Bonsoir,
Laisser son appareil dans une voiture en plein été(ou en plein hiver).
Le laisser dans le coffre, la boîte à gants, ou en contact direct avec le plancher.
Même commentaire pour le train (vibrations pouvant agir sur diverses pièces mécaniques).
Ne pas passer la courroie de cou (si elle existe).
Par contre, s'il y a une dragonne, elle peut être pire que rien du tout (le mouvement de poignet, si vous perdez l'équilibre, fera tourner l'appareil autour du poignet, avec un effet de fouet, et s'il y a un obstacle sur la trajectoire...).
Y oublier les piles pendant quelques mois.
Le laisser croupir dans un endroit humide (placard).
Essuyer son optique avec n'importe quoi, et toucher les lentilles avec les doigts nus (les traces laissées peuvent finir par attaquer la couche antireflet, et devenir indélébiles).
Forcer quand une commande semble résister.
Le prêter à n'importe qui.
Le confier à n'importe qui pour sa révision.
Cordialement.
Les choses à ne pas faire
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hyperfocale
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Les choses à ne pas faire
Modifié en dernier par hyperfocale le jeudi 20 octobre 2005 12:03, modifié 1 fois.
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Lionel
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J'ajouterai :
- Ne pas s'en servir. Au moins une fois tous les 6 mois, lui faire "prendre l'air". Essayer toutes les commandes, armer, déclencher. Essayer les vitesses. Et si possible mettre une pelloche dedans et partir faire quelques photos c'est encore mieux.
- L'amener à la plage. J'ai souvent vu des grains de sable dans des appareils vendus pour pièces... L'air marin c'est OK tant que ce ne sont pas des embruns! ou des paquets de mer... qui veulent le voir de près
- Jouer les apprentis bricoleur sur un matériel de valeur. Faire son expérience sur des appareils communs en panne.
- L'échanger contre un numérique. Il vous en voudrait à vie.
- Le laisser tomber au propre comme au figuré.
- Ne pas s'en servir. Au moins une fois tous les 6 mois, lui faire "prendre l'air". Essayer toutes les commandes, armer, déclencher. Essayer les vitesses. Et si possible mettre une pelloche dedans et partir faire quelques photos c'est encore mieux.
- L'amener à la plage. J'ai souvent vu des grains de sable dans des appareils vendus pour pièces... L'air marin c'est OK tant que ce ne sont pas des embruns! ou des paquets de mer... qui veulent le voir de près
- Jouer les apprentis bricoleur sur un matériel de valeur. Faire son expérience sur des appareils communs en panne.
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hyperfocale
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Bien vu,
Je ne saurais mieux dire.
Pour ce qui est de la maintenance des appareils peu utilisés, les modèles les plus mécaniques sont ceux qui passent le mieux le temps, même stockés pendant de longues périodes.
En horlogerie, une montre ou une pendule pûrement mécanique peuvent rester un siècle sans servir (mais au sec et au frais), puis subir un nettoyage (aux ultrasons), suivi d'un huilage, et repartir comme si rien ne s'était passé. Et ainsi, servir plusieurs générations, jusqu'à l'usure des rouages.
Pour les appareils photographiques, c'est moins simple.
D'abord, le nettoyage implique un démontage bien plus difficile et délicat, mais qui est toujours possible, tout comme le graissage.
Ensuite, si l'appareil n'est que mécanique, il n'y pas donc pas d'usure des pièces qui sont alors immobiles.
Et donc, le temps peut passer dessus, sans dommage (la corrosion étant évitée par l'absence d'humidité, bien sûr).
Avec un bémol, pour les rideaux d'obturateurs en toile (qui se détendent) et tous les ressorts qui "s'avachissent".
Par contre, dès que de l'électronique est présente, tout change : les condensateurs sèchent, les résistance dérivent, les circuits s'oxydent, même sans pile ni tension de présentes...
Et ceci, même si le stockage est fait dans des conditions optimales.
Donc, plus il y a d'électronique, plus un appareil vieillit vite et mal, et même si l'on ne s'en sert pas (contraîrement à ce que disait une marque de piles, dans sa publicité, inexacte ceci dit au passage).
Donc, les détenteurs d'appareils pûrement mécaniques (ou bien qui sont utilisables en mode manuel pur) sont assurés d'en profiter bien plus et bien plus longtemps.
Il existe des chambres photographiques, qui ont maintenant plus d'un siècle, et qui se portent comme un charme (seul, le soufflet doit être surveillé).
Cordialement.
Je ne saurais mieux dire.
Pour ce qui est de la maintenance des appareils peu utilisés, les modèles les plus mécaniques sont ceux qui passent le mieux le temps, même stockés pendant de longues périodes.
En horlogerie, une montre ou une pendule pûrement mécanique peuvent rester un siècle sans servir (mais au sec et au frais), puis subir un nettoyage (aux ultrasons), suivi d'un huilage, et repartir comme si rien ne s'était passé. Et ainsi, servir plusieurs générations, jusqu'à l'usure des rouages.
Pour les appareils photographiques, c'est moins simple.
D'abord, le nettoyage implique un démontage bien plus difficile et délicat, mais qui est toujours possible, tout comme le graissage.
Ensuite, si l'appareil n'est que mécanique, il n'y pas donc pas d'usure des pièces qui sont alors immobiles.
Et donc, le temps peut passer dessus, sans dommage (la corrosion étant évitée par l'absence d'humidité, bien sûr).
Avec un bémol, pour les rideaux d'obturateurs en toile (qui se détendent) et tous les ressorts qui "s'avachissent".
Par contre, dès que de l'électronique est présente, tout change : les condensateurs sèchent, les résistance dérivent, les circuits s'oxydent, même sans pile ni tension de présentes...
Et ceci, même si le stockage est fait dans des conditions optimales.
Donc, plus il y a d'électronique, plus un appareil vieillit vite et mal, et même si l'on ne s'en sert pas (contraîrement à ce que disait une marque de piles, dans sa publicité, inexacte ceci dit au passage).
Donc, les détenteurs d'appareils pûrement mécaniques (ou bien qui sont utilisables en mode manuel pur) sont assurés d'en profiter bien plus et bien plus longtemps.
Il existe des chambres photographiques, qui ont maintenant plus d'un siècle, et qui se portent comme un charme (seul, le soufflet doit être surveillé).
Cordialement.