Les appareils au ciné
- Martial
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Re: Les appareils au ciné
Je viens de me visionner " La vie rêvée de Walter Mitty" de Ben Stiller avec Sean Penn en photographe old school et un magnifique Nikon F3T
Un film un peu barré mais très sympathique
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- greuh
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Re: Les appareils au ciné
Le Leica de Jack Nicholson dans Chinatown :
- greuh
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Re: Les appareils au ciné
Un Hasselblad dans les mains du personnage principal, à 1:56, ici :
http://boingboing.net/2017/03/15/watch- ... tatio.html
Y'en a d'autres (un Nikon à 3:30)
Et pis le court vaut le coup
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Y'en a d'autres (un Nikon à 3:30)
Et pis le court vaut le coup
- diego
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Re: Les appareils au ciné
Le film qui m'a donné envie d'avoir un Canon AE-1: Smoke (1995)
Ici Auggie Wren (Harvey Keitel) en action :
Un très bon film où l'appareil photo a une place très important
Ici Auggie Wren (Harvey Keitel) en action :
Un très bon film où l'appareil photo a une place très important
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Re: Les appareils au ciné
Un peu long de remonter le fil pour vérifier si mon apport est original ! Donc, dans OBSESSION (1976) de Brian de Palma, le "héros", Cliff Robertson, utilise un Nikkormat pour photographier Geneviève Bujold .
- diego
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Re: Les appareils au ciné
Pas vraiment un appareil, mais une référence à une pellicule que je navais jamais vu, un HP3
C'est au début du film "A Countess from Hong Kong" (1976), dernier film de Chaplin réalisateur
C'est au début du film "A Countess from Hong Kong" (1976), dernier film de Chaplin réalisateur
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Re: Les appareils au ciné
L'ancêtre de la HP4 puis HP5?
Bon, pas vraiment du cinéma au sens strict du terme puisqu'il s'agit d'un clip musical, mais la photo prend une grande part du clip. Et on y voit un Xpan baroudeur dans les mains d'un baroudeur ^^
Pis les photos présentées sont très bien je trouve, enfin moi j'aime bien, et j'aime bien le groupe aussi
https://www.youtube.com/watch?v=eLxIJ8O3BEg
Bon, pas vraiment du cinéma au sens strict du terme puisqu'il s'agit d'un clip musical, mais la photo prend une grande part du clip. Et on y voit un Xpan baroudeur dans les mains d'un baroudeur ^^
Pis les photos présentées sont très bien je trouve, enfin moi j'aime bien, et j'aime bien le groupe aussi
https://www.youtube.com/watch?v=eLxIJ8O3BEg
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Re: Les appareils au ciné
HP3 produit de 41 à 69, remplacé pas la HP4. Elle faisait 125ASA jusqu'en 52/53 et 200, réévalué à 400 en 1960. (Merci Wikipédia )
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Re: Les appareils au ciné
Un Pola SX70 dans "Adrift" (dont l'action se passe dans les années 1980).
Beau film au passage. Bien foutu pour un film "marin".
Les défauts techniques habituels de ce genre de films sont totalement absents.
En général, les scènes censées se dérouler en pleine mer sont tournées au bord, voire en eau douce. C'est souvent flagrant au niveau de la surface et des mouvements de l'eau. Même dans des films à gros budget genre Titanic (revu la semaine dernière avec mon fils de 9 ans), ou plus récemment Dunkerque. Pas ici.
En plus, la bande son de la scène finale, c'est un sublime (forcément) morceau de Tom Waits, en rapport avec les polas pris par un des personnages : "Picture in a frame"
Beau film au passage. Bien foutu pour un film "marin".
Les défauts techniques habituels de ce genre de films sont totalement absents.
En général, les scènes censées se dérouler en pleine mer sont tournées au bord, voire en eau douce. C'est souvent flagrant au niveau de la surface et des mouvements de l'eau. Même dans des films à gros budget genre Titanic (revu la semaine dernière avec mon fils de 9 ans), ou plus récemment Dunkerque. Pas ici.
En plus, la bande son de la scène finale, c'est un sublime (forcément) morceau de Tom Waits, en rapport avec les polas pris par un des personnages : "Picture in a frame"
- Luc
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Re: Les appareils au ciné
Même dans Titanic? Il me semble que James Cameron avait sorti les grands moyens pour ce film qui a coûté plus cher que la fabrication du célèbre paquebot! Et je te rappelle que le soir du naufrage la mer était "aussi calme qu'un lac"... A moi en tout cas tout a paru bien réel!
