui tournent , mais un appareil ancien, ou un état cosmétique " moyen".
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Ça tombe bien, ce sont plutôt les modèles d'avant guerre qui m'intéressent. Mais si j'ai bien compris, ce sont ces modèles qui sont précisément sensibles au gommage ? À ce titre, je suppose donc qu'il vaut mieux éviter EbayGeorgesh a écrit : Salut, merci pour ta réponse. Je t' ai donné mon opinion. Elle vaut ce qu' elle vaut...Tu peux te faire ton propre jugement. Un Rollei, c' est forcément un appareil de prestige...Je vois que les vrais utilisateurs qui en recherchent aujourd' hui, et qui fréquentent les foires à la photo sont d' anciens artisans portraitistes retraités, des pros voulant refaire du mariage avec un MF pas trop cher, des étudiants en école de photo ou aux Beaux-Arts qui viennent d' accéder au moyen-format. prix moyen sur le marché d' un 3,5 f en bon état, minimum 600€, et d'un 2,8 plutôt 1000€, c' est à dire l' équivalent d' un Blad 500 CM. Entre spécialistes, c' est le minimum pour quelquechose de vérifié, nettoyé, réglé aux petits oignons. Mais en achat de confiance. Rien à réparer.
Si tu es moins exigeant, faute de thunes, il y a toutes les solutions, depuis les modèles pré-war jusqu' au E ou aux D. Pour beaucoup moins cher, tu auras une optique Tessar de chez Zeiss, un bon miroir, un bon alignement, et des vitesses qui tournent , mais un appareil ancien, ou un état cosmétique " moyen".
Et payer beaucoup plus cher, du coup
- Georgesh
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Salut, ara qui rit,
Faut admettre que celui -ci, c' est une escroquerie, et pourtant, il y a 1 enchérisseur.
Si tu veux un 6 x 6 qui fait des photos, entre le Lubitel, les Yashica, les Semflex, les Ikoflex, les Seagull, il y a de quoi trouver son bonheur.
Si tu choisis Rolleiflex, c' est pour la marque, pour son histoire, ses succés technologiques, la qualité de ses optiques, et la finition des boitiers. A vrai dire, tout ça, c' est très subjectif... C' est clair qu' en faisant tourner un vieux old standard de 32, je joue à remonter le temps, en rendant hommage aux constructeurs , et en tentant de percevoir comment, à l' époque, avec de mauvaises conditions techniques, on arrivait à faire de si beux tirages. Techniquement, les films ne dépassaient pas 50 ISO, il fallait fabriquer ses révélateurs, mais c' était un progrès considérable que de travailler au Rollei, en oubliant un peu la lourdeur des chambres foldings et autres monstres à plaques de verre.
Le brevet du Tessar a été déposé par Zeiss en 1902, avec le slogan suivant, " das Adlerauge ihrer Kamera " the eagle eye of your camera...
Un piqué remarquable pour l' époque...
Faut savoir aussi que les optiques n' ont pas été traitées " genre multicoated " d' aujourd' hui. Le procédé, connu avant-guerre a été déclaré secret militaire par le Reich, et mis sous clef jusqu' en 44/45. On dit que les optiques non traitées ont un peu moins de contraste que les autres...je n' en suis pas sûr.
Pour ce qui est des obturateurs gommés, c' est l' inactivité qui les freine.
Donc, dans une foire, un photographe ne pourra pas vendre un obturateur qui ne déclenche pas. Le premier test d' un acheteur est
de régler sur une seconde et de vérifier... ebé, c' est une loterie...Regarde le nombre de contributeurs sur les forum, qui viennent en disant j' ai acheté, mais ça ne marche pas, comment démonter...
Pour le budget, si tu persistes encore à aimer les vieux Rollei malgré tout le mal que j' en ai dit.... je peux t' envoyer une documentation plus précise... A +
Faut admettre que celui -ci, c' est une escroquerie, et pourtant, il y a 1 enchérisseur.
Si tu veux un 6 x 6 qui fait des photos, entre le Lubitel, les Yashica, les Semflex, les Ikoflex, les Seagull, il y a de quoi trouver son bonheur.
Si tu choisis Rolleiflex, c' est pour la marque, pour son histoire, ses succés technologiques, la qualité de ses optiques, et la finition des boitiers. A vrai dire, tout ça, c' est très subjectif... C' est clair qu' en faisant tourner un vieux old standard de 32, je joue à remonter le temps, en rendant hommage aux constructeurs , et en tentant de percevoir comment, à l' époque, avec de mauvaises conditions techniques, on arrivait à faire de si beux tirages. Techniquement, les films ne dépassaient pas 50 ISO, il fallait fabriquer ses révélateurs, mais c' était un progrès considérable que de travailler au Rollei, en oubliant un peu la lourdeur des chambres foldings et autres monstres à plaques de verre.
