À suivre ...
Plus d'info : http://charlycamps.com/photographie/dormir-en-ville/
Charly
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José

Pavel Georges

Georges

Duan

I.

moi aussi je pense que le cadre dans lequel ils vivent , aurait apporté encore plus de profondeur ,le fond blanc donne une impression bizarre , comme s'ils etaient "rapportés" , mais bon certains diront que c'est çà , qui est pas mal , alors...eyslime a écrit :la demarche est sympas mais je n'accroche pas des masses.
je trouve qu'on est fort loin, prendre tout le personnage est un choix mais vu le manque le fond... ça me laisse perplexe.
le fond surexposé blanc je n'accroche pas non plus même si ça amène un certain non lieu (echos au sdf)
enfin je trouve ton éclairage trop puissant et mal réparti, ca rend les personnages plat, sans volume avec des zones surex'
c'est un avis
Et AMHA c'est ce qu'il faut faire. Le titre prend toute sa signification lorsque l'on découvre à travers les images qu'il s'agit de sans abri. Pour être caricatural, ce qui est dit de la démarche a peu de valeur. Si le spectateur ne lit pas sur l'image ce que l'on désire y mettre il faut revoir la copie et trouver comment le faire passer. A l'inverse s'il y voit autre chose, il faut le retirer. Le plein pied ne me choque pas. Cela me semble pertinent, mais il faut faire en sorte que celui-ci trouve sa place dans le cadre et qu'il occupe plus de place.charlyc a écrit : Au début je ne voulais pas présenter les sujets comme des sans abris, ou en tout cas ne pas l'expliciter, parce que définir c'est aussi limiter. Je préférais que les photos le suggèrent au spectateur, et j'ai pensé que cette suggestion serait plus évidente avec une pose de plein pied.
Je crois qu'il faut être plus exigeant. Une analogie, c'est aussi un choix, fait partie de la démarche, à la limite se décide avant la prise de vue (ou disons que ces premières photos sont des "brouillons" et destinés à avancer, je ne suis pas trop dur ?).charlyc a écrit : Ensuite, pour les analogies, il y a le fond blanc mais aussi et surtout les sujets qui sont tous sans abris. Mais vrai, ce serait bien d'en avoir d'autres.