Bonjour.
Ta dernière réglette fenestrée est encore plus recherchée, si j'ai bien compris, on va surtout l'employer à la prise de vues et d'un point de vue pratique, pour l'appliquer au spotmètre:
1. Je chercher un "blanc" avec début de texture visible. Je décide que c'est la zone II.
2. Je fais la mesure au spotmètre et regarde quel EV me donne l'aiguille dans le viseur.
3. Sur le quadrant, je place l'EV en regard de la zone II.
4. Je cherche un "noir" contenant encore de la texture visible et décide que c'est la zone VIII.
5. Mesure au spotmètre de cette zone VIII et lecture de l'EV dans le viseur.
6. Sans toucher au quadrant je regarde si l'EV mesuré est bien en regard de la zone VIII de l'échelle.
Si l'EV mesuré et l'EV sous l'échelle sont identiques, je ne change rien ni à l'exposition ni au développement
Si l'EV mesuré au spotmètre est supérieur de +1 à l'EV sous l'échelle je vais devoir exposer avec une correction de N+1 et un développement de N-1 pour
"compresser la dynamique d'un diaph" 
Je laisse tomber l'inverse juste pour réfléchir

Questions:
- Si je n'ai qu'un stop d'écart entre l'EV mesuré et l'EV sur la réglette, N+1. Pourquoi dois-je corriger deux fois, +1 de surexposition et -1 de sous-développement. Cela me donne au total deux stops d'écart

- D'un point de vue pratique, Comment mesure-t-on précisément N-1 au développement. En se fiant à la notice du révélateur j'imagine (retenir-pousser un film)

- Je suppose qu'il faut acquérir l'habitude de repérer les zones II et VIII dans le sujet et rester quelques secondes avec une lumière constante. Car ce n'est pas bêtement faire une moyenne entre deux EV.
- Il faudra également caler (étalonner) le spotmètre sur un gris moyen en plein soleil sur EV 15 et faire des essais de mesure sur des zones II et VIII