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Ju bil a écrit :La planette interdite est "marante", dans les vieux film de SF.
Je garde un souvenir zarb de l'utilisation de la couleur dans ce film, faudrait que je le revoie.
J'ai aussi enfin pu voir le jour ou la terre s'arreta.
Depuis le temps que j'entendait parler de Micheal Rennie dans le générique du Rocky Horror (on peut aussi le mettre dans les nanars de légende celui ci? :lol: ) j'avais vraiment envie de le voir.
Ca a vieilli, pas mal, mais le point de vue est encore d'actualité.
Bonjour,
Planète interdite est un film à plusieurs niveaux d'appréciation (comme bien d'autres films de SF).
Pour les enfants, il est amusant, avec le robot qui fabrique tout ce qu'on lui demande, à l'instant.
Pour les adultes, il y a la qualité (pour l'époque) des décors, des trucages, de l'histoire...
Au delà de cette histoire, vécue au premier degré, il y a aussi une réflexion sur les dangers du pouvoir sans limite, de la face obscure de l'esprit humain, etc.
C'est sûr que, par rapport à Star Wars, par exemple, et pour des adolescents actuels, c'est un film ringard...
Que l'on trouve facilement en DVD, en France ou en Europe (version anglaise, dans ce cas).
Si vous voulez la quintessence du film SF bizarre, il faut voir "Dark Star", que l'on pourrait sous-titrer "Les hippies dans l'espace".
Un film d'étudiant en cinéma, au format 16 mm, qui fut ensuite "gonflé" en 35 mm, avec une durée prolongée.
Le réalisateur ? Un certain John Carpenter (si !).
Egalement exotique, "Silent Running", un film de SF "écolo", avant l'heure (actuelle).
Au chapitre SF bizarre -j'ai hésité quelques temps à savoir si j'aimais ou pas- parce que c'est quand même kitchissimantesque, avec Sean Connery en culotte ridicule, et charlotte rampling en costume strange, et en même temps pas ininteressant du tout : c'est ZARDOZ de John Boorman.
Faut remettre dans le contexte, il ne fumaient pas que la moquette, c'était le debut de 70's
C'est barré à souhait mais j'aime bien cette fable sur l'immortalité, le sens de la vie tout ça tout ça...
Ju bil a écrit :Au chapitre SF bizarre -j'ai hésité quelques temps à savoir si j'aimais ou pas- parce que c'est quand même kitchissimantesque, avec Sean Connery en culotte ridicule, et charlotte rampling en costume strange, et en même temps pas ininteressant du tout : c'est ZARDOZ de John Boorman.
Faut remettre dans le contexte, il ne fumaient pas que la moquette, c'était le debut de 70's
C'est barré à souhait mais j'aime bien cette fable sur l'immortalité, le sens de la vie tout ça tout ça...
Bonsoir,
Bien vu...
Effectivement, ce film, à l'époque, avait fait ricaner pas mal de critiques, à sa sortie.
Bien que ce ne soit pas de la SF, et plutôt de "l'heroïc fantasy", mais toujours de John Boorman, il y a eu "Excalibur"...
Au risque de faire de la peine aux fans de George Lucas (qui l'a reconnu), vous savez déjà que bon nombre des personnages et des péripéties du premier film de la première trilogie, furent "pompés" dans d'autres films, dont ceux de Akira Kurosawa (La forteresse cachée).
Mais, ce n'est pas tout. Bien des années après avoir vu "Star Wars", nous avons été amené à découvrir une oeuvre musicale et son compositeur : Les planètes, de Gustav Holst.
Quelle ne fut pas notre surprise de découvrir que certains passages étaient quasiment identiques à certains passages les plus connus de la musique de "Star Wars", conçue et dirigée par John Williams.
Faites, vous-même, l'essai, si vous disposez de cette oeuvre, et n'avez pas encore remarqué le fait.
Les auteurs décédés et sans ayant droits ont bon dos...