Le brevet du Tessar a été déposé par Zeiss en 1902, avec le slogan suivant, " das Adlerauge ihrer Kamera " the eagle eye of your camera...
Un piqué remarquable pour l' époque...
Faut savoir aussi que les optiques n' ont pas été traitées " genre multicoated " d' aujourd' hui. Le procédé, connu avant-guerre a été déclaré secret militaire par le Reich, et mis sous clef jusqu' en 44/45. On dit que les optiques non traitées ont un peu moins de contraste que les autres...je n' en suis pas sûr.
Pour ce qui est des obturateurs gommés, c' est l' inactivité qui les freine.
Donc, dans une foire, un photographe ne pourra pas vendre un obturateur qui ne déclenche pas. Le premier test d' un acheteur est
de régler sur une seconde et de vérifier... ebé, c' est une loterie...Regarde le nombre de contributeurs sur les forum, qui viennent en disant j' ai acheté, mais ça ne marche pas, comment démonter...
Pour le budget, si tu persistes encore à aimer les vieux Rollei malgré tout le mal que j' en ai dit.... je peux t' envoyer une documentation plus précise... A +
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6-6
si je peux aider j ai yashca mat 124 ,yashica 635 , lubitel ,semflex(environ 10 diferents) ,rollei( 5 differents ), rolleicord( 2 differents) ,kinax,flexaret , atoflex, pentacon ,hasselblad (un seul different), mamya pres(6-9), et un truc pas cher et pas mal zeiss supper ikonta (6-9 soufflet telemetrique)
je prends peu de photo mais je sais les faire fonctionner
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Georgesh a écrit : Salut, ara qui rit,
Faut admettre que celui -ci, c' est une escroquerie, et pourtant, il y a 1 enchérisseur.
Si tu veux un 6 x 6 qui fait des photos, entre le Lubitel, les Yashica, les Semflex, les Ikoflex, les Seagull, il y a de quoi trouver son bonheur.
Si tu choisis Rolleiflex, c' est pour la marque, pour son histoire, ses succés technologiques, la qualité de ses optiques, et la finition des boitiers. A vrai dire, tout ça, c' est très subjectif... C' est clair qu' en faisant tourner un vieux old standard de 32, je joue à remonter le temps, en rendant hommage aux constructeurs , et en tentant de percevoir comment, à l' époque, avec de mauvaises conditions techniques, on arrivait à faire de si beux tirages. Techniquement, les films ne dépassaient pas 50 ISO, il fallait fabriquer ses révélateurs, mais c' était un progrès considérable que de travailler au Rollei, en oubliant un peu la lourdeur des chambres foldings et autres monstres à plaques de verre.
Le brevet du Tessar a été déposé par Zeiss en 1902, avec le slogan suivant, " das Adlerauge ihrer Kamera " the eagle eye of your camera...
Un piqué remarquable pour l' époque...
Faut savoir aussi que les optiques n' ont pas été traitées " genre multicoated " d' aujourd' hui. Le procédé, connu avant-guerre a été déclaré secret militaire par le Reich, et mis sous clef jusqu' en 44/45. On dit que les optiques non traitées ont un peu moins de contraste que les autres...je n' en suis pas sûr.
Pour ce qui est des obturateurs gommés, c' est l' inactivité qui les freine.
Donc, dans une foire, un photographe ne pourra pas vendre un obturateur qui ne déclenche pas. Le premier test d' un acheteur est
de régler sur une seconde et de vérifier... ebé, c' est une loterie...Regarde le nombre de contributeurs sur les forum, qui viennent en disant j' ai acheté, mais ça ne marche pas, comment démonter...
Pour le budget, si tu persistes encore à aimer les vieux Rollei malgré tout le mal que j' en ai dit.... je peux t' envoyer une documentation plus précise... A +
Avec plaisir
Sinon, je ne vais pas chez Rollei comme j'irais chez Rolls, pour acheter du mythe, mais plutôt parce que c'est le standard du bi-objectif et que ce sont (il me semble), les premiers à avoir développé cette formule. C'est le genre de raisonnement qui fait que je regarde également les Leica d'un œil avide. L'idée d'avoir en mains, non pas un objet de prestige, mais un bout d'histoire, d'où l'orientation vers les modèles plutôt anciens.
Mais un bout d'histoire qui fait de belles photos, d'où mon orientation vers un modèle qui marche !