Eh oui, je n'ai pas encore disparu dans un tremblement de terre cataclismique aux Antilles ou autres péripéties de géophysiciens.
Je viens de récupérer les résultats de la première pellicule faite avec mon nouvel appareil photo : un Sea&Sea MMII, ou entre autres termes, un appareil argentique sous-marin.
Décrivons un peu la bête, parce qu'elle ne doit pas être si connue que ça. C'est un compact, avec viseur (et parallaxe donc), mise au point manuelle (juste une échelle de distances sur la molette), ouverture et vitesse sélectionnables (juste une diode pour indiquer les sous-expositions) et un flash externe (avec mesure TTL quand même !!! ).
Bref, les résultats ne sont pas vraiment montrables pour l'instant, même pas pour discuter d'où vient le problème, il est tellement évident : c'est flou.
Niveau exposition, ça va, c'est correct, j'arrive à gérer de ce côté-là. Par contre, apparemment, juger dans l'eau de la distance de mise au point, sachant que le masque rapproche d'environ 30% et qu'il y a du courant, ben c'est pas facile facile.
C'est même dur, très dur.
Donc maintenant, pour arriver à maîtriser la bête, je vais essayer de me concentrer sur les macros (l'optique aditionnelle macro à un cadre devant qui dit à quelle distance la photo est nette et cadrée - un cadre quoi) et la photo des paysages sous-marins (mise au point à l'infini, et clac).
Et pour finir, si vous avez des astuces ou des expériences à partager, n'hésitez pas, je prends.
A tantôt pour des photos, des pas floues et montrables.
PS : à terre, je m'en sors, c'est rarement flou