Excusez-nous de cette "sortie", mais le pompage en douce ne nous plait pas, contrairement à l'emprunt revendiqué et assumé, voire la parodie, etc.
Ju bil a écrit :Au chapitre SF bizarre -j'ai hésité quelques temps à savoir si j'aimais ou pas- parce que c'est quand même kitchissimantesque, avec Sean Connery en culotte ridicule, et charlotte rampling en costume strange, et en même temps pas ininteressant du tout : c'est ZARDOZ de John Boorman.
Faut remettre dans le contexte, il ne fumaient pas que la moquette, c'était le debut de 70's
C'est barré à souhait mais j'aime bien cette fable sur l'immortalité, le sens de la vie tout ça tout ça...
Bonsoir,
Bien vu...
Effectivement, ce film, à l'époque, avait fait ricaner pas mal de critiques, à sa sortie.
Bien que ce ne soit pas de la SF, et plutôt de "l'heroïc fantasy", mais toujours de John Boorman, il y a eu "Excalibur"...
Cordialement.
Excalibuuuur!!!! J'adore : les chevaliers de la table ronde en armure de plaque chromée -heu au début, hein; après ça (dé)rouille- ça a un coté désopilant.
A la décharge de John Williams, je ne crois pas qu'il se soit jamais défendu d'avoir pompé à droite à gauche dans différent répertoires.
Je n'ai plus en tête les exemples qu'il avait cité, mais je me souviens de l'avoir entendu en causer il y a bien longtemps.
hyperfocale : pardon du hors sujet, mais quand vous dites "nous" je suis troublé. Qui est "nous" ? Vous-même, terrien, à la Delonite aigüe qui se nomme de manière désincarné en se plurielisant ? Vous, un couple ? Un club ? Une asso ? Un groupe local de galaxies ? Vous avec vous-même et votre autre soi ? Vous et vos appareils photo ?..
NeGbLaN a écrit :hyperfocale : pardon du hors sujet, mais quand vous dites "nous" je suis troublé. Qui est "nous" ? Vous-même, terrien, à la Delonite aigüe qui se nomme de manière désincarné en se plurielisant ? Vous, un couple ? Un club ? Une asso ? Un groupe local de galaxies ? Vous avec vous-même et votre autre soi ? Vous et vos appareils photo ?.. :?:
Bonjour,
Vous n'êtes pas le premier à se, nous, poser la question, sur ce site...
Pour information, la Delonite aigüe se manifeste par l'usage de la troisième personne du singulier, et non pas par celui de la première personne du pluriel...
Cordialement.
Modifié en dernier par hyperfocale le dimanche 04 mai 2008 11:35, modifié 1 fois.
Nous profitons d'un complément pour relancer ce thème.
Un des genres les plus intéressants, dans le film de Science-Fiction (comme dans le récit), c'est le voyage dans le temps, depuis la nouvelle de Wells (portée plusieurs fois à l'écran) jusqu'à "Retour vers le futur".
Pour peu que l'imagination de l'auteur soit là, il peut créer des situations si imbriquées (du fait de tous les paradoxes possibles) que l'on finit par ne plus s'y retrouver.
Même des séries TV ont joué du mécanisme, pour certains épisodes de "Twilight Zone" et/ou de "The Outer Limits".
Il faut dire que la possibilité de voyager dans le temps, si elle existait, et dans le même continuum espace-temps, bien sûr, créerait des situations inextricables, d'où le concept de paradoxe temporel, d'ailleurs.
Curieusement, par contre, l'Uchronie, donc le fait d'imaginer que l'histoire de notre planète a été autre que celle que nous connaissons (les évènements ont tourné autrement...) ne semble pas avoir beaucoup tenté les réalisateurs..., contrairement aux auteurs.
Signalons, au passage, l'exhaustive (ô combien !) collection de Science-Fiction qui avait été réalisée par Hachette, en livres de poche, et selon une logique thématique, avec plein de textes intéressants..., pour un prix abordable, à partir de 1973, avec un total d'une bonne vingtaine de volumes, au moins.
