Bonjour,
Avec seulement 5 développements au compteur, je suis novice dans le développement N&B. J'utilise une cuve Jobo 2400 (dite lumière du jour) qui me pose pas mal de soucis. Les ergots utilisés pour l'avancement du film déchire celui-ci quand la résistance à l'avancement croit. Et là plus aucun moyen de poursuivre le bobinage du film. Je fais pourtant attention à avoir des spires propres et sèches.
Quelqu'un a-t-il une expérience avec ce type de cuve?
Merci par avance
Dominique
Nos forumeurs ont du talent
La photo du mois de juillet 2025

Photo faite par L'hurluber.lu
Découvrez le reste de la sélection du mois de juillet ici
La photo du mois de juillet 2025

Photo faite par L'hurluber.lu
Découvrez le reste de la sélection du mois de juillet ici
avancement du film dans une cuve Jobo 2400
-
- Débutant
- Messages : 27
- Enregistré le : jeudi 15 août 2013 16:02
- Localisation : région parisienne
- Contact :
- numérix
- Membre de l'association
- Messages : 8657
- Enregistré le : lundi 10 avril 2006 20:37
- Localisation : pas loin de Tours
- Contact :
Re: avancement du film dans une cuve Jobo 2400
bonjour
pas trés courant comme type de cuve, j'utilise celles de la serie 1500, et si elle ne sont pas propre ou humide, ça coince
pas trés courant comme type de cuve, j'utilise celles de la serie 1500, et si elle ne sont pas propre ou humide, ça coince
- antipatr
- Membre de l'association
- Messages : 5034
- Enregistré le : samedi 30 septembre 2006 20:41
- Localisation : Charleroi - Belgique
Re: avancement du film dans une cuve Jobo 2400
Bonjour. Oui j'en ai une que je n'utilise plus très souvent car finalement je ne la trouve pas si pratique et puis on ne peut y mettre qu'une seule bobine de 24x36.bod78 a écrit :Bonjour,
Avec seulement 5 développements au compteur, je suis novice dans le développement N&B. J'utilise une cuve Jobo 2400 (dite lumière du jour) qui me pose pas mal de soucis. Les ergots utilisés pour l'avancement du film déchire celui-ci quand la résistance à l'avancement croit. Et là plus aucun moyen de poursuivre le bobinage du film. Je fais pourtant attention à avoir des spires propres et sèches.
Quelqu'un a-t-il une expérience avec ce type de cuve?
Merci par avance
Dominique
J'ai eu effectivement quelques mésaventures au début avant de me rendre compte que tout le premier "secret" est dans le placement correct de l'amorce qu'il faut soigner particulièrement. Il faut la positionner correctement et s'assurer que les perforations du films soient bien placées au départ dans les ergots ad hoc.
Deuxième "secret" : parfois le film à tendance à se serrer sur l'axe de la bobine et çà résiste. Dans ce cas là, il faut secouer un peu tout le bazar pour donner un peu plus d'air au film et çà passe tout seul.
Je comprends que pour un débutant cette cuve est très sécurisante mais tôt ou tard on l'abandonne au profit des cuves classiques...
-
- Débutant
- Messages : 27
- Enregistré le : jeudi 15 août 2013 16:02
- Localisation : région parisienne
- Contact :
Re: avancement du film dans une cuve Jobo 2400
antipatr, merci de partager tes secrets
j'ai déjà expérimenté le secret#1, et mon problème de déchirure du film apparait en général au-delà de la 20ème vue.
Par contre ton secret#2 m'ouvre de nouvelles perspectives, je vais essayer sur une pellicule sacrifiée (autant perdre quelques euros plutôt que des photos ...).
En tant que débutant, je pensais effectivement me simplifier la vie avec cette cuve dite lumière du jour, le développement d'une bobine à la fois n'étant pas vraiment une contrainte pour moi au regard de ma "production".
Cordialement
Dominique

j'ai déjà expérimenté le secret#1, et mon problème de déchirure du film apparait en général au-delà de la 20ème vue.
Par contre ton secret#2 m'ouvre de nouvelles perspectives, je vais essayer sur une pellicule sacrifiée (autant perdre quelques euros plutôt que des photos ...).
En tant que débutant, je pensais effectivement me simplifier la vie avec cette cuve dite lumière du jour, le développement d'une bobine à la fois n'étant pas vraiment une contrainte pour moi au regard de ma "production".
Cordialement
Dominique