Everybody street

[vince33]

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=& ... ROept5MxyQ

[naej]

Intéressant, mais malheureusement le "preview" donne l'impression que la parole passe avant l'image (les séquences sont trop courte pour permettre une bonne vision. On a pas le temps de voir l'image qu'elle a disparue pour une autre séquence).

J'espère que le film complet laisse plus de temps aux images et à chaque photographes.

Par contre, dans l'extrait, il y a une leçon à retenir (et cela est dit par un des photographes, et les images donnent tout de même cette impression): quand on fait du street, on a pas le temps de penser à l'image, on doit se dépêcher avant que la scène que l'on veut photographier disparaisse. Il faut donc faire vite.

Ça peut être un sujet intéressant.

Merci, Vince!
Jean-François

[Rémy G.]

Effectivement, ce film à l'air très intéressant !

Je n'ai pas trouvé si on peut le télécharger sur son PC quand on l'a acheté. Si quelqu'un trouve la réponse, je veux bien qu'il me fasse signe .

Merci pour le partage !

Rémy

[Fujicator]

J'ai regardé la bande annonce et j'ai toujours autant de mal à comprendre pourquoi et comment il est possible de faire de la photo sauvage dans les rues de ce pays ultra judiciarisé.

Je n'ai jamais mis les pieds en Amérique et ça ne me tente vraiment pas de le faire, alors si quelqu’un peut m'expliquer cet apparent paradoxe.

Je vais me procurer le film pour tenter de comprendre...

[Abdelkrim13]

J'en reviens pas comme les gars shoote carrément à la face des gens !! J'adore !
Après Fuji, moi au contraire, je rêve de pouvoir passer quelques semaines à New york ou ailleurs aux Etats Unis, comme au Japon d'ailleurs.
Pour ce qui est de la "judiciarisation", je sais pas, un décalage entre la réalité et l'idée qu'on s'en fait via les médias peut être ?
Ou alors c'est le cas mais ça concerne autre chose que la photo de rue ou les photographes. J'ai l'impression (mais je me trompe peut être) que ces procès sont souvent liés à l'appât du gain et non vraiment à la raison de la plainte comme l'atteinte à l'image de la personne, par exemple.
On en voit un ou deux quand même se faire bastonner par les gens

[vince33]

Intéressant, mais malheureusement le "preview" donne l'impression que la parole passe avant l'image (les séquences sont trop courte pour permettre une bonne vision. On a pas le temps de voir l'image qu'elle a disparue pour une autre séquence).

J'espère que le film complet laisse plus de temps aux images et à chaque photographes.

Par contre, dans l'extrait, il y a une leçon à retenir (et cela est dit par un des photographes, et les images donnent tout de même cette impression): quand on fait du street, on a pas le temps de penser à l'image, on doit se dépêcher avant que la scène que l'on veut photographier disparaisse. Il faut donc faire vite.

Ça peut être un sujet intéressant.

Merci, Vince!
Jean-François

Pas beaucoup plus.

J'en reviens pas comme les gars shoote carrément à la face des gens !! J'adore !
Après Fuji, moi au contraire, je rêve de pouvoir passer quelques semaines à New york ou ailleurs aux Etats Unis, comme au Japon d'ailleurs.
Pour ce qui est de la "judiciarisation", je sais pas, un décalage entre la réalité et l'idée qu'on s'en fait via les médias peut être ?
Ou alors c'est le cas mais ça concerne autre chose que la photo de rue ou les photographes. J'ai l'impression (mais je me trompe peut être) que ces procès sont souvent liés à l'appât du gain et non vraiment à la raison de la plainte comme l'atteinte à l'image de la personne, par exemple.
On en voit un ou deux quand même se faire bastonner par les gens

Surtout un, Bruce Gilden, qui a une méthode plutôt agressive.

Pareil pour moi, j’espère partir à New York pour 2016, trainer mes guêtres un peu partout à longueur de journées, vadrouiller, déambuler, me fondre dans la masse pour que les passants ne me calculent pas, adopter un rythme quotidien pour saisir les gens allants et venants du taf au supermarché en passant par le resto. d’ouvriers…

[Fujicator]

Allez pour vous donner l'eau à la bouche voici de mémoire la tirade qui lance le film.

Il y a deux genres de photographes ceux qui pensent que le monde est comme un film de cinéma et qui vont faire de la photo dans un studio et ceux qui descendent dans la rue en disant avec leur appareils montrez-moi le monde tel qu'il est.

C'est du bon anglais new yorkais facile à comprendre et les images sont saisissantes, sauf que si on faisait ça en France dans les quartiers difficiles on se retrouverait tout de suite entre quatre planches...

[Rémy G.]

Petit déterrage de post du dimanche :

Tu nous le conseille Fuji ? D'autres personnes l'ont vu ?

Merci d'avance !

Rémy

[Rémy G.]

Je viens de le regarder, impatient le mec !

J'ai trouvé ça plutôt intéressant. C'est vrai que c'est rythmé, les plans s'enchaînent, les photographes, les interviews, tout ça avec tout le temps de la (bonne !) musique. Ca laisse pas forcément le temps de beaucoup réfléchir, mais je trouve que c'est une expérience intéressante. Ce film laisse plus un ressenti en fait. Parce que les techniques, les façons de voir les choses, d'aborder les gens, les avis sont différents. On en retire donc quelque chose au final. Plus des impressions et des sentiments que des idées bien arrêtées. J'ai trouvé ça assez émouvant en fait. Beaucoup d'images marquantes, des personnalités, des témoignages, et un peu de voyages dans le temps. C'est très sympa.

Rémy

[Fujicator]

C'est aussi très glauque et un peu lourd, j'ai comme une envie de vomir à un moment...

[Rémy G.]

C'est vrai que c'est pas hyper digeste !

Rémy

[beveziers]

Fuji, si je me permet de rebondir sur tes propos de novembre. Aux états unis, il est très simple de faire de la street. Tu peux te poster devant un mec, lui tirer le portrait, sans qu'il ne dise quoi que ce soit.

Par ailleurs, les américains sont le peuple le plus cool qui soit, même dans le bronx, j'ai pu arrêter des mecs dans la rue pour leur tirer le portrait, une soixantaine en tout.

[Fujicator]

Merci pour cette précision Bev, comme quoi ils n'en sont pas à un paradoxe près !

[Toulin]

Ce n'est pas partout pareil.
Dans un pays de l'Est où je travaillais en déplacement (pas en Bulgarie), un collègue avait acheté une caméra ciné super 8mm (c'était avant les caméscopes).
Il discute avec le marchand et se décide.
Comme souvent dans ces pays-là, le magasin qui vendait les caméras n'était pas forcément celui qui vendait les films, heureusement.

Dès qu'il est sorti du magasin, le collègue a tripoté sa caméra, a visé avec, fait jouer le zoom.
Aussitôt deux ou trois flics lui ont demandé ce qu'il faisait, pourquoi il filmait le bureau de poste (ce qui était interdit, ainsi que les ponts, les transfos électriques, les passages à niveau et pratiquement tout).
Il a dû aller au commissariat durant un très long moment, l'interprète à dû aller sur place.
Puis quand les flics ont compris qu'il n'y avait pas de film dans la caméra, ils ont voulu savoir pourquoi il fait de la provocation.

Il y a des coins comme ça.