Présentation des photos argentique "paysage" ! On peut aimer ou ne pas aimer une photo... Alors acceptez qu'elle ne puisse pas plaire à tout le monde ! Soyez constructifs dans vos propos !
Photos entre 600 et 800px de large SVP. 3 photos maxi par fil !
Toujours cet épisode neigeux qui a revêtu les pins et autres maquis d'un joli manteau blanc. Nous avions craint la panthère de Sugiton (calanque du 9eme arrondissement de Marseille, somptueuse), là nous craignions les grizzlis.
Normalement, ici, c'est ambiance cigales et cagnard.
Tout à l'Olympus OM4T, diverses optiques zuiko, TriX@800 D76 selon Jules. Ce sont des scans de tirage : Ilford RC Portfolio brillant et Dektol.
Modifié en dernier par esox le dimanche 26 février 2012 18:39, modifié 1 fois.
La progression est intéressante : on dirait un coup de zoom arrière !
Le paysage est impressionnant (surtout quand on sait où tu habites),. Ma préférence va à la modeste première.
Ce jour était dantesque, l'eau était noire, alors que il s'agissait de la grande bleue. On ne distinguait pas la neige du ciel. Brouillard+neige = photographe qui s'arrache les cheveux. Mais deux jours après grand ciel bleu et mer idem. Des fois je me dis que je suis content de vitre dans un tel endtroit.
Mais merci freddy, le coup de zoom arrière je l'ai fait instinctivement !
Je trouvais intéressant de mettre face à face la délicatesse e la neige au niveau du détail et la dureté réelle de cette météo.
Mis c'est vrai que 'ambiance était spéciale, pas de visibilité, ciel et terre qui se confondent, d'habitude la terre est marron et le ciel bleu c'est plus simple ! Et surtout difficile de reconnaître le relief.
Dur de déterminer l'expo... Pour les ombres ou les hautes lumières ? C'est ce jour là que j'ai compris réellement que la cellule est calibrée sur du gris moyen.
J'aime beaucoup l'ensemble également, et à vrai dire deux et trois sont mes favorites à égalité, chacune dans leur genre. Graphique et onirique, très beau travail.
Merci à vous ! Oui ce petit pin qui semblait paumé et porter tous les maux du monde sur ses épaules... Et puis un peu de grâce dans ce monde inhospitalier !
Je vous rassure, il pète la forme, je passe souvent devant.