(faut pas le dire, mais ça risque pas d'arriver de suite : j'ai pris un petit crédit pour m'offrir un D FA 150-450 à monter sur mon K-3II quand je sors faire de l'animalier)
Pour ce qui est du noir et blanc, tant en street, urbex que portraits et studio, je n'utilise plus que de l'argentique depuis 6 mois. Avec des bonnes et des moins bonnes surprises au développement... tout un apprentissage, erreur après erreur.
Pour la couleur, les résultats de mes dernières bobines étant décevants

, je vais rester sur du numérique encore un moment... d'autant que ça concerne essentiellement l'animalier et la macro, pans de ma pratique qui présentent un taux de déchet assez considérable compte tenu du manque de discipline chronique des sujets (insectes, oiseaux, mammifères...) et des perturbations provoquées par des éléments extérieurs (vent, pluie...parce que oui, la plupart de mon matériel Pentax numérique dédié animalier est protégé tous temps)
Et comme disait Tabarly : l'expérience, c'est la somme des conneries à ne pas refaire
Pour un "curieux-esthète-nostalgique-des-beaux-objets-bien-fabriqués-qui-a-une-pratique-éclectique-mais-un-niveau-de-petit-amateur" (comme moi au hasard), opposer argentique et numérique serait assez contre productif. Chaque pratique a ses avantages et ses inconvénients, et il convient de savoir passer de l'une à l'autre à bon escient.
A contrario si demain j'arrêtais complètement de faire de l'animalier, de la macro, et de la couleur, je pourrais effectivement me séparer de l'essentiel de mon équipement numérique sans trop d'arrière pensées.