Echanges sur tous les aspects du labo photo argentique noir et blanc : matériels, développement des films, tirage, etc. Présentations des labos photo argentique noir et blanc.
je ne suis pas à ta place, mais à part pour un collectionneur d'agrandisseur je ne vois pas trop l'intérêt, car même complet avec les cassettes spéciales il faut réussir à trouver du film ou le découper dans des films plus grands
En son temps cet appareillage permettait de reproduire des documents sur plan film, puis de développer rapidement celui-ci, un porte-négatif spécial permettait de tirer sur papier le négatif encore humide.
Dans les années 1966, ce qui tenait lieu de photocopie était un procédé en deux étapes, la première établissait une sorte de négatif sur papier, la seconde donnait un positif à peu près correct (devant être authentifié) si c'était un document officiel.
Si on voulait d’autres positifs, il valait mieux conserver précieusement le négatif pour n'avoir à payer que la seconde étape du procédé.
Chaque étape coûtait trois francs, alors que le smig net était de 2,3 francs.
Je crois qu'en ce temps-là ce système Durst URSIX pouvait être justifié.