(sauf l'histoire d'amour, mais Hollywood est fait pour vendre du rêve... )
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Re: Les appareils au ciné
Luc, je t'invite à revoir Titanic. Oui, je sais, ce n'est pas un film que l'on a forcément envie de revoir...
Si le film représentait une prouesse technique à sa sortie en 1997, il a très mal vieilli (contrairement à Di Caprio et Winslet ). Le domaine des effets spéciaux ayant très vite évolué depuis.
Au moment où la poupe est dressée, juste avant de s'enfoncer dans les flots, tu verras que les remous de l'eau sont ceux d'une bassine, comme dans un film des années 50-60 (et même avant) où les effets spéciaux étaient réalisés au moyen de modèles réduits (sur cette scène, je pense d'ailleurs que c'est le cas).
Plus loin, au moment de la mise à l'eau des canots ou encore sur les plans concernant les naufragés, tu verras que le clapot ne correspond à une mer particulièrement calme, en eaux libres, mais à des remous de bassin.
La couleur même de l'eau est surprenante sur un plan ou un personnage balaye l'eau de sa lampe torche. L'eau est marron...
Ces défauts sont typiques des films de mer.
Pour Dunkerque, tourné en 2016 ou 2017, ces défauts sont inexcusables.
Si le film représentait une prouesse technique à sa sortie en 1997, il a très mal vieilli (contrairement à Di Caprio et Winslet ). Le domaine des effets spéciaux ayant très vite évolué depuis.
Au moment où la poupe est dressée, juste avant de s'enfoncer dans les flots, tu verras que les remous de l'eau sont ceux d'une bassine, comme dans un film des années 50-60 (et même avant) où les effets spéciaux étaient réalisés au moyen de modèles réduits (sur cette scène, je pense d'ailleurs que c'est le cas).
Plus loin, au moment de la mise à l'eau des canots ou encore sur les plans concernant les naufragés, tu verras que le clapot ne correspond à une mer particulièrement calme, en eaux libres, mais à des remous de bassin.
La couleur même de l'eau est surprenante sur un plan ou un personnage balaye l'eau de sa lampe torche. L'eau est marron...
Ces défauts sont typiques des films de mer.
Pour Dunkerque, tourné en 2016 ou 2017, ces défauts sont inexcusables.
- Luc
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Re: Les appareils au ciné
Bah si, je l'aime bien moi ce film (même si l'histoire d'amour est un peu tirée par les cheveux...)Spotshica a écrit :Luc, je t'invite à revoir Titanic. Oui, je sais, ce n'est pas un film que l'on a forcément envie de revoir...
J'essaierais de faire plus attention aux détails de la mer la prochaine fois que je le vois
- Spotshica
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Re: Les appareils au ciné
Je bloque sur bcp de choses avec ce film.
Jack est censé être un mec qui a bourlingué de par le monde depuis un bled du fin fond des States, à une époque où les voyages étaient longs et compliqués. Et pourtant, on dirait qu'il a 16 ans...
Son embarquement un peu facile, sans contrôle, en fendant la foule et en enjambant une passerelle à la dernière minute alors que les contrôles sanitaires étaient très rigoureux...
La facilité de circulation dans le bateau, entre les différentes classes, pas crédible non plus.
Le Colt 45 automatique du garde du corps Lovejoy : ce modèle est sorti en 1911 et était réservé à l'armée américaine. C'est possible, mais peu crédible, qu'un quidam dispose d'un tel pistolet en avril 1912.
Le dessin au fusain qui a passé 70 ans sous l'eau et qui est intact...
Et je te parle pas des problèmes de raccords (vêtements/cheveux secs/mouillés entre autre) dans les plans et scènes successifs.
(J'aime l'histoire de ce bateau. J'ai visité plusieurs fois l'expo Titanic de la cité de la mer de Cherbourg et j'ai eu l'occasion de visiter le fabuleux Titanic Museum de Belfast, sur le site même de la construction du paquebot et de son jumeau)
Jack est censé être un mec qui a bourlingué de par le monde depuis un bled du fin fond des States, à une époque où les voyages étaient longs et compliqués. Et pourtant, on dirait qu'il a 16 ans...
Son embarquement un peu facile, sans contrôle, en fendant la foule et en enjambant une passerelle à la dernière minute alors que les contrôles sanitaires étaient très rigoureux...
La facilité de circulation dans le bateau, entre les différentes classes, pas crédible non plus.
Le Colt 45 automatique du garde du corps Lovejoy : ce modèle est sorti en 1911 et était réservé à l'armée américaine. C'est possible, mais peu crédible, qu'un quidam dispose d'un tel pistolet en avril 1912.
Le dessin au fusain qui a passé 70 ans sous l'eau et qui est intact...
