Sous des aspects un peu techniques, voire rébarbatifs, j'ai trouvé beaucoup de poésie dans les titres des fils.
Depuis longtemps, on ne comptait plus les leviers coincés, les aiguilles bloquées et les lentilles oxydées (?)

Nous avions eu un winder grippé, un Fuji en rade, un miroir de travers et un affichage des iso en roue libre.

Mais récemment il y a eu ce Mamiya gommé, ce diaph un peu paresseux et ce Canon facétieux.

Il y a de l'imagination dans ces titres. Au fond de nous, nous prêtons à nos chers objets des traits de caractères humains. Cette personnification est bien la preuve qu'ils sont de vrais compagnons.
