Bon, je l'avais proposé, je le fais... en fonction du temps dont je dispose.
Voici un mode d'emploi global du scanner, et ultérieurement, de la colorimétrie. Je l'étofferai donc en fonction de mes disponibilités.
Je vais essayer dêtre à la fois concis et simple, que tout le monde puisse aborder la chose sans peurs ou à-prioris.
Il faudra tolérer, pour ceux qui maitrisent la chose- les passages qui sont destinés à de purs débutants.
On a tous commencé un jour, et ce sont les premiers pas les plus difficiles.
Il se peut que je ne sois pas complet, ou parfois obscur: que le lecteur n'hesite pas à me rappeler à l'ordre dans ce cas, ou à faire part éventuellement de techniques qu'il aurait personnellement développées.
Bonne lecture à tous.
Nos forumeurs ont du talent
La photo du mois de mai 2025

Photo Faite par Skogkatt59
Découvrez le reste de la sélection du mois de mai ici
La photo du mois de mai 2025

Photo Faite par Skogkatt59
Découvrez le reste de la sélection du mois de mai ici
Scanner - Tutorial
-
- Gourou
- Messages : 595
- Enregistré le : jeudi 23 août 2007 22:17
- Localisation : Bruxelles, Belgique
-
- Gourou
- Messages : 595
- Enregistré le : jeudi 23 août 2007 22:17
- Localisation : Bruxelles, Belgique
Re: Scanner - Tutorial
Pourquoi scanner ses photographies ?
Les tenants de la photographie argentique traditionnelle ont une méfiance permanente envers tout ce qui concerne la digitalisation – la numérisation – de photographies, qui leur semble être un tribut un peu inutile à une certaine modernité qu’ils qualifient de consumériste, et qu’ils n’hésitent pas à toiser avec un certain mépris, préférant les heures passées dans un laboratoire à peaufiner des tirages selon les procédés traditionnels. Scanner un négatif – ou un tirage, à fortiori baryté - leur parait donc en général comme une hérésie et procède du manque de goût le plus rédhibitoire.
Considérons donc, à leur attention – et à celle des autres – ce que peut apporter la digitalisation d’une image.
Un scanner permet :
- D’avoir une vision rapide et peu onéreuse d’un film nouvellement développé. Il remplace donc à moindre coût et plus confortablement et facilement la fameuse « planche contact », en offrant l’avantage de visualiser ses images agrandies.
- De réaliser un classement efficace et modulaire de sa production, permettant de joindre des notes éventuelles.
- Une réactualisation automatique de ses archives.
- Associé à un logiciel de classement informatique ( Portfolio d’Extensis, Cumulus de Quanto, divers sharewares et freewares), il permet de retrouver des images sur base de mots clef, et de fait, si les occurrences ont été correctement réalisées, de retrouver le tirage et/ou le négatif en un tour de main.
- De partager ses images sur internet par l’entremise d’un site spécialisé, personnel, ou de les faire partager à un forum, par exemple.
- De les joindre à un mail, ce qui fera indiscutablement plaisir aux sujets photographiés, aux amis, à la famille.
- De faire parvenir ses images à un laboratoire distant, au meilleur prix.
- Pour les utilisateurs professionnels de l’image, effectuer une livraison « in time » , sans frais, et d’avoir une base de discussion facile avec des clients même très éloignés
- Un scanner correctement exécuté est une sécurité : il peut toujours arriver un incident à un négatif, en général les meilleurs, ceux qui de fait sont les plus sollicités.
- Un scanner de bon niveau permet de ne pas confier d’originaux dans le cadre de concours, ou de parutions diverses
- Un scanner correctement réalisé permet une fois pour toute de n’avoir plus de retouches (ces sacrées poussières et griffes ) à faire à chaque retirage d’épreuves.
- D’inclure de facto ses préférences concernant les couleurs, la densité etc., ce qui permettra a un éventuel laboratoire d’avoir une vision précise et une exécution conforme au désidérata du photographe.
De plus, contrairement à l’image digitale (sauf pour les gens précis qui travaillent en RAW et qui gèrent correctement leur fond iconographique), un négatif scanné permet de conserver le document original « en l’état » : on peut toujours y revenir si besoin s’en faisait sentir.