Et je te parle pas des problèmes de raccords (vêtements/cheveux secs/mouillés entre autre) dans les plans et scènes successifs.
(J'aime l'histoire de ce bateau. J'ai visité plusieurs fois l'expo Titanic de la cité de la mer de Cherbourg et j'ai eu l'occasion de visiter le fabuleux Titanic Museum de Belfast, sur le site même de la construction du paquebot et de son jumeau)
- Luc
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Re: Les appareils au ciné
Hier soir je me suis bien détendu devant "Vacances Romaines", avec la magnifique Audrey Hepburn et le génial Gregory Peck dont j'avais adoré l'interprétation d'Atticus Finch dans "Du silence et des ombres" (To kill a Mockingbird)
Pour en revenir aux vacances romaines, le photographe dans le film utilise un petit appareil espion bien sympa caché dans son briquet...
https://www.lomography.fr/magazine/3383 ... dia-echo-8
Pour en revenir aux vacances romaines, le photographe dans le film utilise un petit appareil espion bien sympa caché dans son briquet...
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- diego
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Re: Les appareils au ciné
Ahh ces paparazzis !!
Un film que j'aime bien et sympa aussi le lien. Je ne savais pas que ça existait vraiment. C'est un peu comme les gadgets des vieux films de 007, on ne crois pas vraiment mais...
Un film que j'aime bien et sympa aussi le lien. Je ne savais pas que ça existait vraiment. C'est un peu comme les gadgets des vieux films de 007, on ne crois pas vraiment mais...
- Luc
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Re: Les appareils au ciné
A l'époque tout le monde n'avait pas un appareil photo et photographe était donc un vrai métier! Le journaliste de presse écrite n'avait pas d'appareil photo, il devait faire appel à son copain reporter photographe et lui proposer 50% des recettes de l'article!
On voit aussi dans le film Gregory Peck en train d'essayer gentiment de détrousser de son appareil photo une petite fille riche en voyage...
Pour en revenir à ce briquet appareil photo, heureusement que dans les années 50 le nitrate de cellulose fut remplacé...
Aujourd'hui c'est carrément une caméra vidéo que l'on met dans les briquets ou les stylos!
Je ne sais pas pourquoi, mais avec l'interdiction du portable dans les lycées j'ai l'impression que ce genre de gadget va devenir à la mode...
On voit aussi dans le film Gregory Peck en train d'essayer gentiment de détrousser de son appareil photo une petite fille riche en voyage...
Pour en revenir à ce briquet appareil photo, heureusement que dans les années 50 le nitrate de cellulose fut remplacé...
Aujourd'hui c'est carrément une caméra vidéo que l'on met dans les briquets ou les stylos!
Je ne sais pas pourquoi, mais avec l'interdiction du portable dans les lycées j'ai l'impression que ce genre de gadget va devenir à la mode...
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Re: Les appareils au ciné
En tout cas avec 40 cm de film dans un subminiature il a de quoi faire quelques photos
- Spotshica
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Re: Les appareils au ciné
Hier soir, j'ai suivi le conseil donné par un membre d'une page facebook et j'ai regardé "le photographe de Mauthausen", tiré d'une histoire vraie et d'une bd(que je n'ai pas lue).
Alors, comment dire... Pour faire court : Une grosse daube !
Je passe sur tous les défauts de ce genre de films à "petit" budget (Netflix a pourtant les moyens de faire de bons gros films) pour ne m'arrêter que sur les aspects "photographiques" relatés.
On y voit un SS et un prisonnier utiliser un Leica (Leica II je pense, mais je ne suis pas spécialiste), une Speed Graphic (!) et un folding que je n'ai pas identifié.
On est au cinéma, il faut donc qu"un appareil photo fasse le bruit d'un appareil photo.
J'ai été très surpris d'entendre le son du déclenchement du Leica et du folding Qu'est-ce que c'est bruyant un obturateur central ! Aussi bruyant qu'un reflex !
On a également droit au travail en chambre noire. Le prisonnier place son papier sous l'agrandisseur, projette l'image et là, surprise... elle est projetée en positif !
Tant qu'à faire un film qui parle de photo, autant y aller à fond. On trouve une séquence rapide sur un développement en cuve en mode shaker. Par contre, il explique bien à son comparse qu'il faut tapoter pour décoller les bulles... Pas de façon très délicate !
Le nœud de l'histoire, c'est la subtilisation de négatifs comme preuve de meurtres commis par les nazis.
Quand je pense au soin que l'on apporte à nos précieux négatifs pour éviter poussières, pliures et rayures... Et bien là, ils sont tordus, pliés, manipulés et cachés n'importe comment. Après un tel traitement, il ne doit pas rester grand chose d'exploitable sur ces négatifs
Enfin, pas mécontent d'arriver jusqu'au générique de fin, je me laisse happer par les vraies photos prises par le nazi et le prisonnier.
