Ma préférence va à la seconde. Les architectures qui s'entremêlent ont une lourdeur géométrique proche de l'abstraction, ce qui contraste fort avec les parasols en dessous. Ça compense l'impression d'écrasement, mais tout juste.*
La première est certes plus vertigineuse, mais moins impressionnante car on perçoit le pont, qui sert de guide visuel, vers la ville. On en oublierai qu'en dessous, il y a la circulation, qui est moins mise en valeur.
Rodtchenko mon fils, Rodtchenko
* Je suis curieux de voir dans quel état ça sera dans quelques années de pollution...