C'est immense, bien plus que la porte de Versailles ou Villepinte, et çà m'a donné l'idée suivante :
Le but de beaucoup de photographes est de prendre des "gens" dans des endroits inhabituels si possible.
Or, si ce milieu m'est familier, les salons industriels sont un genre en soi, matière à travail, donc j'ai prévu d'aller tirer le portrait de ces encravatés, gobelets de mousseux à la main


A défaut d'être reporter de guerre, voilà le reportage d'affaire