Pour faire encore plus authentique, on les présente comme si c'était des bandes contacts. Et là, sur les bords, on peut voir les inscriptions des films utilisés : Agfa Pan 400, Ilford HP5 Plus et Kodak Trix...
La totale je vous dis !
Bref, film moche, mal fait et les aspects qui ont trait à la photo sont affligeants. Ne perdez pas votre temps (surtout que vous avez des développements en retard, je le sais ).
Alors, comment dire... Pour faire court : Une grosse daube !
Je passe sur tous les défauts de ce genre de films à "petit" budget (Netflix a pourtant les moyens de faire de bons gros films) pour ne m'arrêter que sur les aspects "photographiques" relatés.
On y voit un SS et un prisonnier utiliser un Leica (Leica II je pense, mais je ne suis pas spécialiste), une Speed Graphic (!) et un folding que je n'ai pas identifié.
On est au cinéma, il faut donc qu"un appareil photo fasse le bruit d'un appareil photo.
J'ai été très surpris d'entendre le son du déclenchement du Leica et du folding Qu'est-ce que c'est bruyant un obturateur central ! Aussi bruyant qu'un reflex !
On a également droit au travail en chambre noire. Le prisonnier place son papier sous l'agrandisseur, projette l'image et là, surprise... elle est projetée en positif !
Tant qu'à faire un film qui parle de photo, autant y aller à fond. On trouve une séquence rapide sur un développement en cuve en mode shaker. Par contre, il explique bien à son comparse qu'il faut tapoter pour décoller les bulles... Pas de façon très délicate !
Le nœud de l'histoire, c'est la subtilisation de négatifs comme preuve de meurtres commis par les nazis.
Quand je pense au soin que l'on apporte à nos précieux négatifs pour éviter poussières, pliures et rayures... Et bien là, ils sont tordus, pliés, manipulés et cachés n'importe comment. Après un tel traitement, il ne doit pas rester grand chose d'exploitable sur ces négatifs
Enfin, pas mécontent d'arriver jusqu'au générique de fin, je me laisse happer par les vraies photos prises par le nazi et le prisonnier.
Pour faire encore plus authentique, on les présente comme si c'était des bandes contacts. Et là, sur les bords, on peut voir les inscriptions des films utilisés : Agfa Pan 400, Ilford HP5 Plus et Kodak Trix...
La totale je vous dis !
Bref, film moche, mal fait et les aspects qui ont trait à la photo sont affligeants. Ne perdez pas votre temps (surtout que vous avez des développements en retard, je le sais ).
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Re: Les appareils au ciné
mardi, je regardais Fleur du désert (Desert Flower) une autobiographie de Waris Dirie https://www.arte.tv/fr/videos/082142-00 ... du-desert/
le comédien jouant le photographe Terry Donaldson utilise une sekonic studio .... en flashmètre et qui plus est, en commandant les flash par la cellule
il a du la piquer au chef opérateur du film qui lui a dit "ça passera"
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il a du la piquer au chef opérateur du film qui lui a dit "ça passera"
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Re: Les appareils au ciné
Hier soir j'ai regardé Opération Anthropoid qui, malgré son nom de série Z, est un film sur l'assassinat de Reinhald Heydrich, n°3 du IIIe Reich, à Prague.
Deux appareils font leur apparition, très fugace donc je n'ai pas reconnu :
- un 6x6 bi-objectif, il ne devait pas en exister 36 en 42 (ha ha), et ce n'est pas un Rolleiflex à mon avis. Il sert à photographier of course, mais aussi d'agrandisseur lors d'une session de tirage super roots qui-donne-de-belles-images-bien-nettes-avec-des-marges. La magie du cinéma dirons-nous...
- l'autre je suis plus sûr de moi, un vissant Leica (normal dans les main d'un officier allemand), on reconnaît bien un objectif rentrant mais pas le modèle du boitier.
Deux appareils font leur apparition, très fugace donc je n'ai pas reconnu :
- un 6x6 bi-objectif, il ne devait pas en exister 36 en 42 (ha ha), et ce n'est pas un Rolleiflex à mon avis. Il sert à photographier of course, mais aussi d'agrandisseur lors d'une session de tirage super roots qui-donne-de-belles-images-bien-nettes-avec-des-marges. La magie du cinéma dirons-nous...
- l'autre je suis plus sûr de moi, un vissant Leica (normal dans les main d'un officier allemand), on reconnaît bien un objectif rentrant mais pas le modèle du boitier.