Une vision différente pour moi, avec un léger virage bleu sur ces corsairs, traitement qui entre dans une série dédiée parmi d'autres choses.

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Bon, c'est pas un Norécrin mais plutôt un membre de la famille des Nord 1000 "Pingouin" mais avec juste l'habitacle c'est pas facile. Celui de la photo ressemble beaucoup à celle du proto de Nord 1110 visible sur la page WP
Il y avait un reportage sur cet avion dans le 13h de tf1 ce mercredi.XavierG a écrit : mercredi 21 août 2024 16:28 Comptez pas sur moi pour trouver les modèles...![]()
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Sans titre by Xavier G., sur Flickr
KawaZ a écrit : samedi 12 avril 2025 10:01 Réussi en tout cas cette photo ! Avec le souffle et les pales qui tournent pas loin de la tête...
J'ai fait un peu de spéléo Ado, un " camp d'ados" sur le thème de la spéléologie dans les Pyrénées. Jamais refait depuis mais j'avais adoré.
Curieusement j'ai le vertige, mais sous terre descendre dans un trou ne me faisait pas peur du tout ( je n'ai jamais été attiré par l'escalade, et encore moins l'alpinisme).. Bon le fait d'être en groupe, avec un guide devait être pour quelque chose. Descendre seul serait sûrement différent.
Le plus étonnant est la perte de repères dans le temps : nous étions une fois descendu dans un trou ( en été), quand on en est ressorti il faisait nuit noire, nous y étions restés 8H, sans être crevés ( fatigués) pour autant. Tout cela éclairé avec des blocs de chaux et de la flotte à l'acétylène ( j'ai cramé le Kway d'une copine qui était juste devant moi, elle se demandait pourquoi je lui tapais le dos).
J'en vu souder au chalumeau au Sénégal avec le même procédé, sauf que la bombonne était beaucoup plus grosse, comme une grosse marmite SEB.
On a dû faire 3 ou 4 sorties spéléo pendant ce Camp de 15 jours, c'était la dernière et la plus technique.
La première je m'en souviens aussi : rien de spectaculaire, ni stalactite ni stalacmiite , point de baudrier. on a dû très vite ramper dans une " chatière" pendant 5 ou 10 mètres débouchant dans une salle. On est ressorti dégueulasse, de la boue de la tête au pied : le baptême.
C'était au début des années 80. J'aurais bien refait de la spéléo, mais le problème était de trouver des guides. L'un des animateurs du Camp pratiquait la speletet connaissait personnellement le guide, qui connaissait tous les trous de la région. Pas oublier qu'à l'époque il n'y avait pas internet.
Renaud, tu as quand même le cul bordé de nouilles d'avoir effectué un travail et une carrière dans ce type de boulot.