On peut donc prétendre sans trop de forfanterie, que le scanner est un plus indiscutable pour le photographe traditionnel argentique, sans pour autant enlever les caractéristiques auxquelles il tient particulièrement : un scanner n’a jamais empêché celui qui le désire de faire AUSSI des tirages argentiques.
Les différents types de scanner.
Choisir un scanner n’est pas chose aisée. Néanmoins, vu les progrès considérables réalisés dans ce domaine, un scanner acquit ce jour pour un prix modique dispose parfois des mêmes qualités qu’un scanner professionnel de plusieurs dizaines de milliers d’euros il n’y a pas si longtemps.
Ca, c’est la bonne nouvelle.
La mauvaise est que malgré tout, tout a un prix. Et que les performances ont le leur, même si il est sans commune mesure avec un passé récent.
Faisons donc un petit tour des différents modèles disponibles :
Le scanner « a plat » dit Flatbed.
C’est le plus couramment utilisé.
Il permet la numérisation de documents opaque, et certains modèles permettent également de numériser des négatifs ou des diapositives, en couleur et en noir et blanc.
Son prix varie de quelques dizaines d’euros pour un modèle de base, au format A4, numérisant uniquement des documents opaques ( des tirages photographiques par exemple ) à plusieurs centaines d’euros pour un appareil multifonction, disposant d’un éclairage par transparence pour les diapos et les négatifs.
Il permet souvent dans le cas des films, de scanner de manière automatique un film entier, de nommer et de numéroter les images.
En règle générale, il permet de scanner de nombreux formats : c’est vérifier lors de l’achat, certains modeles se contentant du 24/36, d’autres acceptant le scanning de plan-films professionnels au format 20/25, et bien entendu, tous les formats inférieurs.
Le scanner dédié au film.
Plus pointu, mais travaillant uniquement à partir des négatifs ou des diapositives, noir et blanc ou couleur. Spécialisés, leur qualité est souvent supérieure à celle des flatbed, en tout cas des modèles moyen de gamme.
Ils se distinguent par leur capacité à accepter certains formats de film : beaucoup se contentent de scanner le film 135 ( 24/36 mm), d’autres acceptent les films 120, selon les formats, souvent jusqu’au 6/9 cm.
D’autre encore permettent de scanner également des originaux 4/5 inches (10.5/12 cm).
Leur qualité peut aller de très bonne à exceptionnelle.
Les scanners à tambour réels et virtuels.
Le prix d’achat de ces machines est en général hors de portée de l’amateur, même financièrement « à l’aise », ainsi que de pas mal de professionnels de l’image. Ils équipent des entreprises de photogravure, et délivrent des fichiers de qualité optimale, en général dédiés à l’imprimerie.
Il existe un modèle dit « à tambour virtuel », l’Imacon, distribué par la firme Hasselblad, dont le prix d’achat avoisine tout de même – pour un petit modèle - les 10.000 euros.
Je ne reviendrai pas sur le sujet, conscient que ce genre d’apareillage est hors de portée du commun des mortels.
Par contre, dans le cas d’une image exceptionnelle, on peut recourir aux services d’une entreprise qui dispose de ce materiel : en moyenne, un scan, à titre très approximatif, au format 24/30 sera facturé aux environs de 20 euros ( Sans retouche ou repique ).
Il convient de savoir simplement que ces scanners –hors Imacon, dont le principe est différent, c’est un tambour dit « virtuel » - utilisent un tambour transparent tournant sur son axe à très haute vitesse ( plusieurs centaines, voir milliers de tours/minute )sur lequel sont fixés les documents originaux que l’on huile au préalable pour garantir une adhérence parfaite, lesquels seront analysés par un faisceau laser continu.
Quels sont les critères à retenir pour l’achat d’un scanner ?
Outre le prix, il y a deux critères principaux dont il faudra tenir compte.
La résolution :
C’est la capacité d’un scanner a restituer un certain nombre de points pour une surface donnée. Plus cette quantité sera importante, plus on dira qu’il est capable de définition, et par conséquent, capable de fournir des dimensions de sortie (de tirage) importante.
