Salut la compagnie,
Ayant acquérit un durst 601 et tout le matériel qui va avec, je souhaiterais connaître le meilleur rapport qualité prix des révélateurs et fixateurs: Kodak, Ilford (sachant que j'utilide des films Ilford FP4).
J'ai lu dans un livre qu'il faut faire un bain d'arret pendant le développement mais je n'arrive pas à savoir s'il s'agit d'un rinçage a l'eau ou d'un produit specifique.
Merci d'avance,
Zébulon
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Quel révélateur, quel fixateur?
- NeGbLaN
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Re: Quel révélateur, quel fixateur?
En général, les chimies étant des solutions assez économiques et surtout étudiées pour des objectifs spécifiques, on ne réfléchit pas en terme de rapport qualité/prix comme pour un shampoing.
Mais il est de notoriété publique que le rodinal est probablement le plus économique avec des résultats hyper satisfaisants.
Le bain d'arrêt est l'étape du processus qui comme son nom l'indique, arrête un phénomène. Il y a deux écoles : ceux qui te diront ça arrête l'action du révélateur, ceux qui te diront qu'en pratique ça évite surtout de fatiguer le fixateur. Moi je suis ni pour ni contre, bien au contraire
En tout cas un bain d'arrêt s'avère nécessaire (révélation/arrêt/fixage/rinçage). Là il y a trois écoles : ceux qui se contentent de l'eau, ceux qui aiment quelques gouttes de vinaigre d'alcool blanc dans beaucoup d'eau, et les partisans du vrai bain d'arrêt industriel. Moi je suis ni pour le premier ou le second, ni pour le second ou le troisième, c'est dire
Bienvenue dans le monde merveilleux de la magie argentique. Il y en a plus d'un qui se soit marié, après avoir tenté l'aventure du labo et de l'inactinisme
Mais il est de notoriété publique que le rodinal est probablement le plus économique avec des résultats hyper satisfaisants.
Le bain d'arrêt est l'étape du processus qui comme son nom l'indique, arrête un phénomène. Il y a deux écoles : ceux qui te diront ça arrête l'action du révélateur, ceux qui te diront qu'en pratique ça évite surtout de fatiguer le fixateur. Moi je suis ni pour ni contre, bien au contraire

En tout cas un bain d'arrêt s'avère nécessaire (révélation/arrêt/fixage/rinçage). Là il y a trois écoles : ceux qui se contentent de l'eau, ceux qui aiment quelques gouttes de vinaigre d'alcool blanc dans beaucoup d'eau, et les partisans du vrai bain d'arrêt industriel. Moi je suis ni pour le premier ou le second, ni pour le second ou le troisième, c'est dire

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- MMP
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Re: Quel révélateur, quel fixateur?
Les deux : le bain d'arrêt stoppe l'action du révélateur et permet de ce fait une meilleure activité du fixateur qui n'a alors pas à remplir cet office. (Donc qu'une école, ou alors la chimie n'est plus ce qu'elle est mais ce qu'elle était - alchimie.)NeGbLaN a écrit :Le bain d'arrêt est l'étape du processus qui comme son nom l'indique, arrête un phénomène. Il y a deux écoles : ceux qui te diront ça arrête l'action du révélateur, ceux qui te diront qu'en pratique ça évite surtout de fatiguer le fixateur.
- Osborne
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Re: Quel révélateur, quel fixateur?
Bonjour Zebulon.
Il n'y a pas de mauvaises ou de bonnes chimies, il y a des chimies adaptées aux traitements que tu souhaites faire. Tu trouveras sûrement des pistes de choix dans ce site, et le sujet est trop vaste pour tenir en une seule réponse.
Pour le bain d'arrêt, il est essentiel. Ce peut être soit simplement un passage à l'eau (une minute) entre le révélateur et le fixateur, soit un mélange d'acide acétique à 4% -plus efficace et à usage unique, soit un de ces bains d'arrêt concentrés et colorés du commerce qu'on peut réutiliser plusieurs fois. Moi j'ai opté pour la seconde méthode depuis longtemps, et j'en suis satisfait. D'autres le seront avec les deux autres méthodes.
Pour en revenir au rapport "qualité/prix", la seule chose qui peut influencer ton choix c'est le conditionnement des chimies. Une fois décachetées les sachets ou flacons d'origine, les produits s'oxydent assez vite et il vaut mieux acheter la stricte quantité necessaire selon ton volume de travail que de faire des "économies" de bouts de chandelle avec des grands conditionnements dont les 3/4 partiront aux égouts car inutilisés dans les temps.
A titre d'information, et par expérience personnelle (d'autres sur cette liste vont me contredire
), je garde un révélateur en solution de réserve 3 mois maxi (D76, Microdol), un fixateur un mois (Hypam, Agefix). Après je jette !!!
Ne pas confondre la "solution de réserve" -qui est le produit dilué- avec le stock -le sachet de poudre ou le flacon de concentré- qui eux se gardent sans soucis plusieurs mois, voir années.
Il n'y a pas de mauvaises ou de bonnes chimies, il y a des chimies adaptées aux traitements que tu souhaites faire. Tu trouveras sûrement des pistes de choix dans ce site, et le sujet est trop vaste pour tenir en une seule réponse.
Pour le bain d'arrêt, il est essentiel. Ce peut être soit simplement un passage à l'eau (une minute) entre le révélateur et le fixateur, soit un mélange d'acide acétique à 4% -plus efficace et à usage unique, soit un de ces bains d'arrêt concentrés et colorés du commerce qu'on peut réutiliser plusieurs fois. Moi j'ai opté pour la seconde méthode depuis longtemps, et j'en suis satisfait. D'autres le seront avec les deux autres méthodes.
Pour en revenir au rapport "qualité/prix", la seule chose qui peut influencer ton choix c'est le conditionnement des chimies. Une fois décachetées les sachets ou flacons d'origine, les produits s'oxydent assez vite et il vaut mieux acheter la stricte quantité necessaire selon ton volume de travail que de faire des "économies" de bouts de chandelle avec des grands conditionnements dont les 3/4 partiront aux égouts car inutilisés dans les temps.
A titre d'information, et par expérience personnelle (d'autres sur cette liste vont me contredire

