Le problème c'est qu'il est trop fatigué pour se tenir debout sans se tenir avec ses deux mains.
Alors il prend les deux cordons de son pantalon qu'il maintient fermement entre ses incisives, il s'appuie sur les deux bras de son fauteuil et se relève dans un terrible effort tout en tirant son pantalon avec la bouche, il se rassied immédiatement, épuisé. Il noue alors les cordons de son pantalon.
C'est ce moment là que le seul rayon de soleil de la journée décide d'éclairer le visage de George. Je le photographie.
