Je suppose que je dois commencer, même si ce n'est pas forcément élegant.

J'ai 18 ans depuis moins d'un mois. Je vis à Nîmes, et suis en première année de classe préparatoire MPSI (pour maths physique et sciences de l'ingénieur, nouvelle appelation de maths sup, en fait.)
J'ai découvert la photographie en juin dernier, puisque ma maman m'a offert pour mon bac un canon A1, prise d'une intuition soudaine. Depuis, c'est le virus: j'ai touché à pas mal de choses en étant sur qu'elles me passionaient, mais avec la photographie c'est différent. Mon séjour en Inde en août avec cet appareil a été une révelation. C'est tellement simple à entretenir, comme activité: il suffit d'avoir son sac sur soi et de regarder le monde. J'ai beaucoup d'émotion à reperer des photographies dans mes trajets quotidiens. La relation à la photographie est quelquechose de magique. Depuis peu, je n'utilise plus que du noir et blanc, que je développe dans ma salle de bain, et que je tire au club photo de mon lycée. Mon papa a été photographe pendant 10 ans, en Inde, et donc il m'a depuis raconté beaucoup de choses, et je crois bien que je lui ai donné envie de s'y remettre plus sérieusement. Je fait beaucoup de photos en ville, sur mes trajets, et d'architecture, à mon lycée. J'adore prendre en photo les arbres. J'aimerai me mettre à la photographie de l'humain, pas forcément dans du portrait, qui me plairait aussi, mais plutôt dans la vie de tous les jours, surprendre des expressions. J'ai hâte de goûter à cet aspect de la photographie. (malheureusement ma chère et tendre n'apprécie pas trop d'être prise en photo...

J'ai bien sûr d'autres passions. Je suis tombé récemment amoureux de la dame mathématique... c'est fou ce que c'est beau, ça aussi. Je suis attiré par un tas de trucs, le dessin, la musique (j'ai deux guitares qui somnolent un peu, si j'ose dire, en attendant que je me réveille), la peinture, l'écriture... et tant d'autres choses.
Voilà, j'espère ne pas avoir été trop long. Si je me permets ces "épanchements", c'est que j'aimerai assez que vous en disiez autant, en fait. Et puis si ça vous embête, c'est pas grave.
à vous alors.