Attention : dans le cadre du choix d’une résolution, il convient de se baser sur les données dites « rendu optique », qui représentent les vraies capacités du scanner, et non sur une résolution dite « interpolée » qui consiste à une multiplication artificielle du nombre de pixels, générés informatiquement.
La Dynamique ou D-Max :
C’est sa capacité à reproduire une gamme plus ou moins importante de valeurs de gris, et de fait, d’avoir la capacité de reproduire des blancs et des noirs plus fouillés.
On peut considérer qu’on obtiendra une image raisonnablement bonne à partir d’une D-max de 3.5, et excellente ( de niveau professionnel, suffisamment valable pour l’édition ) à partir de 3.8. A titre de comparaison, certains scanners purement destinés au scanning de film atteignent le 4.3 (Nikon Coolscan 9000 ED )
Il convient néanmoins d’être méfiant concernant les valeurs affichées pour certains scanners flatbed : Tout excellent qu’il soit, l’Epson 750 proposerait une D-Max identique (4.3), mais en réalité on est bien plus proche du 3.9…
D’autres facteurs ont bien entendu leur importance : la taille du document accepté, la rapidité de traitement, la possibilité ou non de lire des transparents et / ou des documents opaques.
Les tenants de la photographie argentique traditionnelle ont une méfiance permanente envers tout ce qui concerne la digitalisation – la numérisation – de photographies, qui leur semble être un tribut un peu inutile à une certaine modernité qu’ils qualifient de consumériste, et qu’ils n’hésitent pas à toiser avec un certain mépris, préférant les heures passées dans un laboratoire à peaufiner des tirages selon les procédés traditionnels. Scanner un négatif – ou un tirage, à fortiori baryté - leur parait donc en général comme une hérésie et procède du manque de goût le plus rédhibitoire.
Considérons donc, à leur attention – et à celle des autres – ce que peut apporter la digitalisation d’une image.
Un scanner permet :
- D’avoir une vision rapide et peu onéreuse d’un film nouvellement développé. Il remplace donc à moindre coût et plus confortablement et facilement la fameuse « planche contact », en offrant l’avantage de visualiser ses images agrandies.
- De réaliser un classement efficace et modulaire de sa production, permettant de joindre des notes éventuelles.
- Une réactualisation automatique de ses archives.
- Associé à un logiciel de classement informatique ( Portfolio d’Extensis, Cumulus de Quanto, divers sharewares et freewares), il permet de retrouver des images sur base de mots clef, et de fait, si les occurrences ont été correctement réalisées, de retrouver le tirage et/ou le négatif en un tour de main.
- De partager ses images sur internet par l’entremise d’un site spécialisé, personnel, ou de les faire partager à un forum, par exemple.
- De les joindre à un mail, ce qui fera indiscutablement plaisir aux sujets photographiés, aux amis, à la famille.
- De faire parvenir ses images à un laboratoire distant, au meilleur prix.
- Pour les utilisateurs professionnels de l’image, effectuer une livraison « in time » , sans frais, et d’avoir une base de discussion facile avec des clients même très éloignés
- Un scanner correctement exécuté est une sécurité : il peut toujours arriver un incident à un négatif, en général les meilleurs, ceux qui de fait sont les plus sollicités.
- Un scanner de bon niveau permet de ne pas confier d’originaux dans le cadre de concours, ou de parutions diverses
- Un scanner correctement réalisé permet une fois pour toute de n’avoir plus de retouches (ces sacrées poussières et griffes ) à faire à chaque retirage d’épreuves.
- D’inclure de facto ses préférences concernant les couleurs, la densité etc., ce qui permettra a un éventuel laboratoire d’avoir une vision précise et une exécution conforme au désidérata du photographe.
De plus, contrairement à l’image digitale (sauf pour les gens précis qui travaillent en RAW et qui gèrent correctement leur fond iconographique), un négatif scanné permet de conserver le document original « en l’état » : on peut toujours y revenir si besoin s’en faisait sentir.
