CHP centre hospitalier psychiatrique

[fibonappi]

mini série

1)


2)


3)
]

4)

[Arks]

J'espère que tu ne vas pas le prendre (trop) mal mais je n'accroche pas à cette série, pas vraiment pour des histoires technique mais plus sur la façon de traiter le sujet. Je trouve que tu as un regard distant alors qu'il y a sans doutes des choses à raconter au delà de ces murs et ces arbres morts.

C'est un sujet délicat, mais si tu as l'occasion de retourner à cet endroit peut être pourras tu t'approcher .

[fibonappi]

Merci de ton passage , no je le prend pas mal, je suis distante face au subject car ce que j'ai ressenti, se jour la y avais personne dehors comme si il etait abandonné donc je l'ai "pris" de façon large, étrange, irréel apres il surement d'autre façon l'aborder

[tilu]

Pareil, tu as saisi le contre champs, il reste à trouver les images plus "percutantes" qui permettrons de rentrer dans le sujet
sinon mais c'est perso , je n'aime pas tes cadres!

[fibonappi]

merci tilu pour le passage avec le mot contre champs je comprend plus ce sense de distance que on as avec ces images et effectivement à le revoir le spectateur est vraiment detaché du sujet, peut être que ça ressent une certaine méfiance (sans doute à tort) et voyeurisme envers ces lieu
et ces cadres en plus ne aident pas effectivement !
Mais bon vive la critique pour s'améliorer et la j'ai posé un regarde sur mes images qui m'avé échappé!

[freddy.lombard]

Je vais prendre gentiment le contrepied ou plutôt tenter de donner un point de vue complémentaire.
Il est vrai qu'il y a de nombreuses façon d'aborder ce difficile sujet.
Cette première approche, toute en douceur et en retenue, m'évoque beaucoup de souvenirs, ceux des bâtiments un peu vieillots des hôpitaux des chefs-de-canton ou de petites sous-préfectures. Maisons d'enfants, hospices, hôpitaux municipaux aux petits moyens renfermant parfois une grande misère mais aussi de l'humanité, lazarets ou sanatoriums.
En plus, ici il s'agit d'un des grands tabous de notre sociétés : les maladies de l'âme, celles qui nous dérangent, celles qui nous font peur, symptômes déformés comme des reflets dans un miroir de notre propre esprit. Ce pourrait être nous.
Alors, si tes photos écartées de leur contexte ne sont peut-être pas des chefs d'œuvre graphiques, pour moi elles racontent une histoire, me renvoie à mon enfance comme aux derniers jours de mes aïeux. Elles me "parlent" comme l'on dit souvent ici.

[fibonappi]

au moins c'est plus constructif comme ça plus que un "silence" ou "super" ou "j'adore" et voili voila!!! (c'est pas toujour facil à sortir de bonne critique moi le premiere, mais c'est un bon exercise à ce pencher même pou juger les notre phot!)

[Seelow]

Je vais prendre gentiment le contrepied ou plutôt tenter de donner un point de vue complémentaire.
Il est vrai qu'il y a de nombreuses façon d'aborder ce difficile sujet.
Cette première approche, toute en douceur et en retenue, m'évoque beaucoup de souvenirs, ceux des bâtiments un peu vieillots des hôpitaux des chefs-de-canton ou de petites sous-préfectures. Maisons d'enfants, hospices, hôpitaux municipaux aux petits moyens renfermant parfois une grande misère mais aussi de l'humanité, lazarets ou sanatoriums.
En plus, ici il s'agit d'un des grands tabous de notre sociétés : les maladies de l'âme, celles qui nous dérangent, celles qui nous font peur, symptômes déformés comme des reflets dans un miroir de notre propre esprit. Ce pourrait être nous.
Alors, si tes photos écartées de leur contexte ne sont peut-être pas des chefs d'œuvre graphiques, pour moi elles racontent une histoire, me renvoie à mon enfance comme aux derniers jours de mes aïeux. Elles me "parlent" comme l'on dit souvent ici.

Moi je te comprends, cette série me renvoie à ma propre expérience de l’hôpital psychiatrique ( professionnelle hein ^^) ...

En hp, j'ai ressenti ce que je vois dans tes photos. C'est un lieu entretenu (notamment les espaces verts) mais qui semble fantôme. Comme l'apparence des personnes qui y déambulent, qui y glissent sans être vraiment en mouvement (les pros comme "les patients") et qui me donnent l'impression de voir des "fantoches dans un monde de fantômes". Bref.

La 1 et la 2 sont parfaites pour ouvrir et fermer cette petite série, les nuages renforcent cette ambiance. Les 2 autres rappellent l'espace vide, le manque, au caractère trop marqué pour pouvoir être comblé. Ces espaces verts sans vie ne remplissent rien au final et renforcent mon impression de manque.

Bref c'est anxiogène, "l'ambiance" qu'il disait Oury et les autres parlent d'un espace de soins ... Moi je ne la sens pas cette dimension soignante ...

En résumé, je trouve ce travail très bon, il aurait pu être plus long (plus de photos) mais sans excès.