Freiburg M1

[reflets de vert]

En juillet dernier, j'étais allé à Freiburg pour aller voir des militants allemands et fêter le premier anniversaire d'un chouette squat (M1).

J'avais aidé et donné un coup de main, échangé, discuté, fêté, rencontré des gens.
C'était bien intéressant, et j'ai été assez fasciné par cet endroit.

J'en avais profité pour essayer des vélos couchés (! pas au squat, mais dans un magasin de son quartier), et bien sûr pour faire des photos.

Je ne mets pas toutes les photos. J'espère que mon choix est cohérent.

J'ai fait les photos au Nikon FM, avec le 50mm f/1.4

[HRISTO]

Une chouette ambiance mais cela manque de photos à mon sens, je voudrais en voir, en savoir plus...

[ludovich]

Un peu pareil,
enfin il ne manque peut-pas de photos, mais des photos,
on retrouve surtout des photos type "nature morte" d'élements qui permettent de montrer certains aspects du squatt,
et il manque surtout des photos plus globales, des hommes (un squatt c'est avant tout des hommes), pour avoir une série présentant la chose comme il faut.
Après ce n'était peut-être pas ton but, ou ils n'étaient pas trop chaud, ou....
ce que je dit s'applique surtout si tu as voulu faire une série présentant ce que c'est d'une manière large

[reflets de vert]

En fait globalement il n'y avait pas de problèmes pour prendre des photos, j'avais demandé et personne ne m'a fait de reproches, mais je n'avais pas envie de demander à tous les gens que je croise avant de faire des photos.
Ce n'est pas évident et ça m'aurait fait perdre du temps, et j'aurais préféré que ça vienne d'eux à ce moment. Et quand je prend des photos c'est spontané, etc…

Donc j'ai préféré essayer de montrer des ambiances en photographiant ce qui était posé là. Peut-être que si on n'y était pas on n'arrive pas vraiment à se représenter quelque chose.
Je sais pas.

[ludovich]

Non je comprend tout à fait ce que tu veux dire,
c'est ce que je ressent trop souvent dans un endroit ou je ne peux pas rester assez longtemps, pour que l'acte de faire des photos deviennent admis naturellement. L'ennemi c'est le temps, c'est celui qui faire perdre de la force à ce que l'on ramène.