Mais il faut aussi citer la collection anticipation, de chez Flammarion, en édition de poche "J'ai Lu", vers la même époque, avec tous les grands classiques.
Marabout s'était également distingué, notamment avec la publication d'auteurs roumains, et d'autres pays de l'est, comme l'on disait à l'époque.
Très bien aussi dans le genre anticipation,"soleil vert" avec Charlton Heston.
Quand la terre surpeuplée ne peut plus subvenir aux besoins alimentaires des populations affamées...que reste-t-il pour produire la nourriture?
Visuellement très kitsch,mais un film traitant d'écologie et de mensonge politique très visionnaire...
Bienvenue à Gattacca est très proche à mon sens de "Le meilleur des mondes" de Huxley.Un peu comme "the Island", plus récemment.Manipulations génétiques et instrumentalisation de la race humaine...
Il y a aussi "Dark city",tout un monde recréé par une caste extra-terrestre dont l'espèce est menacée:manipulation et programmation de l'esprit, c'est un film bien mystérieux,visuellement très travaillé...
tarabucetta a écrit :Ah "Soleil Vert"... dommage en effet que les décors et Charlton Heston aient mal vieillis, mais le scénario est flippant, et tellement actuel.
"Bienvenue à Gattaca", j'adore (bon je suis pas objectif quand y a Jude Law dans un film), la meilleure performance d'acteur pour Etan Hawke.
"The Island" j'ai pas accroché. Et "Dark City", il y a effectivement un énorme travail esthétique.
N'oublions pas le génial et loufoque "Brazil".
Et même si c'est un manga, il faut aboslument voir "Metropolis" qui est un chef d'oeuvre !
Bonjour,
D'accord, pour les avis sur "Soleil vert", "Bienvenue à Gattaca", "Brazil", que nous avons tous vus.
Nous ne pouvons rien dire sur "The Island" et "Dark City", faute de visionnage, à ce jour.
Pour les trois premiers, une bonne question à se poser serait : "Est-ce de la Science-Fiction ou de l'Anticipation" ?
En prenant le mot "anticipation" dans son sens le plus classique, celui d'anticiper quelque chose, juste un peu avant que cela n'arrive vraiment...
Question voyage dans le temps, le sujet a débordé le périmètre de la littérature et du cinéma, je signale, même si c'est un peu HS deux voyages dans le temps avec une vision distincte offerte par leurs auteurs respectifs :
- Journeyman Project - Buried In Time (Presto Studios) : jeu vidéo du temps où j'étais étudiant. Machination infernale.
- Le Piège Diabolique (E. P. Jacobs) : Machination aussi. La BD bien connue, même si je n'ai pas trop accroché avec cet album. Témoignage de la vision du futur (pour partie) d'un auteur dans son temps, avec ses craintes et ses espoirs.
Outre les titres déjà cités, c'est à dire ceux relatifs aux différentes versions de la "machine à voyager dans le temps", de Wells, et la série des "Retour vers le futur", il nous semble que "L'armée des douze singes" (que nous n'avons pas vu) relève du thème du voyage dans le temps.
En littérature, un autre classique (à part Wells), c'est "Le voyageur imprudent" de Barjavel. Sans parler des dizaines, des centaines de nouvelles courtes et de récits longs, qui ont été consacrés à ce sujet, en SF.
En matière d'Uchronie, il ne semble pas y avoir eu de films spécifiques, si nous en jugeons par l'absence de réponses et de propositions des lecteurs de ce thème.
Par contre, la TV, dans certaines séries américaines, a joué avec le concept, notamment pour le feuilleton, dont le nom nous échappe sur le moment, et dont les protagonistes changeaient de planète Terre, en fonction de leur passage dans des mondes parallèles, et donc des évolutions alternatives de l'histoire de notre planète.
Toutefois, cette série n'allait pas très loin dans les alternatives envisagées, qui étaient plutôt centrées sur des évolutions politiques, sociales, économiques, toutes diverses, mais en restant centré sur une époque équivalente. Donc, un changement d'univers parallèle, mais en demeurant à peu près à la même date absolue (par rapport à l'univers).
