Oui, nous avons tous deux un nez avec un fort potentiel photographique !!!
Mon père était parisien, ceci explique peut-être cela...
Comme je regrette de ne pas avoir amené monsieur Lapin ! j'ai hésité et j'ai fini par le ressortir du sac photo pour y mettre un boitier de plus... grosse erreur !!!
Mais pas de soucis pour les fans de monsieur lapin votre héros de laine va bientôt revenir.
Bon, je vais à présent commenter les photos mais sans les citer pour ne pas plomber le fil.
Sur la première on voit que je suis content de retrouver Alambix et de rencontrer les nouveaux : Gustave et les collègues d'Alambix
Sur la seconde c'est l'émotion et le plaisir de me retrouver dans cette ville que j'aime tant et dans laquelle j'arrive toujours à être surpris par les gens et les choses.
Sur la troisième, cette gymnastique grossière m'a été nécessaire pour trouver une façon de photographier un batiment sur l'autre rive. En y repensant c'est vrai que c'est absurde, monter sur cette pièce de mobilier urbain pour prendre de la hauteur puis me courber pour en perdre...
Sur la quatrième je suis en train de réfléchir avant de prendre la photo de groupe, quelle couple ouverture vitesse ?
Sur la cinquième c'est : tu me file ton blad ou te te prends un coup de trépied !

Non en fait je ne sais pas ce qui s'est passé dans cet instant mais le regard inquiet de Sébastien me laisse craindre le pire !
Sur la sixième j'étais en train de faire un commentaire très documenté sur les ponts et mon avis pour bien les photographier
Enfin sur la septième je disparais dans la nuit car au fond je reste un mystère pour beaucoup d'entre vous...
Plus sérieusement Alambix, je trouve que ces photos ont un rendu magnifique, est-ce le scan soigné en haute définition, l'effet du rodinal, le rendu optique Pentax (la seule marque que je n'ai pas pratiqué) ou alors un peu tout ça ?
mon physique est ingrat et ça je l'assume, mais j'aime me voir sur ces photos et ce peu importe l'angle car ce sont avant tout des instants de bonheur figés sur film.
Alors pour finir, ce mot trop souvent galvaudé :
Merci
