clément RENARD a écrit :
Toutes les photos sont très belles individuellement et se suffisent à elle même en instantané.
Concernant la série, comme wilhelmshaus, il y a une certaine cohérence qui est très sombres laissant une impression de solitude, d’abandon et d'exclusion. De gauche à droite:
L'entant et la porte entre baillée et non ouverte et le regard de l'enfant n'invite pas à aller à la rencontre.
L'homme seule dans l'ombre avec uniquement le visage éclairé dans une rue sombre et sale.
L'homme seule dans le bus dans un paysage urbain anonyme, laid et sont ouverture ou profondeur (pas de ciel, pas d’horizon ou de ligne de fuite) qui le rend oppressant.
L'home qui porte le panneau. Seul et pas facile à aborder car on ne voit presque rien de l'humain.
La maison à vendre. C'est tellement difficile ici que l'on part.
SDF faisant la manche avec un regard assez dure de l'homme au sol.
Le chien au sol prêt à s'enfuir ou attaquer et pas du tout à venir par curiosité ou chercher des caresses.
J’arrête là car cela va me donner le cafard alors qu'il y a du soleil dehors et de la neige fraîche de cette nuit. Je ferais mieux de sortir. Plus je cherche à expliquer ce que je ressent plus je trouve la série réussie et cohérente sur ce thème sombre.