je reviens sur cette "soif de force",
La maniere dont (justement

la puissance du slogan est exacerbé par, sa positiion dans l'image, le noir prononcé de la geule beante, la deformation engandré par le courbure de la station ... Face a ce vide inhabituel, pesant...
Il se passe qq chhose. Au dela du graphisme, cette image possède(et profite?) intrinsinquement de l'impact.
Elle me parle, de cette omipresence de l'image au quotidien, ce stackanovisme banal, entendu, supporté, dicté, du slogan.
(des themes qui me sont chers, source de ma primo-"culture" de l'image)
"Je me fiche bien" de connaitre la part de hasard saisit dans ce moment, la réflexion (consciente ou pas) qui t'a conduit a cette composition, y a pas a dire, elle me botte cette image!