On peut donc prétendre sans trop de forfanterie, que le scanner est un plus indiscutable pour le photographe traditionnel argentique, sans pour autant enlever les caractéristiques auxquelles il tient particulièrement : un scanner n’a jamais empêché celui qui le désire de faire AUSSI des tirages argentiques.
Les différents types de scanner.
Choisir un scanner n’est pas chose aisée. Néanmoins, vu les progrès considérables réalisés dans ce domaine, un scanner acquit ce jour pour un prix modique dispose parfois des mêmes qualités qu’un scanner professionnel de plusieurs dizaines de milliers d’euros il n’y a pas si longtemps.
Ca, c’est la bonne nouvelle.
La mauvaise est que malgré tout, tout a un prix. Et que les performances ont le leur, même si il est sans commune mesure avec un passé récent.
Faisons donc un petit tour des différents modèles disponibles :
Le scanner « a plat » dit Flatbed.
C’est le plus couramment utilisé.
Il permet la numérisation de documents opaque, et certains modèles permettent également de numériser des négatifs ou des diapositives, en couleur et en noir et blanc.
Son prix varie de quelques dizaines d’euros pour un modèle de base, au format A4, numérisant uniquement des documents opaques ( des tirages photographiques par exemple ) à plusieurs centaines d’euros pour un appareil multifonction, disposant d’un éclairage par transparence pour les diapos et les négatifs.
Il permet souvent dans le cas des films, de scanner de manière automatique un film entier, de nommer et de numéroter les images.
En règle générale, il permet de scanner de nombreux formats : c’est vérifier lors de l’achat, certains modeles se contentant du 24/36, d’autres acceptant le scanning de plan-films professionnels au format 20/25, et bien entendu, tous les formats inférieurs.
Le scanner dédié au film.
Plus pointu, mais travaillant uniquement à partir des négatifs ou des diapositives, noir et blanc ou couleur. Spécialisés, leur qualité est souvent supérieure à celle des flatbed, en tout cas des modèles moyen de gamme.
Ils se distinguent par leur capacité à accepter certains formats de film : beaucoup se contentent de scanner le film 135 ( 24/36 mm), d’autres acceptent les films 120, selon les formats, souvent jusqu’au 6/9 cm.
D’autre encore permettent de scanner également des originaux 4/5 inches (10.5/12 cm).
Leur qualité peut aller de très bonne à exceptionnelle.
Les scanners à tambour réels et virtuels.
Le prix d’achat de ces machines est en général hors de portée de l’amateur, même financièrement « à l’aise », ainsi que de pas mal de professionnels de l’image. Ils équipent des entreprises de photogravure, et délivrent des fichiers de qualité optimale, en général dédiés à l’imprimerie.
Il existe un modèle dit « à tambour virtuel », l’Imacon, distribué par la firme Hasselblad, dont le prix d’achat avoisine tout de même – pour un petit modèle - les 10.000 euros.
Je ne reviendrai pas sur le sujet, conscient que ce genre d’apareillage est hors de portée du commun des mortels.
Par contre, dans le cas d’une image exceptionnelle, on peut recourir aux services d’une entreprise qui dispose de ce materiel : en moyenne, un scan, à titre très approximatif, au format 24/30 sera facturé aux environs de 20 euros ( Sans retouche ou repique ).
Il convient de savoir simplement que ces scanners –hors Imacon, dont le principe est différent, c’est un tambour dit « virtuel » - utilisent un tambour transparent tournant sur son axe à très haute vitesse ( plusieurs centaines, voir milliers de tours/minute )sur lequel sont fixés les documents originaux que l’on huile au préalable pour garantir une adhérence parfaite, lesquels seront analysés par un faisceau laser continu.
Quels sont les critères à retenir pour l’achat d’un scanner ?
Outre le prix, il y a deux critères principaux dont il faudra tenir compte.
La résolution :
C’est la capacité d’un scanner a restituer un certain nombre de points pour une surface donnée. Plus cette quantité sera importante, plus on dira qu’il est capable de définition, et par conséquent, capable de fournir des dimensions de sortie (de tirage) importante.
