salut,
Nous sommes trois etudiants en photo a bruxelles et devons realiser un court sujet sur la surimpressiona la prise de vue, tant 24x36 que chambre. Nous sommes en recherche de toutes aides dans ce domaine etant donné que nos connaissances s'approchent du point zéro.
Merci d avance et a bientot....
Nos forumeurs ont du talent
La photo du mois de juin 2025

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surimpression a la prise de vue???HELP...
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- Aly
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- MMP
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A la prise de vue :
Ma connaissance des reflex en 24x36 s'est arrêtée, il y a fort longtemps, avec un Old F1 cabossé. La plupart de ces vénérables objets avaient une touche dite de surimpression permettant de réarmer l'obturateur sans que le film avance en même temps. (Avec mon télémétrique, je ne pratique pas, mais l'astuce consiste à tendre le film délicatement avec le bouton de rembobinage, ensuite d'actionner le levier pour le dit rembobinage et réarmer l'obturateur - à quelques microns près, le film ne bougera pas.)
A la chambre, avec les chassis, le problème ne se pose évidemment pas. On peut exposer autant de fois que l'on veut (c'est même une gaffe courante quant on ne prend pas garde à vérifier si le chassis a été utilisé ou non avant de le mettre en place au dos de la chambre, innocent et joyeux de la photographie que l'on s'apprête à prendre - dur retour sur terre à la sortie des cuvettes, le soir venu...).
Pour l'exposition, c'est selon. La première réaction sera de diviser la quantité de lumière nécessaire pour impressionner le film par autant de fois que l'on souhaite surimpressionner le film, ce afin d'éviter de surexposer massivement l'émulsion. Mais il faut bien penser l'image en amont afin d'éviter d'obtenir un brouillard d'images fantômatiques se superposant les unes sur les autres sans qu'aucune ne soit réellement définie.
On peut aussi construire son image en jouant sur les zones sombres de l'une et de l'autre pour mieux contrôler l'exposition de l'émulsion. Par ex. une scène urbaine de nuit laissant disponible un ciel noir que l'on pourra alors utiliser en surexposition - la lune au téléobjectif plein cadre par ex, où tout autre élément isolé et suffisament lumineux.
Ce travail est possible également en studio où l'on peut maîtriser les arrière-plans en utilisant des fonds sombres.
Le travail à la chambre facilite la composition de la scène grâce au quadrillage du dépoli. On peut aussi, sur les reflex le permettant, mettre un verre de visé quadrillé. Ceci aussi pour dire l'importance que l'on doit apporter à la composition en surimpression pour éviter toute gratuité des effets ou une confusion ne présentant aucun intérêt.
(Sans appareil, la technique du sandwich et autre manipulation à l'agrandisseur pour réaliser une composition type surimpression au tirage.)
Edit : satanée orthographe au clavier.
Ma connaissance des reflex en 24x36 s'est arrêtée, il y a fort longtemps, avec un Old F1 cabossé. La plupart de ces vénérables objets avaient une touche dite de surimpression permettant de réarmer l'obturateur sans que le film avance en même temps. (Avec mon télémétrique, je ne pratique pas, mais l'astuce consiste à tendre le film délicatement avec le bouton de rembobinage, ensuite d'actionner le levier pour le dit rembobinage et réarmer l'obturateur - à quelques microns près, le film ne bougera pas.)
A la chambre, avec les chassis, le problème ne se pose évidemment pas. On peut exposer autant de fois que l'on veut (c'est même une gaffe courante quant on ne prend pas garde à vérifier si le chassis a été utilisé ou non avant de le mettre en place au dos de la chambre, innocent et joyeux de la photographie que l'on s'apprête à prendre - dur retour sur terre à la sortie des cuvettes, le soir venu...).
Pour l'exposition, c'est selon. La première réaction sera de diviser la quantité de lumière nécessaire pour impressionner le film par autant de fois que l'on souhaite surimpressionner le film, ce afin d'éviter de surexposer massivement l'émulsion. Mais il faut bien penser l'image en amont afin d'éviter d'obtenir un brouillard d'images fantômatiques se superposant les unes sur les autres sans qu'aucune ne soit réellement définie.
On peut aussi construire son image en jouant sur les zones sombres de l'une et de l'autre pour mieux contrôler l'exposition de l'émulsion. Par ex. une scène urbaine de nuit laissant disponible un ciel noir que l'on pourra alors utiliser en surexposition - la lune au téléobjectif plein cadre par ex, où tout autre élément isolé et suffisament lumineux.
Ce travail est possible également en studio où l'on peut maîtriser les arrière-plans en utilisant des fonds sombres.
Le travail à la chambre facilite la composition de la scène grâce au quadrillage du dépoli. On peut aussi, sur les reflex le permettant, mettre un verre de visé quadrillé. Ceci aussi pour dire l'importance que l'on doit apporter à la composition en surimpression pour éviter toute gratuité des effets ou une confusion ne présentant aucun intérêt.
(Sans appareil, la technique du sandwich et autre manipulation à l'agrandisseur pour réaliser une composition type surimpression au tirage.)
Edit : satanée orthographe au clavier.
Modifié en dernier par MMP le mercredi 22 novembre 2006 13:07, modifié 1 fois.
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presentation
Voila, nous nous sommes presentés....
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- Super Gourou
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Sur les reflex ancienne génération non motorisés, il fallait agir de la même façon que MMP le décrit pour les telemetriques: tendre la pellicule en rembobinant, enclencher la touche de rembobinage, bloquer le bouton de rembobinage et armer. Sur un reflex moderne c'est une excellente question, je vais jeter un coup d'oeil à quelques notices. Avec unlubitelpar contre c'est l'idéal: on arme, on déclenche, on arme on déclenche, on arme, on déclenche...
et on publie dans la gallerie des ratés!

- CTOF
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regarde ce liens qui pourrait te donner quelque idée
http://35mm-compact.com/forum/viewtopic.php?t=2075
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