Je remonte le fil pour faire acte de pénitence: J'ai voté "Non et je ne sais pas ce que vous trouvez à ce modèle." il y a longtemps et maintenant que j'en ai reçu deux (un GT et un GSN), je le regrette bien!
Coup de foudre pour ces beaux boîtiers.
Le GSN semble fonctionnel mais le GT avait un étiquette "HS (obturateur?)" Cet appareil étant bien documenté, le soucis du "pad de la mort" était évident, pas de déclic au début de l'armement. Le pad étant encore relativement utilisable, un petit ajustement de la vis concernée dans la semelle a résolu le problème...
...Pour constater que l'obturateur ne s'ouvrait pas complètement

Démontage de l'optique, dilemme à l'étape "dévisser le bloc optique", chez moi, le bloc était grippé et seule la partie supérieure du bloc se dévissait. J'ai dû finir par déposer les éléments, percer deux trous de 1mm dans le chassis du bloc optique (sur un endroit ou aucune lentille ne s'appuie) pour enfin extirper ce foutu bloc avec un spanner. Problème de conception, là, le corps du bloc ne donne aucune prise et on le dévisse par son couvercle

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Trouvé un palier de la commande d'ouverture des lamelles un peu gommé, nettoyé, remonté le tout, ça fonctionne.
Refait les mousses dans la foulée. Bientôt un film de test.
Je ne sais pas si ça a été posté mais le manuel de réparation est disponible ici
http://www.erikfiss.com/foto/cams/elect ... index.html
On peut y voir que le module de contrôle a évolué pour accueillir un IC dès que ça a été possible, toujours à la pointe, Yashica.
Opinion
a priori d'un habitué du Leica M4: Beau et gros boitier, Si le Leica M est "Bauhaus", le Yashica est définitivement "Space age" avec ses angles arrondis, ses inscriptions en orange et rouge, ses petites ampoules -pas encore de LED à l'époque- et son logo en écriture liée (sauf les GTN et GSN, hélas).
-IL A UN VERROU DE DÉCLENCHEUR ! (cri du cœur d'un utilisateur de Leica M)
-Le cadre à bords arrondis me rappelle le M3 mais surtout, le binoclard que je suis arrive à voir tout le cadre dans le viseur, prends ça, Leica!
-Le télémètre est clair et précis, aucun problème même dans une zone sombre.
-Dans les poses longues, il fait "vuiiip" juste avant de refermer (c'est anecdotique mais je trouve ça rigolo) mais surtout, la mesure est continue, vu que la cellule CdS contrôle la charge d'un condensateur générant le temps de pose, une variation de luminosité sera de suite répercutée.
-Le réglage du diaphragme se base sur des résistances indépendantes. Pas de soucis de pistes carbone ici, hein Nikon !
Vraiment un bel appareil bien construit.