comme souvent, la série mise en perspective avec le texte de ton blog prend une autre dimension. Mais puisqu'ici tu as choisi la version light sans texte, je m'attacherai aux photos telles que je les ai découverte la première fois, sans verbe.
Ce qui est curieux, c'est que je distingue clairement matières à trois séries parfaitement distinctes ici. De 1 à 3, de 4 à 7 et de 8 à 14.
Sur la première volée, je garde la première sans hésiter. La 2 et 3 sont chargées d'ambiance, poisseuses à souhait. En garder une pour un diptyque avec la 1 ? pourquoi pas.
Pour la deuxième sous série, la référence à Kenna est inévitable. En même temps, difficile de photographier un arbre sous la neige sans penser à lui maintenant. C'est comme pour les poses longues... Cela dit, tu t'éloigne quand même du monsieur. Tu ne me semble pas du tout dans la recherche de l'épure et du zen mais plus dans la représentation du paysage. A ce titre, j'aime beaucoup la 5 et la 7.
J'aime moins la dernière partie, je trierai même séveremment. Je ne garderai que les trois dernières, bien composées et à mon sens suffisamment évocatrices.
voilà, content de te revoir par ici