Alors que l'imagination des scénaristes aurait pu pousser bien plus loin, en les faisant changer d'époque (sur environ cinq milliards d'années dans le passé, et combien plus dans le futur, il y avait de quoi faire...).
Sans parler de la possibilité que l'expèce humaine ne soit pas présente dans tous les univers parallèles (ni la Terre, d'ailleurs : par exemple, destruction par un astéroïde, etc.).
Comme nous n'avons jamais vu l'intégralité de cette série, peut-être sommes-nous passé à côté de telles variantes ?
C'est bien, en ce qui nous concerne, le problème de ces séries qui s'étalent sur des années, et des saisons multiples. Une fois la nouveauté du thème retombée, nous finissons par être "gavé" de tous ces épisodes, tous conçus sur la même trame, avec les même péripéties de fond, et où seul "l'habillage" de ce fond varie, et nous "décrochons" au bout de quelques dizaines d'opus.
Relèvent de ce commentaire : "Stargate", le feuilleton sur les univers parallèles cités précédemment, les "X Files", et d'autres encore...
Pour les "X Files", il y avait bien des thèmes différents, à chaque fois, mais le fond de l'histoire s'étirait tellement, que cela en devenait rasoir (toujours pour nous)... Et les péripéties finissaient par devenir artificielles, pour prolonger encore un suspense qui, au contraire, se diluait de plus en plus, par excès de pseudo-coups de théatre...
Par contre, avec les séries comme "Twilight zone" et "Outer limits", chaque épisode était une histoire complète et indépendante, et de ce fait toujours différente, donc sans cet effet de saturation par répétition ou dilution et délayage...
Des séries comme "Le prisonnier", par exemple, eurent aussi l'intelligence de se limiter à un faible nombre d'épisodes, avant que l'accumulation ne devienne lassante.
L'on retrouve ici (au cinéma ou à la TV), l'équivalent du phénomène similaire, et connu en littérature de SF : certaines nouvelles de quelques pages ou dizaines de pages ont souvent bien plus à dire, et provoquent bien plus d'effets, chez le lecteur, que certains pavés de plusieurs centaines de pages qui, parfois, se multiplient encore plus, au fil de plusieurs tomes successifs...
Autre feuilleton intelligent, celui dont le titre ne nous revient pas à l'esprit sur le moment (décidément), et dont le héros nommé Jarod, est un surdoué retenu prisonnier et utilisé par un centre de recherche, etc., etc. Là, il y avait plus de variabilité dans le déroulé de chaque épisode, tandis que le fond de l'histoire avançait aussi, parallèlement à chaque histoire individuelle qui constituait un épisode. Peut-être trop intellectuelle et intelligente, cette série ne dura pas très longtemps, aux USA, et nous n'en connaîtrons jamais la fin. Mais, après tout, cela "colle" bien à "l'esprit" de cette série... Peut-être que cette fin accélérée lui aura évité de sombrer dans les travers que nous évoquons pour d'autres séries...
2 films me viennent en tête qui n'ont, sauf erreur, pas encore été cités ici.
Code 46 de Michael Winterbottom.
Récit d'anticipation qui fait penser à Gattaca dans sa description d'une société totalement basée sur des idées de compabilités génétiques et où un homme qui s'occupe de contrôler des travailleurs va tomber amoureux d'une femme. Le film de Winterbottom évite le spectaculaire et adopte un ton naturaliste et contemplatif, aidé par deux acteurs en symbiose totale, Tim Robbins et Samantha Morton.
Starship Troopers de Paul Verhoeven
Grosse farce parodique qui tourne en dérision l'interventionnisme américain, la toute puissance de l'armée par le biais d'une violence tellement excessive qu'elle en devient cartoonesque et le jeu d'acteurs-belles-gueules tout droit sortis de sitcoms fadasses. C'est réalisé de main de maître (comme toujours avec Verhoeven), totalement jusqu'au boutiste, drôle et d'une pertinence rare.