Attention : dans le cadre du choix d’une résolution, il convient de se baser sur les données dites « rendu optique », qui représentent les vraies capacités du scanner, et non sur une résolution dite « interpolée » qui consiste à une multiplication artificielle du nombre de pixels, générés informatiquement.
La Dynamique ou D-Max :
C’est sa capacité à reproduire une gamme plus ou moins importante de valeurs de gris, et de fait, d’avoir la capacité de reproduire des blancs et des noirs plus fouillés.
On peut considérer qu’on obtiendra une image raisonnablement bonne à partir d’une D-max de 3.5, et excellente ( de niveau professionnel, suffisamment valable pour l’édition ) à partir de 3.8. A titre de comparaison, certains scanners purement destinés au scanning de film atteignent le 4.3 (Nikon Coolscan 9000 ED )
Il convient néanmoins d’être méfiant concernant les valeurs affichées pour certains scanners flatbed : Tout excellent qu’il soit, l’Epson 750 proposerait une D-Max identique (4.3), mais en réalité on est bien plus proche du 3.9…
D’autres facteurs ont bien entendu leur importance : la taille du document accepté, la rapidité de traitement, la possibilité ou non de lire des transparents et / ou des documents opaques.
-
- Expert
- Messages : 379
- Enregistré le : jeudi 18 octobre 2007 15:38
Re: Scanner - Tutorial
un très grand merci pour cette intro très prometteuse 

- HRISTO
- Super Gourou
- Messages : 5834
- Enregistré le : jeudi 11 octobre 2007 16:18
- Localisation : Pau (64) - Montpellier (34) pas assez souvent
- Contact :
Re: Scanner - Tutorial
Bravo pour cet épisode très instructif. Je me permets juste de rajouter que des scans de qualité permettent des publications, la création de sites internet, la communication (affiches...) et la conception d'ouvrages.
Re: Scanner - Tutorial
Bravo! Très belle initiative. Je serai le premier cobaye de ce tuto. Je commence à développer à la maison et je viens de recevoir un Coolscan V ED.
Pour l'instant je scan pour voir le résultat de mes développements, mais j'ai également commencé à archiver mes anciens négatifs... et là j'y vais vraiment la fleure au fusil (même pas lu le mode d'emploi... c'est grave doc?).
Vu le temps que chaque scan me prend.... ben je commence à me renseigner pour ne pas avoir à refaire le scan de ce qui à déjà été fait....
Vite la suite!
Merci
Pour l'instant je scan pour voir le résultat de mes développements, mais j'ai également commencé à archiver mes anciens négatifs... et là j'y vais vraiment la fleure au fusil (même pas lu le mode d'emploi... c'est grave doc?).
Vu le temps que chaque scan me prend.... ben je commence à me renseigner pour ne pas avoir à refaire le scan de ce qui à déjà été fait....
Vite la suite!
Merci
-
- Débutant
- Messages : 45
- Enregistré le : lundi 04 février 2008 14:23
- Localisation : Saint Joseph 974 Reunion
Re: Scanner - Tutorial
Bravo pour cet "intro" qui remet les choses en place!
Tout les livres de grands et moins grands photographes, proposés à prix abordables, existeraient-ils sans scanners? Et les sites internet qui sont de vraies sources d'inspiration... Il n'y aurait que les expositions et les tirages d'art (pas à la portée de tout le monde!) pour voir , admirer, critiquer le travail des maitres de l'image! Et quand je vois le niveau de qualité technique ( à défaut d'artistique
) que j'obtiens en A3+ avec un simple epson 4990 (en diapo et n&b moyen-format, avec Vuescan), c'est tout simplement bluffant.
Vive la chaine argentico-numérique, qui pour moi permet de tirer le meilleurs des deux mondes!
Tout les livres de grands et moins grands photographes, proposés à prix abordables, existeraient-ils sans scanners? Et les sites internet qui sont de vraies sources d'inspiration... Il n'y aurait que les expositions et les tirages d'art (pas à la portée de tout le monde!) pour voir , admirer, critiquer le travail des maitres de l'image! Et quand je vois le niveau de qualité technique ( à défaut d'artistique

Vive la chaine argentico-numérique, qui pour moi permet de tirer le meilleurs des deux mondes!