Georgesh a écrit :De mon point de vue, il n'y a rien de maladif dans l'acte de photographier. Nul besoin de consulter un psy.
Les psys ne s'occupent pas que des fous, loin de là

C'est une image qu'on a souvent, mais la psycho clinique peut être utile à bien des gens tout à fait "normaux" car elle porte tout autant sur les phénomènes normaux que pathologiques, et certains domaines de la psycho s'intéressent justement à cette "masse de gens normaux" (comme la psycho sociale par exemple).
Je m'intéresserai dans ce travail à certaines choses mises en jeu par la photographie, mais en aucun cas de manière pathologique, et ce n'est pas du tout mon but d'insinuer que les photographes ont tous un problème. Tous les thèmes et problématiques qui me semblent pertinents pour l'instant sont présents chez tous, avec une importance variable selon les gens évidemment, mais les non photographes ont à faire aux mêmes et les traitent simplement d'une autre manière.
Plus ça va, plus je me dis que les premières années de psycho ne servent pas tant à apprendre des choses mais à en accepter certaines

Et à adopter certains points de vue, évidemment.
Et Réginald, si possible les deux. Tout simplement parce qu'ici, vous pouvez déjà avoir une idée de moi, que ce soit par ce que j'écris ou les photos que je poste, et en psycho il est important d'éviter ce genre de biais au maximum.
Fuji, je veux bien, j'en suis à l'organisation de tout ça, ça pourrait peut être m'aider