Quand on pense que certains ont pu prendre ce film au sérieux...
hyperfocale a écrit :Autre feuilleton intelligent, celui dont le titre ne nous revient pas à l'esprit sur le moment (décidément), et dont le héros nommé Jarod, est un surdoué retenu prisonnier et utilisé par un centre de recherche, etc., etc.
hyperfocale a écrit :Autre feuilleton intelligent, celui dont le titre ne nous revient pas à l'esprit sur le moment (décidément), et dont le héros nommé Jarod, est un surdoué retenu prisonnier et utilisé par un centre de recherche, etc., etc.
hyperfocale a écrit :Autre feuilleton intelligent, celui dont le titre ne nous revient pas à l'esprit sur le moment (décidément), et dont le héros nommé Jarod, est un surdoué retenu prisonnier et utilisé par un centre de recherche, etc., etc.
Le Caméléon ?
Bonsoir Colqhoun,
Oui ! Merci pour le rafraîchissement de mémoire...
Colqhoun a écrit :2 films me viennent en tête qui n'ont, sauf erreur, pas encore été cités ici.
Code 46 de Michael Winterbottom.
Récit d'anticipation qui fait penser à Gattaca dans sa description d'une société totalement basée sur des idées de compabilités génétiques et où un homme qui s'occupe de contrôler des travailleurs va tomber amoureux d'une femme. Le film de Winterbottom évite le spectaculaire et adopte un ton naturaliste et contemplatif, aidé par deux acteurs en symbiose totale, Tim Robbins et Samantha Morton.
Starship Troopers de Paul Verhoeven
Grosse farce parodique qui tourne en dérision l'interventionnisme américain, la toute puissance de l'armée par le biais d'une violence tellement excessive qu'elle en devient cartoonesque et le jeu d'acteurs-belles-gueules tout droit sortis de sitcoms fadasses. C'est réalisé de main de maître (comme toujours avec Verhoeven), totalement jusqu'au boutiste, drôle et d'une pertinence rare.
Quand on pense que certains ont pu prendre ce film au sérieux...
Bonsoir,
Nous ne connaissons pas du tout le premier titre.
Par contre, pour le second, nous avons vu le film, et nous adhérons à votre commentaire.
Le livre source avait été publié dans la collection anticipation J'ai Lu, de Flammarion, sous le titre "Etoiles, garde-à-vous !", si notre mémoire ne nous joue pas des tours...
hyperfocale a écrit :Le livre source avait été publié dans la collection anticipation J'ai Lu, de Flammarion, sous le titre "Etoiles, garde-à-vous !", si notre mémoire ne nous joue pas des tours...
C'est intéressant de voir que Verhoeven a totalement détourné le propos du livre pour en faire une oeuvre clairement anti-militariste et qui tourne constamment l'armée en dérision, là où le propos de Heinlein mettait bien plus en avant les vertues militaires (si ma mémoire ne me fait pas défaut).
hyperfocale a écrit :Le livre source avait été publié dans la collection anticipation J'ai Lu, de Flammarion, sous le titre "Etoiles, garde-à-vous !", si notre mémoire ne nous joue pas des tours...
C'est intéressant de voir que Verhoeven a totalement détourné le propos du livre pour en faire une oeuvre clairement anti-militariste et qui tourne constamment l'armée en dérision, là où le propos de Heinlein mettait bien plus en avant les vertues militaires (si ma mémoire ne me fait pas défaut).
Bonsoir,
Nous avons toujours le livre en stock, au grenier, mais comme nous l'avons lu vers le milieu des années 1970, nous n'avons plus le moindre souvenir du contenu de cet ouvrage, et encore moins de son "esprit".
Un sous-thème sur le militarisme, dans la Science Fiction, serait à prendre en compte, comme il en existe bien d'autres (les robots, l'écologie...).
Le secteur de la "Science Fiction belliqueuse" et le plus souvent en lien direct avec l'extraterrestre, l'alien, l'autre, la chose...